Archive | mars 2012

LA POSTE/Elections : Bailly suspend sa politique de privatisation (actionnariat salarié) pour mieux la mijoter…

LA POSTE/Elections : Bailly suspend sa politique de privatisation (actionnariat salarié) pour mieux la mijoter… dans ELECTIONS: Un moyen pas un objectif 120329_Poste_riposte-150x112LA POSTE/Elections : Bailly suspend sa politique de
privatisation (actionnariat salarié) pour mieux la mijoter…

PREPARONS LA RIPOSTE QUELLE QUE SOIT LA NOUVELLE
MAJORITE !

(report de « l’ouverture » du capital aux salariés, largement refusée par ceux-ci, suite
des luttes en France pour le service public de La Poste, après la reconnaissance du lien entre le suicide d’une agent des services financiers de Paris et son travail, luttes 2012).

L’annonce du report de 6 mois de la mise en place de l’actionnariat salarié est une bonne nouvelle. Elle montre que le PDG Bailly et les privatiseurs de La Poste ont du mal à accomplir la loi de privatisation de 2009.

Il faut dire que les agents et salariés de La Poste sont instruits de l’exemple de France Télécom. Ils n’ont pas l’intention de perdre leur épargne, même « bonifiée », pour rentrer dans le jeu de la privatisation, de leur propre surexploitation.

Et puis, un rapport de force existe toujours dans le pays pour défendre le service public de La Poste. Les mouvements incessants des personnels et des usagers en témoignent.

Peu d’entreprises auront expérimenté et subi les alternances politiques comme La Poste. Depuis
1989 et le sinistre PS Quilès, ministre de l’éclatement des PTT, jusqu’à Sarkozy et Besson aujourd’hui,
le démantèlement de notre service public, sous l’égide de l’UE et de ses directives de mises en concurrence est en route.

Il se heurte à de puissantes résistances. C’est sur elles que reposent l’alternative, sans désintérêt de
notre part mais aussi sans illusions sur les résultats électoraux de 2012.

Pas une semaine ne se passe sans que les collègues soient en mouvement quelque part. Depuis le 28
mars, à Saint-Renan dans le Finistère, à Tours, à Savenay dans la Loire-Atlantique depuis le 26 contre la « sécabilité » et pour des embauches en CDI, à Alès dans le Gard…de Malakoff, Vanves, Clamart… la bataille contre « facteurs d’avenir » dure depuis deux mois et les directions commencent à reculer sur les suppressions de tournées.

Les résultats financiers, même comme la direction les déguisent, démolissent les fondements de sa propre propagande.

Les affaires vont bien et se présentent bien… pour les actionnaires futurs. 670 millions d’euros de bénéfices d’exploitation en 2011 en hausse de 21%. Ni les 10.000 emplois supprimés ni le quasi gel des salaires ne leur correspond. Toute la propagande patronale sur l’effondrement de la filière courrier et colis est démentie par les faits. Malgré la manifestation magistrale de la gabegie financière privée, la marche de la Banque postale vers la gestion privée se poursuit : 241 millions d’euros perdus (pas pour tout le monde) dans la spéculation sur la dette grecque mais un bénéfice net de 412 millions…

Nous avons une expérience de la gestion des ressources humaines par la souffrance au travail. A Paris, les camarades de la section PCF du 15éme avec Marie-Claude Beaudeau alors sénatrice communiste, sont à l’origine de la publication en 2005 du livre « France Telecom – La machine à broyer » (D. Decèze).

A Paris, Le suicide d’une collègue du centre financier a été reconnu par l’inspection du travail comme en lien avec son emploi. Deux cas aussi dramatiques se sont produits en Bretagne. Très logiquement, Bailly et ses sbires font trainer les affaires et les médiatisent dans leur sens. En exploitant les suicides, cas extrêmes, et la souffrance au travail qu’ils fabriquent
eux-mêmes, ils espèrent créer un climat de résignation et ’individualisme.

NON ! La réponse appropriée, c’est la bataille

- contre la dégradation des conditions de travail au jour le jour,

- contre le processus européen de marchandisation et de privatisation,

- pour la défense des statuts le rétablissement des monopoles publics.

 

C’est la convergence des luttes pour transformer en victoire pour les travailleurs le rapport de force qui s’est
exprimé par millions en 2008 contre le changement de statut de La Poste, puis contre la casse des retraites.

Le temps des élections, on dirait que tout est suspendu.

Pas pour nous communistes ! Nous préparons les luttes à venir, singulièrement à La Poste, pour La Poste et les
travailleurs!

Appel à la souscription et aux dons, pour la campagne des candidats communistes Corinne BECOURT et Olivier TOURNAY à l’election législative 10 et 17 juin 2012

PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS-SECTION DE SAINT-QUENTIN

22,rue de la Pomme Rouge- 02100 Saint-Quentin

APPEL AUX DONS ET A LA SOUSCRIPTION

CHERS AMIS ET CAMARADES 

Le choix majoritaire des Communistes de l’arrondissement de Saint Quentin de
présenter de candidats Communistes lors des élections législatives de juin
2012, entraine une responsabilité Nationale de tous ceux qui refusent la
disparition du PCF  et son effacement au profit du Front de Gauche.

Face à nous, c’est le ministre du chômage : Xavier Bertrand qui lui disposera
de tous les moyens de l’appareil UMP, de la machine Ville et de l’argent du
patronat et de nos adversaires de Classe.

Quand au candidat Front de Gauche, lui bénéficiera de tout l’appui de la fédération
de l’Aisne, de la région  et du national PCF, pour combattre nos candidats .de ce coté, tous les moyens sont mis pour
financer la campagne du candidat sur le compte des Communistes.

Les besoins minimums pour cette campagne sont de 15000 €

C’est pourquoi, nous nous adressons à vous, afin de pouvoir financer la campagne de
Corinne et d’Olivier, afin que les moyens financiers ne soient pas un blocage à
notre volonté de ne pas voir liquider notre Parti.

Pour cela  nous proposons que chaque camarade verse selon ses moyens et sa situation :

-       pour les camarades payant des impôts sur le revenu, le montant de leur don  bénéficiera d’une réduction d’impôts de 66
% dans la limite de  4600 € par élection et dans la limite de 20 % du montant du revenu imposable. dans ce cas
le don doit être fait en cheque libellé à l’ordre du mandataire financier :.Georges  VARENNE , un reçu fiscal vous sera remis après le dépôt du compte de campagne .

-         pour les camarades ne payant pas d’impôt sur le revenu , et ne nécessitant pas de reçu fiscal , les versements peuvent être fait en chèques ou en liquide .

Bulletin de VERSEMENT

Je soutiens financièrement la Campagne de
Corinne Bécourt et d’Olivier Tournay- Election législative 10-17 juin-
2éme circonscription de l’Aisne.

 

Nom                                             Prénom

 

Adresse fiscale :

 

Somme versée :                              €    – Cheque N°

 

Banque

Liquide                    €

 

Pour être éventuellement contacté par l’équipe de campagne :

 

Adresse mél :                                             téléphone :

 

Avant, après les élections.Face à la super-austérité d’où qu’elle vienne…

Contexte préélectoral

Préparons la riposte par les luttes contre la  politique du capital et de l’UE!

Les puissances d’argent, le
patronat préparent une attaque généralisée contre nos acquis sociaux et
démocratiques.
L’ère Sarkozy a gravement préparé
le terrain. Il continue, il « charge la barque », quitte à compromettre sa
réélection.

 

Sous l’égide de l’UE, au nom des
déficits publics qu’ils ont eux-mêmes creusés, les gouvernements de droite ou de
« gauche » s’attaquent tour à tour à tous les peuples européens. En Italie, le
patronat a débarqué Berlusconi et c’est le gouvernement de Mario Monti, soutenu
par la « gauche », qui s’applique à casser le contrat de travail, la sécurité
sociale…

 

En France, le temps semble
suspendu aux jeux politiciens de la campagne électorale des présidentielles, sur
fond de large consensus des forces de l’alternance sur les questions économiques
et sociales.

Nous assistons à une formidable
opération de conditionnement des esprits à de nouveaux reculs sociaux. Le choix
se situerait entre l’austérité de droite ou l’austérité « équitable » de
« gauche », ou encore entre TVA sociale et hausse de la CSG dans l’objectif de
démantèlement du financement de la sécurité sociale. Pendant ce temps là, crise
ou pas, les entreprises du CAC 40 réalisent 80 milliards d’euros de
profits.

