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Industrie, Emploi, Le tract pétition de la section- l’appel à la grève et manifestation:MARDI 9 octobre

fichier pdf Industrie action et manif 9 octobre Le tract pétition de la section du PCF St-Quentin et l’appel à la manifestation du MARDI 9 octobre

Appel aux militants; Distributions aux entreprises cette semaine, prendre contact avec la section pour les modalités

Plus de 8000 emplois en jeu, plus de 3 millions de chômeurs, Agissons !

Retrait du plan de casse de PSA! 

Nationalisation intégrale de PSA et Renault!

De Saint-Quentin à Aulnay : SOLIDARITE 

 

GREVE ET MANIFESTATION
POUR L’EMPLOI ET L’INDUSTRIE
MARDI 9 OCTOBRE A l’appel de la CGT- 13h30 Place d’Italie à Paris

la CGT ORGANISE UN DEPART EN BUS- Réservation au 03.23.62.39.15

  • 8h30 de la Bourse du Travail, ou 8h45 place de la Liberté à Saint-Quentin (Sandwichs et boissons dans le bus)

 

Industrie, Emploi, Le tract pétition de la section- l'appel à la grève et manifestation:MARDI 9 octobre dans Divers Sans-titre-300x255PSA : c’est le moment de nationaliser ! Et de renationaliser intégralement Renault !

Vivelepcf

C’est le moment, la « valeur » boursière de PSA, 2 milliards d’euros, représente moins de 20 avions de guerre Rafale !

Sans surprise, François Hollande, après l’indignation, fait le choix de l’impuissance devant le plan de casse de 8000 emplois à PSA et la fermeture de l’usine Citroën d’Aulnay. Un rapport d’expert, de complaisance, vient habilement soutenir sa position : il critique la stratégie de la direction mais juge la restructuration inéluctable. Le gouvernement va s’appliquer à aménager le plan en reclassant des personnels dans les entreprises publiques, en abondant les primes de départ etc.

Et pourtant, les mêmes politiciens, de tous bords, n’ont cessé, durant toute la campagne, de proclamer leur volonté de redresser l’industrie en France.

Et bien ils le peuvent !

Aujourd’hui, le nouveau gouvernement fait le choix de valider la politique du tout profit des actionnaires de Peugeot, comme hier, le gouvernement précédent a délivré des aides publiques, directes et indirectes, aux capitalistes du secteur. Renault, dont l’Etat reste l’actionnaire de référence mais dont les profits sont absorbés à 85% par le privé, a impulsé la politique de délocalisation et de casse industrielle en France.

Une lutte nationale peut imposer d’autres choix à ces hypocrites, à commencer par le retrait pur et simple du plan de « restructuration » de PSA.

Les capitalistes de l’automobile doivent rendre l’argent des aides publiques reçues.

La concurrence destructrice organisée par l’UE, sur la base de l’exploitation des travailleurs de chaque pays, n’est pas une fatalité. Notre peuple a déjà dit NON. Faisons-le respecter !

L’industrie et l’industrie automobile en particulier sont des priorités nationales? Oui ! Alors gagnons la nationalisation des deux entreprises centrales, dont dépendent les équipementiers et sous-traitants, qui structurent des bassins d’emploi entiers, avant qu’il ne soit trop tard !

C’est le moment ! La capitalisation boursière de Peugeot-Citroën est tombée à 2,25 milliards d’euros. C’est 20 fois moins que le coût de l’avion de guerre Rafale ! Et nous devons exiger que sur son importante trésorerie, PSA rembourse la collectivité.

Historiquement, la nationalisation, après l’expérience de la Libération, n’a rien à voir en France avec les opérations de renflouement momentané par l’Etat des trusts comme General Motors aux Etats-Unis.

Un rapport de force existe pour, par la lutte, par l’intervention des salariés, se débarrasser des intérêts privés, gagner d’autres choix industriels : la réponse aux besoins face à la logique du profit.

Exigeons la nationalisation de PSA et la renationalisation intégrale de Renault !

 

Réformer le lycée? Donnons-nous d’abord les moyens d’une éducation publique de qualité!

Article-Tract de la JC Paris 15

Après cinq ans de coupes de la droite dans le budget l’éducation nationale, de réduction de postes, de classes bondées et d’enseignement dévalorisé, il était temps que cela change.

Le nouveau gouvernement dit faire de l’éducation sa priorité. Sa première annonce, c’est une nouvelle «réforme» de l’école.

