Archive | juin 2011

Le travail du Ministre du chômage, Maire de St-Quentin Xavier BERTRAND: France : 34 800 chômeurs supplémentaires en mai 2011. 156 600 chômeurs supplémentaires en un an.

SANS COMMENTAIRE, les chiffres parlent d’eux même……..SI à X.BERTRAND…Paroles, paroles, parole

Le travail du Ministre du chômage, Maire de St-Quentin Xavier BERTRAND: France : 34 800 chômeurs supplémentaires en mai 2011. 156 600 chômeurs supplémentaires en un an. dans Divers rien

France : les derniers chiffres du chômage viennent d’être diffusés.

Catégories A, B, C, D, E :

Chômage en mai 2010 : 4 787 500 inscrits à Pôle Emploi.

Chômage en avril 2011 : 4 909 300 inscrits à Pôle Emploi.

Chômage en mai 2011 : 4 944 100 inscrits à Pôle Emploi.

Variation sur un mois : augmentation de 34 800 chômeurs.

Variation sur un an : augmentation de 156 600 chômeurs.

http://www.travail-emploi-sante.gou…

Déclaration de Christine Lagarde le 13 mai 2011 :

« Tous les clignotants sont au vert. »

http://www.boursier.com/actualites/…
De : Tous les clignotants sont au vert.

Vol organisé de la Bourse du travail de St-Quentin par X.Bertrand, Ministre du Chômage-Appel de la CGT : Tous le jeudi 30 JUIN devant le TRIBUNAL d’AMIENS à 13H30

 

INFO BOURSE DU TRAVAIL 

·       Le 22 JUIN : Audience au TGI de Laon concernant la liquidation de l’astreinte demandée par Xavier BERTRAND. Le jugement aura lieu le 29 JUIN. 

RAPPEL 30 JUIN : RASSEMBLEMENT devant le TRIBUNAL d’AMIENS à 13H30 pour le Jugement sur le Fond 

VENEZ NOMBREUX ! C’est toute la CGT qui est attaquée, c’est toute la CGT qui doit riposter !! 

Car au départ de St-Quentin  ð 11H30 devant la Bourse du Travail ð 11H45 Place de la liberté 

Car au départ de Soissons      ð Départ 9H30 de Villers-Cotterêts 

ð Soissons 10H place du Mail 

Hirson ð Covoiturage – se rapprocher de l’UL  Laon ð Car prévu- se rapprocher de l’UL 

Cri d’alarme du Secours populaire français

La Commission européenne a annoncé une baisse drastique de l’aide alimentaire aux plus démunis, pour des raisons juridiques.

L’Assemblée générale statutaire du Secours populaire français, réunie à Paris ce week-end, a appris avec une très vive émotion les nouvelles liées au Programme européen d’aide aux plus démunis.

Tous les délégués du SPF ont exprimé, au nom des milliers de personnes qui ont recours à l’aide alimentaire en provenance de l’Union européenne, leur volonté de faire reculer les propositions venant de la Commission européenne. En 2011, un peu plus de 13 millions de personnes en Europe, 4 millions en France, accèdent à ce programme d’une valeur de 480 millions d’euros, soit approximativement 1 euro par habitant d’Europe.

Ce programme est uniquement conditionné (dans les textes) par l’existence de « surplus agricoles » favorisés par la PAC (Politique agricole commune). La remise en cause de cette politique réside dans le fait que la non existence de « surplus » annonce une réduction de 73% en 2012 et rien en 2013, avec des conséquences terribles pour celles et ceux qui en sont les principaux bénéficiaires.

En 2010, le SPF est venu en soutien alimentaire à 1.300.000 personnes.

En 2012, avec ce plan, 517 000 personnes du SPF ne pourront plus accéder aux produits alimentaires. En 2013, plus personne…

Le SPF lance un appel pressant à toutes les familles en difficulté, pour qu’elles s’associent à la grande démarche « le dire pour agir » qui consiste à recevoir des témoignages de personnes accompagnées par le Secours populaire français.

Devant la gravité de la situation, le SPF va aussi effectuer des démarches auprès de toutes les autorités françaises et européennes car il ne peut accepter que 517 000 personnes risquent de se voir privées de nourriture.