 

Pour nous communistes, l’heure est
à la préparation de la riposte,
suivant les exemples notamment de
nos camarades grecs ou portugais, avec lesquels nous affirmons totale solidarité
contre la politique de l’UE, de l’euro et de la BCE.

 

Notre priorité, c’est la lutte, la
construction du rapport de force contre la politique au service du capital et du
patronat

Elle implique une clarté sur les
questions principales :

- Nous nous engageons pour battre
la droite et de faire reculer l’extrême-droite que l’on ne doit pas laisser
dévoyer la colère populaire. Ce n’est pas pour autant que nous
entretiendrons d’illusions sur un changement possible de politique avec une
majorité à direction social-démocrate.
Nous excluons toute reproduction
de l’échec, encore lourd de conséquences, de la « gauche plurielle » entre 1997
et 2002.

 

- Il n’y a pas de
véritable changement possible dans l’intérêt des travailleurs sans rupture avec
l’Union européenne du capital.
Nous rejetons toute illusion sur une
« réorientation sociale » de l’UE. Notre lutte contre le nouvel accord européen
se situe dans la suite de l’opposition fondamentale du PCF au traité de
Maastricht instituant l’euro.

 

- Pour l’avenir, nous pensons que
notre pays a besoin du PCF, de ce qu’il représente comme parti révolutionnaire
dans l’histoire. Nous refusons tout projet de recomposition politique à
gauche incluant notre parti dans un bloc réformiste.

 

Nos prises de position, nos
actions pendant la campagne électorale sont, en cohérence, dirigées vers le
développement des luttes,
pour le logement, l’école, la
sécurité sociale, les services publics, les salaires et l’emploi… au plan
national comme dans les quartiers et les entreprises

Il y a à peine un an, nous étions
des millions, avec le soutien majoritaire de la population, à combattre la
contre-réforme des retraites. Le potentiel existe pour mettre en échec la
politique au service du patronat et du capital. D’abord par la
lutte.

 

Les travailleurs, le peuple de
France vont avoir besoin des communistes !

L’illusion de l’Europe sociale. Et pendant qu’Athènes brûle, ils se bercent d’illusions.

Le secrétaire du syndicat des cheminots anglais Alex Gordon (RMT) dénonce « l’illusion de l’Europe sociale » dans la ligne du Trade union congress (TUC) et de la CES

L’illusion de    l’Europe sociale

Traduction AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

 par Alex Gordon, secrétaire du syndicat des    cheminots britanniques RMT

La brochure, publiée avec le soutien de la Commission européenne, réunit toute un panel    d’auteurs des milieux universitaire, juridique, syndical et patronal qui avancent des arguments en faveur de l’Europe sociale. Sa thèse centrale est que les règles communes au sein du marché    unique de l’UE pour la « libre circulation » du capital, des biens et des services devraient valoir aussi pour le travail.

Le dernier plaidoyer du TUC pour l’Europe sociale tombe à un bien    mauvais moment, et semble nous rappeler cette vieille chanson : « A part ça, tout va très bien Madame la marquise ? »

Les députés Grecs sous la menace de la Commission et de la BCE de    mettre la Grèce en faillite ont voté la baisse de 23% du salaire minimum, la suppression de 150 000 emplois publics et la diminution des retraites.

Au Portugal, plus de 300 000 manifestants ont envahi la place du    Palais à Lisbonne pour ce qui fut la plus grande manifestation de ces trois dernières décennies pour accueillir la troïka venu soutenir les mesures d’austérité au    Portugal.

« Nous basons notre analyse sur les souffrances    quotidiennes des travailleurs », a déclaré le secrétaire-général de la CGTP Arménio Carlos à ses    syndiqués qui scandaient : « Le FMI ne dictera pas sa loi    ici ! »

« Nous devons intensifier la    lutte », a-t-il ajouté, et les syndicats prévoient une nouvelle vague de manifestation dans le pays    et une grève générale pour le 22 mars.

Le TUC britannique, de son côté, laisse croire que ce les mêmes    institutions qui imposent l’austérité actuellement en Irlande, au Portugal, en Grèce, en Espagne devraient être privilégiées pour, selon le terme de lord John Monks« affronter la crise économique en forgeant de nouveaux pactes sociaux entre gouvernements, patrons et    syndicats »afin de faire porter le fardeau de la crise sur l’ensemble des couches de la    société.

En réalité, les réalisations de l’Europe sociale sont bien limitées. La Directive sur le temps de travail fut introduite pour    augmenter le temps de travail légal de 35 heures en France à 48, une Directive sur l’égalité des salaires a suivi les pas de la Loi sur l’égalité des salaires de Barbara Castle en 1970, la    Directive sur les agences d’intérim a été dévoyée par les patrons au nom de la ‘dérogation suédoise’, permettant de refuser l’égalité de traitement pour les travailleurs temporaires, et la    consultation promise au niveau des Comités d’entreprise européens ont clairement échoué à endiguer la tendance à la perte d’emplois dans toute l’Europe.

Lord John Monks reconnaît que l’agenda social de l’UE est mince. Si c’était le seul problème, on pourrait dire que ce serait    comme si l’on mettait du rouge à lèvres à un cochon.

Cependant, comme un autre contributeur, le professeur Catherine Barnard le    souligne, le but du traité de Rome de 1957 était de créer un marché unique avec liberté de circulation des biens, des personnes, des services et du capital. « Il considérait donc le travail, avant tout, comme une ressource productive à qui la liberté de circulation s’appliquait ».

Il s’agit en réalité d’un modèle anti-social où les droits sociaux des travailleurs sont autant d’entraves à la liberté du    commerce – une vision qu’un patron du 19ème siècle aurait partagé.

Pendant ce temps, la législation nationale protégeant les droits syndicaux et ouvriers a été attaquée par une succession de    décisions de la Cour de justice européenne appliquant les « quatre libertés fondamentales » du Traité européen non seulement aux Etats mais aussi aux syndicats.

L’action collective, peu importe qu’elle soit conforme aux législation et constitution nationales, est une entrave à la liberté    de circulation.

Des mémorandums signés entre l’UE et l’Irlande, le Portugal et la Grèce ont conditionné les plans de renflouement à la    suppression des négociations collectives pour les salariés du public, et ont été utilisés par le gouvernement Irlandais en 2011 comme prétexte pour diminuer le salaire minimum d’1 euro par    heure.

Les Conservateurs et les Démocrates n’ont pas été en reste et se sont révélés de « bons européens » en mettant en    place l’austérité de l’UE.

Comme le souligne le professeur Barnard, « ils s’en sont servis comme d’un prétexte pour engager certaines réformes du    travail, par exemple en augmentant le seuil d’ancienneté de un à deux ans avant de pouvoir engager une plainte pour licenciement abusif, et retirant potentiellement le droit à déposer une plainte    pour licenciement abusif à tous ceux employés dans des micro-entreprises. »

Comme l’explique Lord Monks, l’idée d’Europe sociale remonte à Jacques Delors, le ministre des Finances du président Mitterrand    dans les années 1980, qui a conduit l’échec de la relance keynésienne de l’économie Française.

En concluant que la social-démocratie devait épouser la conception du marché, Delors devint président de la Commission    européenne en 1985, une période marquée par la défaite historique du mouvement ouvrier organisé en Europe.

Le Keynésianisme d’après-guerre se concentrait sur le plein emploi et l’augmentation des salaires. Sous le modèle de Delors,    tout cela fut remis en cause et remplacé par des politiques mettant l’accent sur la stabilité des prix – une inflation faible – plutôt que sur la création d’emplois, se concentrant sur la    modération salariale et la réforme du marché du travail comme principale voie pour maintenir la compétitivité.

En Italie et en Allemagne, ce changement a été mis en œuvre par le biais d’accords corporatistes. En Grande-Bretagne, un    affrontement direct s’est produit entre le mouvement ouvrier et l’État dans les années 1980.

La privatisation et la libéralisation des marchés financiers dans toute l’Europe ne sont survenues que comme conséquence de    décisions prises par des gouvernements nationaux.