Cela fait dix ans que nos écoles, collèges et lycées subissent réforme sur réforme. Des contre-réformes qui ont dégradé la qualité de l’éducation, et sur lesquelles il faudrait revenir:

·         La réforme de l’enseignement technique et professionnel, avec le bac pro en 3 ans au lieu de 4, la suppression et le regroupement de filières techniques;

·         La réforme des lycées, avec moins d’heures de cours par discipline obligatoire, une réforme de programmes devenus incompréhensibles et des profs stagiaires balancés en salle de classe sans la moindre formation;

La première chose à faire, ce n’est pas de nouvelles «éformes». C’est d’abord de revenir sur les réformes des gouvernements précédents et donner à l’éducation les moyens dont elle manque.

150 000 postes ont été supprimés dans l’Éducation nationale, 71 lycées professionnels fermés depuis 2002. Comment garantir une éducation de qualité dans ces conditions?

La France est le pays développé qui compte le moins d’enseignants par élève et le pays d’Europe avec le plus d’élèves par classe. Comment espérer une éducation de qualité dans ces conditions?

On ne peut pas faire plus avec moins. Le gouvernement avait promis 60 000 créations de postes dans les cinq ans à venir.

A la rentrée, ce sera… 280 créations de postes d’enseignants de plus au collège et au lycée! Le compte n’y est pas. A ce rythme il faudrait plus d’un siècle pour compenser la saignée depuis 2002.

On parle de créations de postes pour les années à venir mais rien n’est clair: va-t-on uniquement remplacer les profs partant à la retraite ou vraiment embaucher? Va-t-on utiliser les étudiants embauchés en «d’avenir» pour faire les profs de seconde zone

Ce n’est pas vrai que l’État n’a pas les moyens d’offrir à tous une éducation de qualité.

Les guerres en Libye, en Côte d’Ivoire, en Afghanistan ont coûté en 2011 1,3 milliards d’euros. L’entretien de l’arme nucléaire française, c’est 4 milliards par an. C’est l’équivalent de 200 000 postes d’enseignants par an.

Notre éducation ou la guerre: c’est une affaire de choix de société!

Les profits en 2011 des 14 entreprises du CAC privatisées s’élèvent à 52 milliards d’euros, c’est les trois-quarts du budget de l’éducation nationale. Le montant des subventions à l’école privée, c’est 7 milliards d’euros par an perdus pour nos écoles et nos lycées publics.

Arrêtons de faire des cadeaux au privé, redonnons ces moyens à l’éducation publique!

Pour une éducation publique de qualité, gratuite pour tout le monde, il nous faut:

·         les 150 000 postes d’enseignants supprimés depuis dix ans;

·         une politique de soutien scolaire gratuite et publique et un personnel compétent et pour un suivi personnalisé en terme d’orientation après le bac;

·         revenir sur les réformes Châtel et Darcos de casse de l’éducation générale, professionnelle et technique;

Et des moyens:

·         exiger le retrait des troupes françaises des théâtres d’opération, la fin de la politique d’intervention armée, et la réallocation des moyens accordés à la guerre;

·         taxer les bénéfices des grandes entreprises, re-nationaliser celles privatisées depuis trente ans: les banques, EDF-GDF, France Télécom entre autres;

·         réorienter les fonds accordés à l’enseignement privé vers l’éducation publique;

Rejoins-nous pour mener le combat sur le terrain, pour améliorer notre quotidien et pour construire une autre société que celle basée sur le profit et la mise en concurrence des êtres humains: une société socialiste. Organise ta colère…..

 

 

On ne peut pas réussir ses études à 25 ou 30 dans une classe !

Nombre d’élèves par classe de lycée dans l’Union européenne

1 – Lettonie 16

2 à 5 Luxembourg,Royaume-Uni, Roumanie

5 Slovénie : 19

6 à 8 – Estonie, Finlande, Lituanie : 20

9 à 13 – Italie, Grèce, Chypre, Hongrie, Slovaquie : 21

14-15 – Autriche, Portugal : 22

16 – Pologne : 23

17-18 – Allemagne, Espagne 24

19 – France : 25

Est-ce normal que ce soit dans la deuxième puissance économique européenne que l’on trouve des classes sur-chargées ?

 Comment réussir avec des classes de 25 ou 30 ?

 Il faut embaucher pour qu’on puisse étudier dans de bonnes conditions !

 

 Un lycéen sur deux redouble en fac, ne les laissons pas sacrifier notre avenir!

 Une éducation sacrifiée au lycée, c’est des conséquences terribles en fac.

Sur la première année de fac, sur dix étudiants:

5 seulement passent en seconde année;

3 étudiants redoublent;

1 se réoriente

1 arrête déjà ses études

A la fin des études universitaires:

On compte 40% d’étudiants sortant sans diplôme, 90% pour les lycéens issus de bacs pro et technologiques!

Notre avenir à l’université et notre avenir professionnel, cela passe d’abord par une bonne formation au lycée.

 

Il nous faut des moyens pour notre éducation, maintenant!

 Non, les profs ne sont pas des privilégiés !