Chacun peut s’associer à ces démarches, dans toutes les fédérations départementales du Secours populaire ou au siège national :

Secours populaire français
9/11 rue Froissart
BP 3303
75123 Paris cedex 03
www.secourspopulaire.fr

Contact
Karine Vauloup
Tél. : 01 44 78 21 57 / 06 77 04 57 33
Mail :
karine.vauloup@secourspopulaire.

Consultation des Communiste :Dans l’Aisne, Mélenchon ne passe pas …

consultationaisne.jpgMalgré une information aux communistes trés « dirrigée » par une partie de la direction fédérale, malgré leurs déclarations dans la presse « je ne m’inquiète pas, le choix de Mélenchon sera majoritaire dans l’Aisne »

la réalité est tout autre:

 Mélenchon  est minoritaire et ne recueille que 48% des voix dans l’Aisne.

Résultats validés par la commission électorale et le secrétaire départemental le 19 JUIN

 

 L’UNION - Nouvelle donne pour le PCF et le Parti de gauche

Publié le mercredi 22 juin 2011 à 10H48

Consultation des Communiste :Dans l'Aisne, Mélenchon ne passe pas ... dans ELECTIONS: Un moyen pas un objectif

La désignation du candidat communiste pour la présidentielle a donné dans l’Aisne des résultats très différents du niveau national. Pas neutre en vue des législatives…

«LES chiffres ne correspondent pas à la réalité du terrain », assure Gérard Brunel, le secrétaire départemental du Parti communiste français, bien obligé de constater que sa fédération s’est encore distinguée lors de la désignation, le week-end dernier, du candidat du Front de gauche par les militants communistes.
Trois candidats étaient en lice. Le préféré des instances dirigeantes, Jean-Luc Mélenchon, par ailleurs président du Parti de gauche et donc partisan de la stratégie du Front de gauche, André Chassaigne, député du Puy-de-Dôme et lui aussi partisan de la stratégie du Front de gauche, mais à condition que le candidat commun soit un communiste et Emmanuel Dang Tran, secrétaire de section du XVe arrondissement de Paris, purement et simplement opposé à la stratégie du Front de gauche.
 

Ultraminoritaire sauf dans l’Aisne
Au niveau national, le scrutin s’est déroulé sans surprise. Le président du groupe communiste au conseil général, Jean-Luc Lanouilh, avait d’ailleurs annoncé : « Je vote Mélenchon à titre personnel, mais ce ne sera pas un plébiscite, car André Chassaigne est un bon parlementaire très estimé dans le parti. »
Verdict des urnes : 59,12 % pour le président du Front de gauche, 36,82 % pour son challenger et 4,06 % pour l’ultraminoritaire Emmanuel Dang Tran. Ultraminoritaire, sauf dans l’Aisne où il culmine à 28,10 % se payant même le luxe de devancer André Chassaigne qui ne totalise que 21, 90 %.

Autre tendance lourde dans le département qui a comptabilisé 306 votants, la relative défiance frappant Jean-Luc Mélenchon, qui ne rassemble pas la moitié des suffrages, mais stagne à 47, 71 %.

Résultats à la soviétique
« Il faut se méfier des chiffres. À part Saint-Quentin et ses 82 voix, personne n’a voté pour Emmanuel Dang Tran », commente Gérard Brunel, qui sait bien que la section saint-quentinoise est aussi incontrôlable que son mentor Maxime Gremetz.

Le secrétaire fédéral va même jusqu’à douter de la loyauté des résultats qu’on lui a fait parvenir : « Qu’il y ait des voix pour Dang Tran ne me pose pas de problème, mais les chiffres sont peu exagérés. Ce sont des résultats à la soviétique. On ne me fera pas croire qu’à saint-Quentin, il y a une telle unanimité parmi les militants en faveur d’un candidat inconnu (1) ».