Les pays leaders de l’Europe sociale, telle que l’Allemagne et les Pays-Bas, ont compté sur des modèles de croissance    anti-sociaux.

En Allemagne, la modération sociale pratiquée par les syndicats et favorisant les industries d’exportation a été décisive dans    le succès obtenu par le pays depuis la crise des années 2000.

Des politiques similaires ont été mises en œuvres aux Pays-Bas, le pays avec le plus faible taux de chômage en Europe mais aussi    avec la plus forte proportion de travailleurs en contrat temporaire et en CDD.

Ce modèle de croissance a créé des tensions entre Etats-membres capables de réaliser des dévaluations compétitives internes et    ceux dans la périphérie de l’eurozone – comme l’Irlande – où une croissance boostée aux crédits a conduit à une hausse des salaires.

L’union monétaire Européenne est une extension de cette Europe anti-sociale, empêchant les pays d’utiliser la dévaluation    monétaire comme moyen de retrouver une compétitivité, toutes les pressions ont été reportées sur les marchés du travail. Désormais avec toutes ces ressources immobilisées dans les renflouements    des banques, c’est le dur retour à réalité.

Le TUC participe à un débat tout à fait actuel, alors que les syndicalistes de toute l’Europe choisissent de combattre les    mesures d’austérité de l’UE et l’idéologie néo-libérale soutenus par les institutions de l’UE.

Hélas, leurs conclusions ne sont pas seulement fausses, elles nourrissent de dangereuses illusions.

Au lieu de fantasmer sur d’éventuels pactes entre partenaires sociaux, le TUC devrait tirer des leçons de syndicats de lutte,    comme la CGTP au Portugal.

Et pendant qu’Athènes brûle, ils se bercent d’illusions.

TOTAL, GDF, EDF, NOS FACTURES SONT LEURS PROFITS !

(voir tract énergie/Grand froid avec nos propositions, baisse immédiate des tarifs, renationalisation, rejet des directives européennes…) http://pcfsaintquentin.unblog.fr/2012/02/26/energielogementle-grand-froid-ravive-de-grandes-plaies-politiques/

 

TOTAL : 12,3 milliards d’euros de
profits pour 2011
(5,1 milliards d’euros de dividendes donnés à ses
actionnaires tout en fermant les sites français de raffinerie). Les prix du
fioul et de l’essence flambent.

 

GDF-SUEZ : 3,5 milliards d’euros
de profits pour 2011
. Hausse des tarifs du gaz: + 66,8%
entre 2005 et 2012

Le gouvernement a réussi le tour de
passe-passe de promettre un gel des prix en 2011 avant de les augmenter de 4,4%
au 1er janvier 2012 en reportant la responsabilité sur…  le Conseil
d’Etat !

Rien dans l’évolution des contrats
d’approvisionnement, tous à long terme, ne saurait justifier les hausses. Au
contraire, GDF-Suez a annoncé en janvier 2012 les avoir « renégociés » pour
déconnecter les prix des cours du pétrole et prévoit « une baisse significative
des coûts d’importation ». Encore pour la poche des actionnaires ?

Les 3 milliards d’euros de
dividendes versés aux actionnaires en 2011 représentent 600 euros par foyer
abonné se chauffant au gaz !

 

EDF : 5 milliards d’euros de
profits en 2011
sans compter le coût, le gâchis,
de ses rachats d’entreprises à l’étranger.

Hausse des tarifs de l’électricité
: + 20% depuis 2005. + 30% annoncé d’ici 2015!


Le pouvoir et l’UE préparent de nouvelles hausses
aussi vertigineuses qu’injustifiées. Ils conditionnent l’opinion dans ce
sens.

La Commission de régulation de
l’énergie (CRE) est une instance créée en 2000 (par la gauche plurielle) pour
organiser en France la libéralisation du marché de l’électricité et du gaz,
suivant les directives européennes. Ni « neutre », ni « indépendante », mais
directement liée aux trusts du secteur, la voilà qui affirme que les tarifs
devraient augmenter de 30% d’ici 2016 ! Rien de moins.

Dans le même objectif d’intoxication, le
pouvoir et ses relais (qu’ils s’affichent pro comme anti-nucléaires) exploitent
cyniquement le séisme de Fukushima.

Les estimations avancées du coût des
nouvelles mesures de sûreté et de la prolongation de l’exploitation des
centrales leur donnent l’occasion d’agiter des montants énormes. Ils prennent
gardent de ne jamais les replacer dans le temps (des décennies) et de ne pas les
confronter aux coûts des autres modes de production. La Cour des comptes s’est,
entre autres, livrée à cette opération fin janvier.

Fukushima permet aussi d’accélérer
le développement du marché qui s’annonce juteux des énergies renouvelables pour
lesquelles on prépare aussi l’opinion à accepter des surcoûts.

La question de fond, après
Fukushima, est soigneusement évitée : la nécessité d’une renationalisation
intégrale de la filière nucléaire et de la production d’électricité à partir des
énergies renouvelables.

Qu’est-ce qui justifie réellement cette augmentation
voulue des tarifs ? Réponse : la recherche du profit et rien d’autre
!

Les bénéfices et les dividendes
d’EDF ont été multipliés par 10 depuis 2004. Pour 2010, 2,1 milliards d’euros a
été distribués en dividendes, dont 1,7 milliard pour l’Etat, ce qui constitue –
pour l’instant – un impôt déguisé particulièrement injuste. 5 milliards d’euros
de bénéfices ont été annoncés pour 2011.

Le gâchis financier est aggravé par
les opérations financières « capitalistiques » engagées par EDF pour racheter
des concurrents dans le monde entier.

Tout cet argent devrait servir à l’investissement et
il n’est nul besoin d’augmenter les tarifs !

La logique de la loi « Nouvelle
organisation du marché de l’électricité » (NOME), votée l’an dernier, à la suite
d’une directive européenne soutenue par la droite et la gauche, prépare
l’inverse. Les marchands privés pourront acheter au prix quasi-coûtant de
l’exploitation l’électricité nucléaire d’EDF. Ils pourront la revendre plus cher
et profiter des lourds investissements passés sans être contraints d’investir
pour l’avenir. Les prix réglementés monteront d’autant pour faire payer à
nouveau les usagers.

Depuis que la privatisation d’EDF a
commencé, jamais les services n’ont coûté aussi cher, jamais les conditions de
travail des électriciens (et gaziers) n’ont été aussi dégradées, jamais les
coupures n’ont été aussi fréquentes. La Bretagne et la Provence toutes entières
sont sous la menace d’un black-out complet comme ce qu’ont connu des millions de
Californiens encore en 2011.

C’est ça le progrès ?

Soirée militante autour de Corinne BECOURT et Olivier TOURNAY, candidats PCF-Election Législative 10 et 17 juin 2012

Une soirée fraternelle, conviviale, engagée, combative…VIVE LE PCF

Ensemble, renvoyons dans les cordes le futur »ex » Ministre Xavier BERTRAND

STOP A LA DROITE ET A L’EXTRËME DROITE

127 participants, un soutien national de plusieurs camarades du Conseil National du PCF (Sous peu, nous mettrons en lignes les différents discours de la soirée)

Ils étaient présents pour soutenir les candidats du PCF de la 2éme Circonscription de l’Aisne

EMMANUEL DANG TRAN, Membre du Conseil National du PCF, Paris

FREDERIC BERNABE,  Secrétaire départemental du PCF Haute-Saône , Membre du Conseil National du PCF

DOMINIQUE NEGRI, Membre du Conseil National du PCF, Isère

JEOFFROY MOREAUX, Membre du Conseil National de la JC

ROBBIN MATTA, Membre du Conseil National de la JC

 

Le Soutien « aux candidats légitimes des communistes  Corinne et Olivier » d’ERIC JALADE, JALADE,  Secrétaire départemental du PCF Tarn , Membre du Conseil National

Mes chers camarades,

Je ne peux être des vôtres ce soir à Saint-Quentin, pour des raisons personnelles.


Cela étant, comme membre du Conseil National du Parti Communiste Français, je tenais à vous témoigner de mon soutien à votre campagne pour les élections législatives dans la circonscription de Saint-Quentin.


Les statuts de notre parti sont clairs : vous êtes les candidats légitimes des communistes, de notre parti, ici à Saint-Quentin. 