 Salaire des profs de lycée en début de carrière

1 – Luxembourg : 4 500 €/mois

2/3 – Danemark/Espagne : 2 700 €/mois

4/5 – Belgique/Pays-Bas : 2 200€/mois

7/8 – Irlande/Finlande : 2 000 €/mois

10/11/12 – Royaume-Uni/Italie/Autriche : 1 800 €/mois

13 – Grèce : 1 600 €/mois

14 – France : 1 550 €/mois

PCF St-Quentin 02ORGANISES TA COLERE , REJOINS LES COMMUNISTES

 

Le Parti communiste grec (KKE) appelle à la grève générale contre les nouvelles mesures anti-populaires adoptées par le gouvernement

Le Parti communiste grec (KKE) appelle à la grève générale contre les nouvelles mesures anti-populaires adoptées par le gouvernement dans Communisme-Histoire- Théorie KKE-300x300Répondre aux nouvelles mesures anti-populaires par la grève générale

 

Communiqué du Parti communiste grec (KKE)

Traduction JC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

Le gouvernement de coalition ND-PASOK-Gauche démocratique prendra de nouvelles mesures de casse sociale s’élevant au minimum à 13,6 milliards d’euros. Ce sont des mesures, comme celles sur le soi-disant « salaire minimum » par lesquelles ils videront de leur contenu les Conventions collectives nationales, tout ce qu’elles garantissent (grille des salaires, vacances, avantages et autres droits sociaux). Ils ont annoncé entre autres des baisses des salaires et des retraites dans le privé comme dans le public, la remise en cause d’avantages sociaux, le licenciement de 150 000 fonctionnaires, de nouvelles privatisations, la fermeture et la fusion d’hôpitaux, de nouvelles coupes encore plus drastiques dans la santé, l’éducation et la sécurité sociale, la hausse de l’impôt sur le revenu et l’imposition même des plus petites propriétés, des zones industrielles spéciales qui accorderont des aides scandaleuses au grand capital sous des conditions de travail moyenâgeuses et sans la moindre garantie, ainsi qu’une hausse importante du gaz et de l’électricité.

Ces mesures que le gouvernement de coalition et la troïka se préparent à « servir » au peuple ne nous mèneront qu’à la généralisation de la pauvreté, et à la ruine d’un nombre encore plus important de ménages issus des couches populaires.

La secrétaire-générale du Comité central du KKE, Aleka Papariga, a rendu la déclaration suivante le 28 août concernant les nouvelles mesures du gouvernement et de l’UE :

« Un grand nombre de mesures tombent sur le dos de notre peuple, pour lui retirer le peu qu’il lui reste. Bien entendu qu’il peut y avoir de petites variantes dans les formules de gestion du système. Mais on ne doit pas attendre que l’une ou l’autre de ces options l’emporte, de savoir dans quelle poche on ira prendre l’argent et comment on va gérer la situation. Ce qui compte, c’est que le peuple affronte ces mesures par une grève générale, et par l’intensification des luttes entre les grandes journées de grève. Chaque secteur doit lutter pour ses propres revendications et, dans le même temps, soutenir les mobilisations générales. Il n’est pas possible pour nous d’entendre qu’une nouvelle série de mesures aurait des effets tragiques et dans le même rester chez soi et se plaindre de façon fataliste et désabusée. Cela ne ferait que faciliter la tâche du gouvernement ».

C’est un appel du même type qui a été rendu public par le Front militant des travailleurs (PAME) tandis que les forces sur des positions de classe au sein de la GSEE ont émis une proposition de grève générale nationale qui insistait notamment sur le fait que « toute discussion avec le gouvernement et le patronat, qui ont comme but fondamental de casser l’ensemble des droits des travailleurs, doit cesser. Pas de dialogue social ! Pas de participation à ce dialogue, qui ne mène qu’à la soumission, à la compromission et à la capitulation de tout ce qu’il pouvait nous rester de droits du travail. Il contribue à faire passer ces mesures anti-ouvrières et anti-populaires. Le comité exécutif du GSEE n’a aucune légitimation formelle ou réelle pour participer à ce dialogue ».

Le 28 août, une réunion commune des secrétariats du PAME, PASEVE, PASY, MAS et OGE à Salonique a discuté de la préparation de la manifestation qui se tiendra à Salonique le 8 septembre. Les trois piliers fixés par le PAME comme cadre de la mobilisation sont :

  • Résistance aux nouvelles mesures du gouvernement, les mettre en échec par la mobilisation de masse ;

  • Organisation de la classe ouvrière et des couches populaires à partir de la base, renforcer les alliances sociales comme seule issue à la crise capitaliste dans les intérêts du peuple, dans la perspective d’une autre voie de développement ;

  • Soutien massif à la proposition d’abrogation des mémorandums et des accords d’emprunt ;

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