Personne n’a contrôlé le scrutin ? « Je suis passé à Saint-Quentin, mais je n’y suis pas resté trois jours. De toute façon, nous n’avons pas vocation à être des commissaires politiques. Chaque section est autonome et le système est basé sur la confiance », explique Gérard Brunel.
Froment et Lanouilh candidats ?
Au-delà de la confirmation de l’isolement de la section saint-quentinoise au sein du parti communiste axonais, le résultat de la primaire communiste pourrait avoir des conséquences sur les prochaines législatives.
À commencer sur Saint-Quentin même. Faut-il présenter un candidat du Front de gauche face à un candidat communiste qui n’approuverait pas cette stratégie ? «Ce n’est pas exclu», affirme Gérard Brunet, qui verrait bien Raymond Froment, le conseiller général, se dévouer. Ailleurs, il faudra attendre, début juillet, les détails de l’accord législatif national qui prévoit de laisser 80 % des circonscriptions au PCF en échange de la désignation de Jean-Luc Mélenchon.
Qu’en sera-t-il dans l’Aisne, où le PCF a traîné des pieds ? « Il y aura une circonscription réservée au Front de gauche », promet le patron du PCF axonais. Surprise, il ne s’agit pas de celle détenue actuellement par Jacques Desallangre, justement du Parti de gauche : « Il ne repartira pas et, avec Jean-Luc Lanouilh, nous pensons que nous avons le meilleur candidat sur la quatrième. » Pas sûr que le Parti de gauche, qui a probablement les moyens de faire perdre n’importe quel candidat de gauche sur le secteur, l’entende de cette oreille.

Jean-Michel ROUSTAND

 

 

  

Communiqué : La direction du PCF parvient péniblement à imposer Mélenchon. Des bases de résistance se développent pour faire resurgir le PCF dont les travailleurs et le pays ont besoin.

Enfin une nouvelle affiche,merci FredochCommuniqué, lundi 20 juin 2011 

Jean-Luc Mélenchon, un socialiste, mitterrandien, maastrichien sera le candidat d’un PCF dilué dans le Front de gauche à l’élection présidentielle de 2012.

C’est une nouvelle étape du processus de destruction du PCF et de ce qu’il représente, d’intégration dans le réformisme et la social-démocratie.

Cependant, les derniers mois ont montré, plus fortement, que des dizaines d’organisations du PCF, des milliers de militants ne l’acceptent pas. Ils constituent autant de bases de résistance pour faire resurgir le PCF dont les travailleurs et le pays ont besoin.

L’équipe dirigeante du PCF a peiné pour arriver à ses fins. Elle n’a trouvé, dans un vote interne sous contrôle et sous influence, que l’approbation d’un adhérent sur six (deux-tiers d’abstention).

C’est peu de dire que la personnalité et les positions de Mélenchon, qui sont celles du Front de gauche, n’ont suscité aucun engouement.

Les pressions des directions, à commencer par les annonces du secrétaire national Pierre Laurent, ont été d’une inconcevable lourdeur. Aucun débat national n’a été organisé. Dès le départ, la discussion a été orientée unilatéralement. La résolution du Conseil national du 8 avril la refermait sur les deux candidatures « Front de gauche ». Pendant des mois, les communistes n’ont reçu du CN ou de l’Huma aucun élément d’information sur tout autre choix.

Plus fondamentalement, la direction du Parti a annulé le congrès prévu justement en juin 2011. Elle a empêché les communistes de définir leurs objectifs pour 2011 et 2012, d’élaborer démocratiquement un programme communiste, qui aurait dû être la base de notre recherche de rassemblement.

Elle a choisi d’enfermer le débat interne dans des questions de personne, des enjeux politiciens et électoralistes, à l’opposé de ce que devrait porter le vote communiste.

Les marchandages, qui continuent, avec le PG pour les places aux législatives illustrent lamentablement la « nouvelle façon de faire de la politique » du Front de gauche.

Dans ce contexte, le choix que nous avons pris collectivement de présenter la candidature d’Emmanuel Dang Tran a été salutaire. A contre-courant du cadre imposé des débats, dans les limites où notre voix a pu se faire entendre, nous avons engagé la discussion sur le fond de la ligne politique du Front de gauche. Nous avons témoigné que toutes les organisations du PCF ne se résignaient pas au déclin du Parti, à la recherche d’arrangements à court-terme pour les prochaines élections, à des calculs politiciens. Nous sommes allés à la rencontre de centaines de communistes souvent laissés à l’écart de la vie du Parti, de salariés, de paysans, de jeunes.

Un programme communiste, une organisation de classe pour le mettre en avant, pour rassembler largement face à la politique du capital : oui, c’est toujours d’actualité pour beaucoup !

La cohérence politique de notre démarche a rencontré un écho que le résultat du vote interne ne traduit que très partiellement. Le maintien final de la candidature d’André Chassaigne a brouillé le sens du vote. Prétendre aujourd’hui que « 96% des communistes se sont prononcés pour le Front de gauche » relève de la supercherie. On ne leur jamais demandé leur avis en congrès.