Olivier, Corinne, vous êtes des militants reconnus et respectés, dans votre ville, face à une droite agressive, celle de Xavier Bertrand. 


Vous êtes, Corinne et Olivier, des camarades chaleureux et fraternels, toujours présents sur le terrain, toujours aux cotés de celles et ceux qui souffrent.


Vous êtes et vous serez les communistes offensifs et rassembleurs, toujours attentifs aux souffrances des gens, les adversaires les plus résolus et conséquents de la politique du capital, porteurs de propositions en rupture avec le capitalisme.

 A l’heure ou tout montre que ce capitalisme et tous ses rouages ne sont plus qu’une machine à broyer les droits des travailleurs, nous aurons besoin, au Parlement, d’élus comme vous, qui connaissent, parce qu’ils les vivent, les souffrances de notre peuple. Nous aurons besoin d’élus et de députés communistes, points d’appuis irremplaçables pour le monde du travail et pour nos victoires et conquêtes futures. 

 

Je vous souhaite plein succès pour votre réunion et votre campagne.


à très bientôt,

 

Fraternellement,


Eric JALADE

Pas de droits sur l'album 254457

 

 

 

1 Commentaire

Saint-Quentin et les mauvais coups de X.Bertrand :La section de St-Quentin du PCF appelle à participer nombreux au rassemblement de soutien pour garder notre »Bourse du Travail » organisé par la CGT.

Saint-Quentin et les mauvais coups de X.Bertrand :La section de St-Quentin du PCF appelle à participer nombreux au rassemblement de soutien pour garder notre

 

 

 

 

Je m’appelle Jef Duval, j’ai 23 ans, je suis technicien clientèle depuis 2008 au service commun d’ERDF-GRDF à l’agence clientèle d’Arcueil, après avoir été pendant deux ans apprenti à l’agence de Sannois….. et je suis sur le point d’être licencié.

Je m'appelle Jef Duval, j'ai 23 ans, je suis technicien clientèle depuis 2008 au service commun d'ERDF-GRDF à l'agence clientèle d'Arcueil, après avoir été  pendant deux ans apprenti à l'agence de Sannois….. et je suis sur le point d'être licencié. dans Luttes, grèves, manifs Affiche_Non_au_licenciement_de_Jef-2-212x300Je m’appelle Jef Duval, j’ai 23 ans, je suis technicien clientèle depuis 2008 au service commun d’ERDF-GRDF à l’agence clientèle d’Arcueil, après avoir été  pendant deux ans apprenti à l’agence de Sannois….. et je suis sur le point d’être licencié.

http://www.fnme-cgt.fr/pages/signe_petition.php?mess=ok&id_pet=26

Comme tous les agents techniques clientèle, il effectue    régulièrement des tournées de coupure non paiement. 1245 coupures    non paiements ont été programmées entre le 1er Juin
et le 31 Août sur la seule agence d’Arcueil.

Cet abattage, ce travail à la chaine devient une source de    licenciement lorsque Jef reconnait pendant un entretien avec ses    responsables, ne pas poser systématiquement de SMI (Service Minimum    1000W). Comme bon nombre d’agents, il porte beaucoup d’attention sur    ces situations de précarité dont il doit faire face toute au long de    sa journée de travail (une vingtaine par jour) et ce plusieurs fois    par semaine. Il est attentif sur chacune de ses interventions et    quand la situation sur place est humainement compliquée, il réalise    cet acte virtuellement, afin de laisser à ces personnes, à ces    familles une dernière bouffée d’oxygène avant la coupure ferme.

Mais cet état d’esprit est devenu insupportable et incompatible avec    la politique du chiffre et la course aux résultats mises en place    depuis la privatisation de nos Entreprises. Les techniciens n’ont    même plus la garantie de s’assurer que l’usager ait été informé des    aides auxquelles il a le droit avant d’en arriver à la sanction    ultime que représente une coupure d’énergie.

De façon outrancière et revancharde, la Direction a monté un dossier    de toutes pièces aux fins de se débarrasser d’un agent qui porte les    valeurs que la CGT et que tous citoyens « socialement responsables »    défendent.
Les faits reprochés correspondent simplement aux aléas du métier de    techniciens clientèle qui ont encore une conscience civique et    morale. Plus aucun technicien du Service Public n’est à l’abri dans    de telles conditions.

Alors non, Jef ne servira pas d’exemple !!!

Cette situation est insupportable et injuste ! Elle nécessite pour    celles et ceux qui croient aux actes citoyens, qui combattent toutes    formes d’injustice d’êtres solidaires dans le combat qui s’engage    aujourd’hui pour que Jef ne soit pas licencié !!
Apportez votre soutien à Jef dès à présent en signant la pétition    jointe (les faire remonter au syndicat CGT Energie Bagneux) elle est    aussi disponible en ligne sur le site fnme-cgt.fr et en envoyant vos    messages de protestations auprès des directions.

http://www.fnme-cgt.fr/pages/signe_petition.php?mess=ok&id_pet=26

� 102, avenue Aristide Briand, 92220 Bagneux � 01 49 86 02 36 � 01    47 35 07 89 � cgt-egd-bagneux@erdf-grdf.fr
Apportez votre soutien à Jef dès à présent en signant la pétition    jointe (les faire remonter au syndicat CGT Bagneux) et en envoyant    vos messages de protestations auprès des directions.

Mme BELLON Directrice d’ERDF : 102 TERRASSE BOIELDIEU TOUR    WINTERTHUR 92085 PARIS LA DEFENSE CEDEX
Fax : 01 81 97 40 05

Mme HEZARD Directrice de GRDF : 6 RUE CONDORCET 75009 PARIS
Fax : 01 71 19 18 34

Mr ASCHARD Directeur Régional d’ERDF-GRDF : 127 BD GRENELLE 75015    PARIS
Fax : 01 43 19 79 20

Je suis solidaire avec la lutte engagée pour empêcher le    licenciement de Jef.
Je demande à Mr BERAUD-DUPALIS, employeur de Jef, de ne pas le    licencier.

Le KKE répond à Pierre Laurent, président du PGE et secrétaire-général du PCF:« Les larmes de crocodile sur la Grèce, cela suffit ! »

Lettre de la section des Relations internationales du KKE publiée dans le Morning Star, quotidien du PC    Britannique

Traduction AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

Le KKE répond à Pierre Laurent, président du PGE et secrétaire-général du PCF:« Les larmes de crocodile sur la Grèce, cela    suffit ! » dans Communisme-Histoire- Théorie 120211_Akropoli-300x199Chers camarades,

il est vrai que le déroulement de la crise capitaliste en Grèce qui s’est accompagné d’une offensive sans    précédent contre les droits de la classe ouvrière et des couches populaires, ainsi que d’une intensification en conséquence de la lutte de classe, a retenu l’attention des travailleurs d’autres    pays. Dans ce contexte, même des forces politiques bourgeoises, qui portent une énorme responsabilité dans cette offensive anti-populaire, affirment qu’ils « sympathisent » avec la    cause du peuple Grec tout en prenant bien soin de dissimuler les véritables causes des problèmes que connaît le peuple grec : la crise capitaliste, le piège qui se renferme sur notre pays,    celui des unions impérialistes telles que l’OTAN et l’UE, enfin l’exploitation capitaliste.

Les représentants de la « Nouvelle gauche » font des déclarations qui s’inscrivent dans ce contexte,    comme la lettre du président du Parti de la gauche européenne (PGE) et secrétaire-général du PCF, Pierre Laurent, au sujet de la Grèce, que vous avez publié dans votre section courrier (Ici l’original en français).

En réalité, le problème que rencontrent la classe ouvrière et les couches populaires en Grèce n’est pas un    problème de « démocratie », de l’imposition de mesures de l’extérieur, par « les dirigeants européens et le FMI », comme l’écrit Pierre Laurent. La coalition gouvernementale    du parti social-démocrate PASOK et du parti libéral Nouvelle démocratie (ND) ne sont pas non plus des « victimes » de ces « leaders européens et du FMI », telle que la    situation est présentée à travers les verres déformants du président du PGE.

La vérité, c’est que ces mesures, qui sont prises sous prétexte de l’ampleur de la dette publique, ont comme but    de renforcer la profitabilité du capital en Grèce, au moyen d’une réduction drastique du prix de la force de travail. Nous ne devons pas oublier qu’en ce moment même 600 milliards d’euros (près    du double de la dette publique grecque) appartenant aux capitalistes Grecs se trouvent dans les caisses des seules banques Suisses !

Il s’agit ainsi de mesures qui correspondent pleinement aux intérêts des capitalistes en vue de faire payer la    crise au peuple, afin que la Grèce puisse connaître une reprise capitaliste et que le capital accumulé dans la période précédente puisse trouver un débouché rentable. Il s’agit de mesures qui ont    été décidées d’un commun accord, dans le cadre de l’UE, par le gouvernement Grec et la classe bourgeoise dont les intérêts sont défendus par les deux partis au pouvoir et qui n’ont pas été    imposées par les « dirigeants européens et le FMI ». Toutes ces mesures se trouvaient plus ou moins dans les programmes du PASOK et de la Nouvelle démocratie, et avaient par ailleurs    été prévues par les traités européens, en commençant par le traité de Maastricht. C’est la raison pour laquelle les classes ouvrières Grecques et Britanniques – et bien sûr toutes les autres –    ont une si mauvaise opinion de l’UE et de son rôle anti-populaire. Dans le même temps, les représentants du PGE en Grèce, Synapsismos, après avoir voté le Traité de Maastricht, ont nourri et    continue systématiquement de nourrir des illusions sur l’UE, en présentant la participation de la Grèce à l’UE comme la seule voie possible et imaginable, s’opposant en cela au KKE qui lutte pour    le retrait du pays de l’UE avec pouvoir populaire.

Le président du PGE parle d’une « mise sous tutelle » de la Grèce par la Troïka. Est-il au courant que    la classe bourgeoise grecque accepte consciemment depuis des décennies de participer aux unions impérialistes de l’OTAN et de l’UE, et que sa participation dans le cadre de relations    inter-dépendantes, prévoyait la concession de droits souverains à l’UE et à l’OTAN ? Sait-il que, par exemple, la Politique agricole commune (PAC) ne laisse aucune place à un développement    dans le secteur de l’économie agricole qui aille dans les intérêts du peuple ? Il faudrait lui rappeler que la Grèce avait, avant de rejoindre la CEE-UE, un excédent commercial agricole,    alors qu’aujourd’hui, à cause de la PAC, elle importe même certains produits agricoles qui sont cultivés en Grèce, tandis que des centaines de milliers de petits et moyens agriculteurs ont    rejoint l’ « armée » des chômeurs.

L’entrée de la Grèce dans l’UE, que le président du PGE évite de mentionner – il préfère plutôt dénoncer les    « dirigeants européens » de façon abstraite – tout comme les dépenses militaires exorbitantes de l’OTAN, la politique d’exonérations fiscales pour le capital au nom de la    « compétitivité » de l’économie, qui a été suivie dans le passé par les gouvernements du PASOK et de la ND, constituent l’origine de l’inflation de la dette publique et des déficits    pour lesquels le peuple Grec ne porte aucune responsabilité.

Bien sûr, ces « omissions » réalisées par le président du PGE ne nous inquiètent pas, car nous savons    très bien que le PGE a prêté un serment d’allégeance à l’UE, et est généreusement financé en tant que « parti européen », c’est-à-dire en tant que parti qui accepte les    « principes » de l’exploitation capitaliste qui caractérisent l’UE – cette alliance prédatrice des monopoles. Le PGE a même pris des engagements en ce sens dans ses statuts et ses    documents fondateurs !

Les propositions du PGE sur le « développement », un soi-disant « fonds de développement    social », ne remettent pas du tout en cause le pouvoir du capital. Au contraire, le PGE et les forces opportunistes à l’échelle internationale jouent un rôle fondamental en semant des    illusions, ce qui passe l’enjolivement des organisations impérialistes telles que l’UE et la BCE, c’est-à-dire en disant qu’elles peuvent être transformées dans les intérêts du peuple, au moment    même où de plus en plus de travailleurs, et pas seulement en Grèce, comprennent que le capitalisme ne peut pas résoudre les problèmes fondamentaux de la population.

Le PGE, en soutenant l’UE et son système d’exploitation, a choisi son camp. Pour cette raison, il constitue un    instrument dans la mutation des Partis communistes et dans la liquidation de leurs caractéristiques communistes. Il ne pose aucun problème aux adversaires de la classe ouvrière et des couches    populaires en Grèce, peu importe le nombre d’appels qu’il puisse publier.

Néanmoins, l’expérience accumulée et le déroulement des luttes de la classe ouvrière en Grèce, avec en première    ligne les communistes et le mouvement syndical de classe, le PAME, montrent bien que de plus en plus de travailleurs ont tendance à se radicaliser lorsqu’ils n’écoutent pas les    « sermons » des opportunistes et des bourgeois pour la « collaboration de classe » et la « cohésion sociale », lorsqu’ils ignorent leurs « larmes de    crocodile » sur les fardeaux qu’aurait à porter le peuple grec.

C’est en suivant cette voie que la classe ouvrière peut atteindre le but ultime de sa lutte, l’abolition du    pouvoir capitaliste et la construction du socialisme.

8 mars, Journée Internationale de la Femme

8 mars, Journée Internationale de la Femme – Lénine à propos de la Journée internationale des travailleuses en 1921

Texte repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

La journée internationale des travailleuses

Le trait essentiel, fondamental du bolchévisme et de la Révolution d’Octobre, c’est d’amener à la politique ceux    qui étaient les plus opprimés sous le régime capitaliste. Les capitalistes les étouffaient, les dupaient et les pillaient aussi bien sous la monarchie que dans les républiques bourgeoises    démocratiques. Cette oppression, cette duperie, ce pillage du labeur populaire étaient inévitables tant que subsistait la propriété privée de la terre, des fabriques et usines.

 

L’essence du bolchévisme, du pouvoir soviétique est de remettre tout le pouvoir d’Etat entre les mains des masses    laborieuses exploitées, en dévoilant la duperie et l’hypocrisie de la démocratie bourgeoise, en abolissant la propriété de la terre, des fabriques et des usines. Ce sont ces masses qui prennent    en main la politique, c’est-à-dire l’édification de la société nouvelle. C’est une œuvre difficile, les masses sont abruties et accablées par le capitalisme, mais il n’existe pas, il ne peut    exister d’autre issue à l’esclavage salarié, à l’esclavage capitaliste.

 

On ne saurait amener les masses à la vie politique sans y attirer les femmes. Car en régime capitaliste, les    femmes, la moitié de l’espèce humaine, sont doublement exploitées. L’ouvrière et la paysanne sont opprimées par le capital, et par surcroît, mêmes dans les républiques bourgeoises les plus    démocratiques, premièrement elles ne jouissent pas de tous les droits, car la loi ne leur confère pas l’égalité avec les hommes ; deuxièmement, et c’est là l’essentiel, elles restent    confinées dans « l’esclavage domestique », elles sont les « esclaves du foyer » accablés par les travaux ménagers, les plus mesquins, ingrats, durs et abrutissants, et en    général par les tâches domestiques et familiales individuelles.

 

La révolution bolchévique, soviétique, coupe les racines de l’oppression et de l’inégalité des femmes de façon    extrêmement profonde, comme aucun parti et aucune révolution au monde n’ont osé les couper. Chez nous, en Russie soviétique, il n’existe pas trace de l’inégalité des femmes par rapport aux hommes    au regard de la loi. Le régime des soviets a totalement aboli l’inégalité odieuse, basse, hypocrite dans le droit matrimonial et familial, l’inégalité touchant l’enfant.

 

Ce n’est là que le premier pas vers l’émancipation de la femme. Aucun des pays bourgeois, même parmi les    républiques les plus démocratiques n’a osé faire ce premier pas. On n’a pas osé, par crainte de la « sacro-sainte propriété privée ».

 

Le deuxième pas et le principal a été l’abolition de la propriété privée de la terre, des fabriques et des usines.    C’est cela et cela seul qui fraye la voie de l’émancipation complète et véritable de la femme, l’abolition de « l’esclavage domestique » grâce à la substitution de la grande économie    collective à l’économie domestique individuelle.

 

Cette transition est difficile ; il s’agit de refondre « l’ordre des choses » le plus enraciné,    coutumier, routinier, endurci ( à la vérité, c’est plutôt une monstruosité, une barbarie). Mais cette transition est entreprise, l’impulsion est donnée, nous sommes engagés dans la nouvelle    voie.