Le fait accompli laissera des traces. Il conduit à une impasse.

Les questions de fond vont revenir tout de suite et l’on peut compter sur nous pour les poser. La candidature Mélenchon et la stratégie du Front de gauche n’y répondront pas.

Les grandes mobilisations, comme celle des cheminots pour le service public le 16 juin, celles des salariés de nombreuses entreprises pour les salaires, les luttes pour la sauvegarde de l’industrie – un combat brûlant pour les communistes – pour la protection sociale, l’écho des mouvements populaires de Grèce ou d’Afrique du Nord appellent des propositions de rupture et non d’aménagement du capitalisme.

L’illusion semée sur la possibilité de « peser à gauche » dans une majorité parlementaire social-démocrate fera long feu.

L’illusion de la réorientation de l’UE du capital ne tiendra pas devant la nécessité, pour que les luttes puissent gagner, de la remise en cause de l’application des traités et directives européens, de l’euro.

La période qui s’ouvre sera de plus en plus écrasée par la campagne électorale.

Le Front de gauche porte dangereusement la dilution du PCF dans un ensemble social-démocrate où Mélenchon reproduirait en petit, en farce, le coup de Mitterrand des années 70.

Notre priorité sera de mettre en avant à tous les niveaux dans le Parti, de la cellule au Conseil national, d’impulser dans les entreprises, les quartiers, les campagnes, des propositions communistes, des actions partant du mouvement populaire.

L’exigence reste pleine et entière de l’élaboration d’un programme communiste, et non d’ programme « partagé pour la gauche », portant un projet de société face au capitalisme, le socialisme. Nous allons continuer y contribuer.

Le maintien et de la reconstitution des organisations de classe du Parti, la cellule, la cellule d’entreprise, la section sont plus nécessaires que jamais pour le rassemblement et l’intervention politiques de ceux qui ont le plus intérêt à combattre le capitalisme. Nous allons nous y consacrer.

« Fais attention au Parti comme à la prunelle de tes yeux ! » recommandait Maurice Thorez.

Loin des combinaisons du Front de gauche, de la« métamorphose » du PCF en comités électoraux du Front de gauche, nous continuerons à relever le défi de faire vivre et de renforcer le PCF. Et nous serons de plus en plus nombreux pour cela !

Notamment à la Fête de l’Huma 2011 qui doit rester la Fête des communistes.

Stéphane AURIOL (PCF-RATP, CN 2005-2008), Corinne BECOURT (PCF 02, CN), Frédéric BERNABE (PCF 70, CN), Emmanuel DANG TRAN (PCF 75, CN), Fabienne DEBEAUVAIS (PCF 80, CN), Claude FAINZANG (PCF 75, CN), Eric JALADE (PCF 81, CN) ; Dominique NEGRI (PCF 38, CN)

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Avec les cheminots, engageons la bataille du rail contre la privatisation !

Jeudi 16 juin 2011, les cheminots sont appelés à une manifestation nationale à Paris par leurs organisations syndicales pour la défense du service public ferroviaire.

Cette mobilisation est une étape dans la nouvelle bataille du rail qui s’engage.

 

La mise en concurrence du transport de voyageurs et la privatisation des activités de la SNCF est une priorité du pouvoir pour les toutes prochaines années, avant et après les élections de 2012.

Le processus à l’œuvre suit les exemples plus avancés, désastreux pour les salariés, les usagers et l’intérêt national, de France Télécom ou d’EDF-GDF (voir les augmentations de tarifs !).

 

L’Union européenne, le traité de Lisbonne et ses directives, servent, à nouveau, à la fois de prétextes et d’instruments à la marchandisation. Ils ont été adoptés en commun par la droite et le PS et sont appliqués de la même façon dans les pays d’Europe que les gouvernements soient de droite ou de « gauche ».

Souvenons-nous que c’est le gouvernement Jospin qui a divisé la SNCF en deux en séparant le réseau de l’exploitation et en créant RFF, Réseau ferré de France. A la collectivité, les investissements coûteux, les pertes, le « déficit », au privé à terme les activités les plus juteuses, les profits.

 

Autant dire que sur cette question politique comme sur les autres, ce qui sera décisif, c’est la mobilisation des salariés, la convergence de lutte, notamment avec les autres services publics, l’intervention des usagers.