 

En cette journée internationale des ouvrières, on entendra dans les innombrables réunions des ouvrières de tous    les pays du monde, saluer la Russie soviétique qui a amorcé une œuvre incroyablement dure et difficile, une grande œuvre universelle de libération véritable. Des appels galvanisants inciteront à    ne pas perdre courage face à la réaction bourgeoise furieuse, souvent même sauvage. Plus un pays bourgeois est « libre » ou « démocratique », et plus les bandes capitalistes    sévissent avec fureur et sauvagerie contre la révolution des ouvriers ; c’est le cas pour la république démocratique des Etats-Unis d’Amérique. Mais la masse ouvrière s’est déjà réveillée.    La guerre impérialiste a définitivement éveillé les masses endormies, somnolentes, inertes de l’Amérique, de l’Europe et de l’Asie arriérée.

La glace est brisée dans toutes les parties du monde.

L’affranchissement des peuples du joug impérialiste, l’affranchissement des ouvriers et des ouvrières du joug    capitaliste avance irrésistiblement. Des dizaines et des centaines de millions d’ouvriers et de paysans, d’ouvrières et de paysannes ont fait progresser cette œuvre. Voilà pourquoi    l’affranchissement du travail délivré de la servitude capitaliste triomphera dans le monde entier.

4 mars 1921. Publié dans la Pravda du 8 mars 1921.

 

Le système capitaliste en crise cherche à diviser pour mieux imposer sa loi, battons-nous
pour l’égalité homme-femme et l’unité des jeunes travailleurs

Tract de la JC Paris 15

Le système capitaliste s’attache
en temps de crise à diviser pour mieux régner, à faire subir l’exploitation la plus dure aux plus
vulnérables tout en les stigmatisant comme bouc-émissaires si nécessaire. Ainsi
fonctionne-t-il avec les étrangers ou avec les jeunes, précarisés et confinés
dans des salaires de misère, ainsi agit-il également avec les femmes.

 

Une jeune femme sur quatre est au
chômage (24,7%), et 35% des femmes
employées de moins de 25 ans occupent un emploi à temps partiel. Mieux ne vaut
pas être une jeune travailleuse actuellement, surtout quand on nous prive de
travail !

 

L’égalité des droits a été acquise de dure lutte, l’égalité réelle reste un combat.

 

La possibilité de vivre une vie digne et indépendante s’amoindrit avec des salaires indignes,
sachant que les femmes touchent des salaires 25% inférieurs à ceux des hommes,
et qu’elles sont 80% des « travailleurs pauvres » touchant moins de 900 euros par mois.

 

La possibilité
d’envisager une vie personnelle épanouie, avec une vie de couple équilibrée et
du temps pour ses loisirs est minée quand 82% des
salariés qui travaillent à temps partiel sont des femmes, avec les horaires chaotiques et les paies minables
que cela suppose.

 

Et ce n’est pas
fini, les femmes sont
les premières attaquées pendant la crise : les premières renvoyées à la maison, les premières
à qui on va imposer le temps partiel, les premières à qui on va demander
d’arrêter leurs études !

 

Il ne s’agit pas
pour nous de monter les jeunes femmes contre les jeunes hommes, d’opposer les
jeunes en fonction de leur sexe, mais bien de revendiquer l’égalité réelle entre hommes et femmes, pour construire l’unité de la jeunesse,
l’unité des travailleurs pour transformer cette société qui ne crée que la division, l’injustice et la
privation comme seul avenir !

 

Depuis 1910 que
la Journée de la Femme existe (cf encadré), sous l’impulsion des
communistes, la
jeunesse communiste est toujours à l’avant-garde de la lutte pour le droit des
femmes. Nos revendications sont simples,
elles sont applicables dès maintenant mais elles impliquent la rupture avec la
logique de ce système qui place les profits avant l’être humain :

 

· égalité des salaires/égalité à
l’emploi ; augmentation générale des salaires avec un
SMIC à 1 700 euros net pour tous; égalité
salariale à qualification écale; interdiction du temps partiel imposé ;

 

· défense et développement du
service public ; création des 120 000
postes d’enseignants supprimés depuis 2002, ainsi que des postes manquants
d’infirmières et d’aides-soignantes, alors que le public constitue souvent pour
les femmes un rempart contre la précarité. Défense du statut du
fonctionnaire ;

 

· droit des femmes à la maîtrise de
leur corps ; contraception libre et
remboursée à 100%, défense du droit à l’IVG, création de nouveaux centres et
défense de ceux menacés ;

 

· défense de la laïcité ; contre tous les intégrismes, d’où qu’ils viennent,
et toutes les formes d’avilissement de la condition féminine

 

 

 

8 mars, Journée Internationale de la Femme  dans Communisme-Histoire- Théorie 8marsURSSEncadré: La journée
internationale de la femme et les
communistes

 

Peu de gens le
savent, mais ce sont les communistes qui sont à l’origine de la Journée
internationale de la femme, commémorée dans le monde entier le 8
mars.

 

C’est la future
fondatrice du Parti communiste allemand Clara Zetkin qui instituait la Journée
des femmes en 1910. La date du 8 mars s’imposera avec la grève des ouvrières de
Petrograd (St-Petersbourg) en mars 1917, en pleine révolution russe. Lénine, en
1921, décide de rendre hommage à leur lutte et de délivrer un message fort en
soulignant le caractère central de l’émancipation des femmes dans le projet
communiste.

 

L’URSS est, en
1921, le premier Etat à reconnaître la journée de la Femme, et reconnaît alors
de façon inédite l’égalité totale entre hommes et femmes (égalité salariale,
droit à l’avortement, suppression de la tutelle du mari,
etc).

 

En 1977, l’ONU
officialise le 8 mars comme Journée internationale de la
femme.

 

Intervention de Corinne Bécourt, fédération de l’Aisne-Conseil national du PCF du 16 janvier 2012

Conseil national du PCF du 16 janvier 2012

Intervention de Corinne Bécourt, fédération de l’Aisne-Conseil national du PCF du 16 janvier 2012 dans Conseil National du PCF Image1Intervention de Corinne Bécourt, fédération de l’Aisne

 

Les    communistes ont un rôle déterminant à jouer dans la période dans les luttes contre la politique patronale, les plans d’austérité, la super-austérité qui se prépare, sous l’égide de l’Union    européenne, qu’elle que soit la majorité élue en 2012.

 

Notre objectif, c’est d’élever le niveau de la riposte des travailleurs.

C’est dans cette priorité politique que rentre la nécessité de battre la droite et de déjouer l’opération Marine Le Pen destinée à détourner    la colère populaire.

C’est aussi pour cela que nous ne devons pas laisser d’illusions sur une nouvelle alternance électorale à « gauche », même avec une    gauche « dans sa diversité ».

 

La référence affichée de Mélenchon, c’est 1981 avec Mitterrand et la gauche plurielle avec Jospin dont il était ministre.

1997-2002 : c’est l’expérience qui a fait le plus reculer notre Parti dans le gouvernement qui le plus privatisé.

 

Pour 2012, nous devons être clairs dès maintenant. Le débat ne peut pas être esquivé dans les rangs du Parti.

Hollande est aligné sur l’Europe du capital : c’est sa cohérence politique, c’est un constat. Pour moi, il faut    annoncer que nous ne participerons pas à un gouvernement

PS, que nous ne rentrerons pas dans une nouvelle majorité derrière le PS.

De son côté, Mélenchon indique, tactiquement, à titre personnel, qu’il ne participera pas à un prochain gouvernement socialiste. Il en a déjà    bien profité… Ce serait grave que le PCF apparaisse être en retrait sur lui.

 

Ma conviction, c’est que ce dont le pays a besoin, c’est d’un PCF renforcé sur la base de son identité.

Le Front de gauche, paraît-il, attire beaucoup de socialiste. Je ne sais pas si c’est une bonne chose.

En tout cas, nous ne pouvons pas accepter qu’il supplante peu à peu l’organisation communiste, comme certains dirigeants le demandent    explicitement dans des appels publics. Jamais les communistes ne l’ont décidé.

 

Dans ma fédération, l’Aisne, certains voudraient faire prévaloir le Front de gauche et ses accords politiciens sur le PCF et le respect de nos    statuts. C’est grave !

Les communistes de la 2ème circonscription, le Saint-Quentinois, ont voté. Conformément aux statuts du Parti, ils se sont prononcés    à une forte majorité pour des candidatures PCF aux législatives clairement identifiées, ancrées dans les luttes, les entreprises, les quartiers, dont celle de l’élu communiste de    Saint-Quentin.

 

Il est inadmissible que la direction fédérale bafoue elle-même les statuts du Parti, qu’elle essaie d’aller à l’encontre de la décision des    communistes pour imposer les marchandages du Front de gauche. J’ai la confirmation ici que le malaise est quasi-général dans les fédérations.

C’est dangereux pour l’avenir du Parti. C’est révélateur sur le Front de gauche.

 

Les communistes de la circonscription ne laisseront pas démobiliser. Le maire de Saint-Quentin, c’est Xavier Bertrand !

Les luttes qu’ils animent pour l’emploi et les salaires, contre la précarité, les expulsions, la fermeture programmée de deux écoles    s’intègrent encore plus dans la montée de la riposte générale. Elles sont les meilleures armes contre le capital, les politiciens à son service, le FN.

 

Pour que les électeurs puissent relayer ces luttes, pour que le Parti se renforce, il faut que tout le PCF soutienne les candidats que les    communistes ont choisis.

Demain, lundi 5 mars,contre la venue de SARKOZY à Saint-Quentin; rendez vous à 17H30 devant la mairie.Que chacun prenne un BALAI pour nettoyer notre ville

Parti Communiste Français-Section de Saint-Quentin

Nous venons d’apprendre la venue ‘secrête » ce lundi 5mars de N.Sarkozy à Saint-Quentin, avec la complicité de son chouchou X.BERTRAND
Nous avons peu de temps pour agir, mais il est possible de lui faire savoir haut et fort notre colère
Chômage, précarité, mal-logement, pauvreté : c’est cela la politique du capital et du patronat. Ils tirent profit de leur propre crise contre nous. Sarkozy et Xavier Bertrand, son ministre du chômage, sont leurs serviteurs zélés.
Alors stop ou encore ?
RASSEMBLEMENT A 17H30 DEVANT LA MAIRIE DE ST QUENTIN
Utilisons le téléphone, les mails, ect, tous les outils posssible pour réussir cette mobilisation de dernière minute
Pour le PCF
Jean Luc TOURNAY, secrétaire de Section
et les candidats PCF à l’election législative
Corinne BECOURT
Et Olivier TOURNAY
Candidat

 

 

 

 

 

 

 

 

Sauf changement de dernière minute, Sarkozy sera ce lundi 5 mars à Saint-Quentin pour visiter l’Epide (info Courrier Picard)

Nous ne connaissons ni les horaires , ni le parcours.

Sarko et son copain X.Bertrand organisent cette visite en cachette;

 Pas très franchouillard d’avoir peur du peuple;

 

Cilp de sa derniére venue qui était elle « annoncée »
http://www.dailymotion.com/video/x8snyz

http://www.dailymotion.com/video/x8sznn

SAMEDI 10 MARS…couscous royal, musique, fraternité et soutien…Une soirée franchement « Communiste »

PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS- Section de Saint-Quentin-22 rue de la Pomme Rouge-02100 Saint-Quentin

SAMEDI 10 MARS 2012

 Salle Paringault– Rue Kennedy- Saint-Quentin-19H00

Couscous Royal-12 euros (boissons en sus)

Musique et fraternité

 

Ils seront présents pour soutenir les candidats PCF du Saint-Quentinois

  • Frédéric BERNABE,  Secrétaire départemental du PCF Haute-Saône, membre du Conseil National
  • Emmanuel DANG TRAN, Membre du Conseil National, Paris
  • Eric JALADE, Secrétaire départemental du PCF Tarn, Membre du Conseil National
  • Dominique NEGRI, Membre du Conseil National, Isère
  • Egalement Jeoffroy Moreaux, membre du Conseil national de la Jeunesse communiste

Ce sera aussi une soirée de Solidarité avec la participation de 

 « l’Association France Palestine Solidarité » dont le Président Nord Pas de Calais Jean François LAROSIERE

2éme Circonscription de L’Aisne-Les 10 et 17 juin 2012, votez Communiste.

SAMEDI 10 MARS...couscous royal, musique, fraternité et soutien...Une soirée franchement Venez rencontrer les candidats du PCF à l’élection législative !olivier-216x300 dans ELECTIONS: Un moyen pas un objectif

Corinne BECOURT Titulaire, Membre du Conseil National du PCF,

 Et Olivier TOURNAY suppléant,  Conseiller municipal PCF

 

 

Travailleurs, amis, camarades, allons ensemble au combat !

Ce qui nous rassemble, c’est le ras-le-bol quotidien, la colère, la rage devant la montée des injustices. Pendant que certains se gavent sur notre dos, volent le fruit de notre travail, détruisent nos acquis sociaux, nous, nous nous privons, nous payons plus, nous gagnons moins. Chômage, précarité, mal-logement, pauvreté : c’est cela la politique du capital et du patronat. Ils tirent profit de leur propre crise contre nous. Sarkozy et Xavier Bertrand, son ministre du chômage, sont leurs serviteurs zélés. Alors stop ou encore ?

Pour nous, avec nos camarades de Saint-Quentin, il y a une autre perspective que de subir les politiques de casse sociale coordonnées par l’UE. La question n’est pas de choisir entre le pire et le moins pire quand les alternances de « gauche », ici et ailleurs, ne règlent aucun problème de fond, poussent à la résignation.

L’alternative, c’est élever la riposte populaire jusqu’à commencer à faire échec à cette politique. Nous avons été de toutes les luttes, grandes ou petites, ces dernières années : pour défendre les retraites, contre les fermetures de classe, pour les salaires, le droit au logement, contre la flambée des tarifs de l’énergie… C’est la raison d’être de notre engagement politique, du côté des travailleurs, des précaires, des sans-emploi, des plus démunis.

Nos candidatures aux législatives, présentées par le PCF, n’ont que cet objectif. Nous les mettons à votre disposition. C’est pour cela que le vote communiste sera le seul vote utile. Ensemble, avec vous, nous pouvons renvoyer dans les cordes Bertrand et cie, faire reculer les idées nauséabondes dans nos quartiers, décider ceux qui n’y croient plus à agir, amorcer le changement de société.

Agissons et déclarons ensemble la guerre au capital »

La liste du comité de soutiens mise à jour;