 

Ce sera tout aussi vrai au niveau des régions, autorités organisatrices des Trains express régionaux, les TER qui pourraient être les premiers à être livrés au privé.

 

Dégradation de la qualité du service rendu, augmentation des coûts pour satisfaire les actionnaires, dégradation des conditions de travail et du statut de l’emploi : la logique de privatisation aboutit partout aux mêmes résultats.

La mise en concurrence du transport de marchandises en 2006 le confirme. Gouvernement et direction de la SNCF accélèrent le démantèlement de cette activité, abandonnent le système du « wagon isolé » qui permet aux PME/PMI de recourir au rail, encouragent le développement du transport par camion, polluant, effectués par des salariés sous-payés, bientôt aux normes sociales de l’Europe de l’est pour le plus grand profit d’entreprises qui ne paient pratiquement pas pour les infrastructures routières.

Depuis 3 ans, 2,5 millions de camions supplémentaires circulent sur les routes de France, dénonce la CGT.

La préparation de la privatisation se fait déjà largement sentir pour les voyageurs. Les tarifs, de plus en plus incompréhensibles, augmentent plus vite que l’inflation. Les retards se multiplient devant les suppressions de postes et les retards dans l’entretien des voies. Des trains sont supprimés. La direction de la SNCF annonce même le lancement de trains à horaire aléatoire !

Les gares et les guichets ferment.

La pression sur les agents s’accroît avec les suppressions d’emplois mais aussi avec la volonté des privatiseurs d’éradiquer l’esprit de service public qui anime les cheminots. Par exemple, le guichetier ne devrait plus être pour donner le meilleur renseignement mais pour vendre le plus de produits, utiles ou non.

La casse du statut, des retraites, des cheminots, est à la fois un moyen de privatiser et celui d’abaisser les normes sociales de tous les travailleurs.

 

Cette nouvelle « bataille du rail », pour défendre la nationalisation gagnée au moment du Front populaire, peut et doit devenir l’affaire de tous, salariés de la SNCF, de la RATP, de tous les services publics confrontés à la même politique, usagers, citoyens.

 

ENSEMBLE,

  • Défendons la SNCF, entreprise publique intégrée !
  • Exigeons les financements nécessaires au maintien et au développement du service public ferroviaire, aux investissements et aux embauches correspondant aux besoins du pays !
  • Refusons l’application des directives européennes de marchandisation !
  • Défendons, reconquérons le monopole public SNCF des transports ferroviaires !

 

Le rapport de force existe pour gagner, faire reculer la politique au service de l’argent, d’où qu’elle vienne !

Consultation des Communistes : Résultat de Saint-Quentin Aisne

RESULTATS DE ST QUENTIN Avec la présence du secrétaire fédéral et du secrétaire à l’orga lors du déroulement des opérations de vote de ce matin et du dépouillement , nous les remercions de leur participation.

INSCRITS 169-VOTANTS 100

Melenchon 7

A.chassaigne 10

E.Dang Tran 82

blanc 1

Il manque quelques votes envoyés par correspondance à la fédé (6 environs )

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Débat du PCF: La question du vote « utile »

encolere.jpgSerge Fricout, membre du Conseil départemental du PCF Dordogne, répond à un camarade insistant qui l’enjoint à voter « utile » pour le Front de gauche

 

« En réponse à ton appel à voter Chassaigne, je vais essayer de rester pondéré et conséquent dans mes propos.

 

Nous savons depuis de nombreuses années qu’il existe un débat de fond dans notre Parti sur sa continuité dans la vie politique, continuité non pas comme coquille vide mais comme un Parti de perspectives, de propositions pour que le changement de société soit effectif tel que l’ont décidé les Communistes au 34èmeCongrès.

 

Depuis de nombreuses manœuvres sont apparues pour nous faire admettre, de facto, sa disparition (mise en retrait des adhérents dans les décisions, retards volontaires des congrès, décisions au sommet d’alliances électorales sur le long terme).

 

Depuis 3 élections, marchandages politiques, exigences des soi-disant partenaires ponctuent les échéances.

 

A l’approche de celle de 2012, une offensive d’un tout autre niveau s’est mise en place.

 

Pour continuer le dépeçage du PCF, certains, afin de ne pas être obligés de devoir rendre des comptes aux adhérents, ont appliqué la technique du « j’avance masqué et dans le brouillard ». Je m’explique.

 

On a commencé par nous présenter un poisson-pilote, candidat individuel ne représentant pas le Parti, puis celui-ci avec d’autres sentant que la manœuvre étant trop grosse, ont décidé de le lancer dans l’arène à JAPY afin, disaient-ils, de lancer le débat politique.

 

Voyant que la ficelle étant encore trop grosse, et que la manœuvre ne passait pas, ils lancèrent le bouchon encore plus loin annonçant qu’il était le candidat du PCF pour le Front de Gauche.

 

Cette stratégie d’enfumage n’avait et n’a toujours qu’un seul but, faire admettre coute que coute aux adhérents le FDG, association politicarde basée sur le plassou mais surtout pas sur un contenu de changement de société.

 

Il ne faut pas être sorti de St Cyr pour analyser cela.

 

Il suffit simplement de lire l’Huma avec assiduité pour le comprendre, sachant que la majorité des adhérents sont, encore plus avec leur vécu quotidien, conscients de l’utilité d’un PCF ancré dans les luttes.

 

Tout est bon pour les mettre dans une situation plus que délicate : soit un candidat FDG, soit un candidat FDG !

 

Eh oui ! depuis le début et même avant nous avons un serpent à deux têtes MELENCHON/CHASSAIGNE, le premier on sait ce qu’il veut (en finir avec le PCF une bonne fois pour toutes) pour CHASSAIGNE, c’est beaucoup plus fin, plus instrumentalisé, il souffle avec la Direction Nationale le chaud et le froid.

 

Il dit vouloir défendre le PCF, tout en étant le premier à monter au créneau pour combattre une candidature à la présidentielle de celui-ci.

 

Il explique qu’il entend les inquiétudes des communistes sur l’avenir, mais ne voit celui-ci que dans le FDG.

 

Il ne conçoit pas qu’on impose MELENCHON mais il ne dit pas un mot sur le fait que depuis le début 2011, on avance à marche forcée vers cela.

 

Je parlais plus haut de serpent à deux têtes, c’est exactement cela car sur le fond, CHASSAIGNE ou MELENCHON, c’est quoi ? une même stratégie, un même programme a minima, des accords électoraux de boutiquiers en sachant qu’au bout du compte la seule perspective c’est de canaliser vers le PS pour gouverner.

 

Connaissant ce que le PS propose, le changement n’est ni pour demain et encore moins pour après-demain mais surtout l’on cautionne et pour longtemps le bi-partisme anglo-saxon.

 

Ils n’ont pas fini de nous faire avaler des couleuvres.

 

Ecrire comme tu le fais que CHASSAIGNE est devenu un point d’unité est plus fort que le roquefort !

 

Unité sur quel contenu ? quelles perspectives ? Croire qu’il va se poser en défenseur d’un projet de rupture au capitalisme est une vue de l’esprit, il est uniquement et complètement porté par la structuration du FDG.

 

Sa démarche n’est que le reflet de la peur qu’ont nos dirigeants d’être obligés de débattre sur le fond car eux sont sur la forme depuis des années.

 

D’ailleurs, dès que l’on aborde les sujets qui fâchent (l’Europe, le nucléaire, les services publics, la laïcité, l’OTAN etc…) ils bottent en touche ou encore nous traitent « d’orthodoxes ».

 

Si défendre la lutte de classe, la rupture avec le capitalisme, les fondamentaux du Marxisme, c’est être orthodoxe alors va pour cela. Cela vaut 10 fois mieux que le réformisme, le bi-partisme et le social-libéralisme.

 

Pour finir et pour être complet, lorsque l’on participe à un débat et que l’on donne son opinion, il faut aborder tous les sujets.

 

Il me semble qu’il y a un autre candidat : son nom est Emmanuel DANG TRAN, lui est pour un candidat du PCF à la présidentielle, pas pour le fun, pas pour l’affichage mais pour redonner espoir aux communistes sur l’utilité fondamentale de leur lutte, pour cette rupture qui changerait profondément leur vie et celles de leurs concitoyens et pour mener celle-ci, il faut un outil : le PCF démocratique, ancré dans les luttes, combattant jour après jour et mettant en avant des perspectives de changements pour demain et pour l’avenir, un PCF au service du peuple, pour le peuple et par le peuple.