Président, Jérôme LESUR

Pour participer aussi, envois un mail à pcfquentin@live.fr

KUBIAC
ANDRE
Retraité textile ST QUENTIN
DERMIEN René Retraité ST QUENTIN
COUTTE Mauricette retraitée ST QUENTIN
BERNA Mickael Demandeur
d’emploi
ST QUENTIN
BERNA Florian Demandeur
d’emploi
ST QUENTIN
DRUENNE Amandine Mère au foyer ST QUENTIN
BERGOUGNOUX DANIEL Commerçant ST QUENTIN
ALAPETITE Stéphanie Responsable
associative-Mére au foyer
ST QUENTIN
SOUVENT Denise Mère au foyer ST QUENTIN
LEGRAN Denis Saisonnier ST QUENTIN
BERTIN Marcel Retraité textile ST QUENTIN
BERNA Mallory Anmatrice
saisonnière
ST QUENTIN
THUBE Frédéric Couvreur ST QUENTIN
PARADIS Gérard Demandeur
d’emploi
ST QUENTIN
NOWAK MICHEL Secrétaire ARAC
, enseignant retraité
ST QUENTIN
RZEPKA  CHRISTIAN  Demandeur
d’emploi
ST QUENTIN
TOPIN CEDRIC Enseignant
Spécialisé
NEUVILLE ST
AMAND
PIERIN Johann Demandeur
d’emploi
ST QUENTIN
BOULANGER Ludovic (Toufik) Chaudronnier
cheminot
ST QUENTIN
DELAIRE Elisabeth Agent
d’entretien
ST QUENTIN
DELAPLACE Pascal Chauffeur ST QUENTIN
GORLIER Alice Responsable de
rayon  grande distribution
ST QUENTIN
MERAULT Benjamin Educateur ST QUENTIN
MORET Katy Agricultrice bio ST Quentinois
VARENNE
Benoit
Ouvrier boulanger ST QUENTIN
DEGUISE LOIC Employé restauration ST QUENTIN
LESUR William Ancien responsable comité
chômeur
HOLNON
BELLICHE
Nora
Employée services publiques GAUCHY
BRANCOURT
JEAN LUC
Retraité – Etp Giraudy colleur
d’affiches
ST QUENTIN
CARNIELLO
FREDOCH
Infographiste Responsable
associatif
ST QUENTIN
DESMIDTS
JEAN MARIE
Syndicaliste et responsable
associatifs
ST QUENTIN
FOUBET Christophe Technicien méthodes ST QUENTIN
GOBINET RICO Moniteur Educateur ST QUENTIN
KERENFLECH
CORINNE
Mère au foyer Responsable
Associatif
ST QUENTIN
MARIE ROGER  Retraité syndicaliste Hôpital ST QUENTIN
TASSERIT
BRIGITTE
RECEPTIONNISTE ST QUENTIN
BLONDEL Françoise Agent
d’entretien
ST QUENTIN
BLANCHARD
EMMANUEL
Doctorant ST QUENTIN
DUCHE
Vincent
Enseignant, ancien secrétaire
départemental de la FSU 02
GRUGIES
LESUR ALEXANDRE fonction publique Syndicaliste ST QUENTIN
PLE Aurélie Enseignante ST QUENTIN
SALLES AGATHE Empoyé transports ST QUENTIN
TIMELLI DOMINIQUE Agent entretien ST QUENTIN
TOURNAY JOSETTE Enseignante
RETRAITEE
ST QUENTIN
VILLAUME
Marie Claire
Retraitée Hôpital ST QUENTIN
VILLAUME
PIERRE
Syndicaliste-Retraité Le Creuset ST QUENTIN
CARRIER
Serge
Syndicaliste retraité Ville
St-Quentin
ST QUENTIN
CASINELLI
Jérôme
 Intermittent du spectacle ST QUENTIN
CORBISET Muriel Retraitée SIT HARLY
DEGUELDAIRE Jean Michel Demandeur d’emploi ROUVROY
HELIN Antoine Educateur ST QUENTIN
LARIBI Fétoum Demandeur d’emploi ST QUENTIN
MARIE Arlette Retraitée ST QUENTIN
POUPON OLIVIER demandeur d’emploi ST QUENTIN
POUPON PASCAL commercant marchés ST QUENTIN
ALEC Vasilé Cariste ST QUENTIN
ALI Jeanne Retraitée ST QUENTIN
ALI
ALAIN
Retraité syndicaliste Soprocos ST QUENTIN
BEAUFORT BRUNO ST QUENTIN
BEGHIN Bernard Retraité ST QUENTIN
BEGHIN Noelle  Retraitée ST QUENTIN
BERLEMONT Léonie Enseignante ST QUENTIN
BERNA BLANDINE Demandeur d’emploi ST QUENTIN
BERNA PATRIK Demandeur d’emploi ST QUENTIN
BONNARD Mélanie demandeur d’emploi ST QUENTIN
BOUCLY Elisabeth Retraitée commerce ST QUENTIN
BROTONNE Linda  Vendeuse ST QUENTIN
CARPENTIER
LAURIE
Animatrice ST QUENTIN
CARPENTIER
PAULETTE
 retraitée Hôpital ST
QUENTIN
CARRIER SERGE Retraité syndicaliste HARLY
CASIER
SERGE
Communaute d agglomeration
Syndicaliste
ST QUENTIN
CATTEAU Jean Philippe Chef de dépôt -Responsable
associatif
ST QUENTIN
CORBONNOIS
SEBASTIEN 
Musicien Responsable Associatf GAUCHY
DENIS GUY Retraité-Syndicaliste,
ancien conseiller Prudhomme
ST QUENTIN
DENIVET
FRANCOISE 
Demandeur emploi ST QUENTIN
DUMONT Renaud  Conseiller Principal d’ Education, lycée Jean BOUIN ST QUENTIN
GABERT JEAN JACQUES agent de maitrise MBK GAUCHY
GABERT MICHELLE Retraitée MBK GAUCHY
HURTEBISE
DOMINIQUE
Demandeur Emploi Licencié SIT ST QUENTIN
JAN AURELIEN Enseignant ST QUENTIN
JOUBE
JOCELYNE 
retraitée fonction publique ST QUENTIN
KERENFLECH Sébastien Étudiant Laon ST QUENTIN
LARUE-ANTOINE
Marie Christiane
Retraitée ST QUENTIN
LAVEILLE
GEORGES
Artisans retraité ST
QUENTIN
LEPINE LYONNELLE Bibliothécaire ST QUENTIN
LEROSEY Benoit Etudiant Paris ST QUENTIN
LESUR  jérome  Professeur des écoles
spécialisé
ST QUENTIN
MICHEL David Gérant GAUCHY
NOWACK Dominique Expert comptable ST QUENTIN
PESANT Philippe Invalide MONTESCOURT LIZEROLLES
PLE CHRISTIAN  Chef entreprise Artisan ST QUENTIN
PLE SABRINA Comptable GAUCHY
POETTE
Jean Claude
Fonction publique ST QUENTIN
POINT Jean Pierre   Employé municipal GAUCHY
POLLE Valérie Animatrice ST QUENTIN
PUDEPIECE DIDIER demandeur d’emploi ST QUENTIN
SAUVET
BRUNO 
Invalide ST QUENTIN
SAVARY   Jean François Cheminot retraité ST QUENTIN
SOUAILLE
Claudine
Ouvrière Soprocos HOMBLIERES
TASSIN DIDIER Demandeur d’emploi-Responsable
associatif
ST QUENTIN
TOURNAY Jean Luc Secrétaire
de la Section de St-Quentin du PCF
ST QUENTIN
TOURNAY
MAURICETTE
Electro mécanicienne ST QUENTIN
VAN
DAMME Denys
Commercial SAINT SIMON
VARENNE
Georges
Cadre territorial-Syndicaliste ST QUENTIN
VAT STEPHANIE Enseignante spécialisée ST QUENTIN
VENANT VALERIE EMPLOYEE DE COMMERCE ST QUENTIN
VITASSE
Christian
Fonction publique ST QUENTIN
BERNABE
Frédéric
Membre du Conseil National du
PCF
Haute-Saône 
DANG
TRAN Emmanuel
Membre du Conseil National du
PCF
PARIS
JALADE
Rric
Secrétaire Fédéral Haute-Saône
-Membre du Conseil National du PCF
TARN
NEGRI
Dominique
Membre du Conseil National du
PCF
ISERE
CARON Patrice Conseiller municipal communiste
de Roye (80) , je vous apporte mon soutien le plus entier, pour l’identité du
Parti Communiste, pour le combat de classe plus que nécessaire aujourd’hui et
pour demain
ROYE 80
EVELOY Jean Marie Retraité industrie pharmaceutique AVENTIS HIRSON
FONTAINE
Jocelyn
Le militant Le responsable l’élu communiste de la fédération
du nord, soutient sans faille les candidats aux législatives Corinne Bécourt
et Olivier Tournay de StQuentin Aisne
RAISME- NORD
GARCIA
Jacky
Vétérante pcf Côte d’Or
HERNANDEZ
José
Membre de la comminssion
nationale PCF entreprises
 Albi, 81, Tarn
HERVE
YannIck
Musicien 50210 – Montpinchon
MALONSKA
Philippe
Agent SNCF-Syndicaliste Ile de France
NEGRI
Domnique
Fonctionnaire-Syndicaliste-
Membre du Conseil National du PCF
ISERE
POULY
Michel
je te souhaite une pêche
d\’enfer et gagner ta place de députée pour l\’Aisne et St Quentin. amitié
Michel d\’Annoeullin
Annoeullin- NORD
SELLIER
Patrck
 ex salarié d’Abélia Décors à Abbeville ((80
)),syndicaliste CGT
Picardie
SINGER
Alain
salarié du batiment et « de
la france d’en bas »
Picardie
TOURNAY
Alain
Commercial Grande distribution Toulon Var
TOURNAY
Josette
Enseignante à st Quentin,
retraitée
Méounes- VAR

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