 

Effacer cette candidature du débat est une position aléatoire et plus que discutable pour le respect de tout un chacun ; n’est-ce pas là de fait, rentrer dans le jeu mis en place par notre direction avec son serpent à deux têtes qui, que l’on coupe une tête ou l’autre, risque d’être venimeux et mortel pour l’avenir du PCF ? »

 

Serge FRICOUT – membre du CD 24

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Loi « sur la dépendance » : les menaces sur les retraités et les salariés se précisent.

Le projet de loi de « réforme » de la prise en charge de la « dépendance » pourrait être déposé par le gouvernement au milieu de l’été. Plusieurs rapports, discrets, confirment les menaces pour les retraités (hausse de la CSG notamment), les familles, les salariés qui risquent d’être amenés à payer seuls la solidarité nationale.

 

Le financement actuel de la dépendance, déjà insatisfaisant, est déjà mis en cause par la politique même du gouvernement.

Les ressources de département qui assurent l’essentiel du financement de l’APA, l’allocation personnelle d’autonomie sont gelées. Les versements de l’Etat au titre de la solidarité nationale ne suivent pas la hausse des allocataires.

La perte continue de pouvoir d’achat des retraités, – 20% en moyenne depuis 1993, aggravée avec la loi Woerth, pèse lourdement sur les ressources propres des personnes âgées dépendantes. Les familles sont mises à contribution à un niveau de plus en plus insupportable.

Plutôt que répondre à cette situation, le gouvernement veut l’utiliser, comme Sarkozy l’a d’ailleurs laissé entendre pour:

- ponctionner, encore, les retraités en augmentant les taux de la CSG sur leurs pensions. Comme nous l’avions dénoncé, les retraités ne sont pas épargnés par le pouvoir, comme le Président a tenté de leur faire croire à propos de la loi Woerth.

- mettre la main sur les quelques biens que, notamment les familles aux revenus modestes, auront durement réussi à rassembler, avec l’extension des remboursements sur succession. Mesurons l’hypocrisie du pouvoir qui sape les ressources du logement social, pousse à l’accession à la propriété pour mieux saisir les logements à la fin.

- développer un nouveau marché au profit des assurances privées, un nouveau gâchis financier

La question de la perte d’autonomie est aussi un moyen récurrent de faire glisser vers la prise en charge de la dépendance des dépenses qui devraient revenir à l’assurance maladie et d’accroître les exonérations de cotisations patronales.

Un rapport de force existe pour s’opposer à ces projets du gouvernement, les mettre en échec sans attendre (sans doute en vain) 2012 !

La prévention et la prise en charge de la dépendance doivent suivre la logique vertueuse du service public.

Elles nécessitent une amélioration des politiques de santé publique et des moyens accrus (ex : pour la médecine du travail, la prévention de la maladie d’Alzeimer…).

Elles nécessitent un accroissement de l’offre publique de structures adaptées, de formation des aides à domicile, etc.

C’est le moyen de lutter contre ceux qui veulent faire du profit sur le dos des invalides.

En termes de financement, la prise en charge de la dépendance doit relever de la solidarité nationale, avec un engagement de l’Etat.

Médecine du travail : Non à l’abrogation de la Loi CROIZAT ! Par le Groupement National « SAUVONS LA MEDECINE DU TRAVAIL »

Après l’échec de la négociation entre partenaires sociaux, après la sanction par le Conseil Constitutionnel d’un texte cavalier inséré dans une loi sans rapport avec la Médecine du Travail ou la Santé au Travail, après l’adoption rocambolesque par le Sénat d’un copié collé de ce texte présenté par des sénateurs centristes, la proposition de loi de liquidation de la médecine du travail redevient d’actualité. En effet, sous les pressions conjuguées du Medef dont c’est le texte et de certains élus obstinément à son service, Bruno Dupuis, conseiller de Xavier Bertrand, Ministre du Travail, vient d’en annoncer une prochaine présentation le 27 Juin prochain à l’Assemblée Nationale.

Le document n’a pas changé. Il consacre le transfert de la prévention médicale des risques professionnels aux employeurs. Il ne propose rien pour éviter la disparition de la médecine du travail, et fournit aux managers tous les moyens pour gérer la santé des salariés au plus près des intérêts patronaux, fondés sur l’objectif de rentabilité à court terme.

Le pseudo paritarisme de façade concernant la gouvernance des services interentreprises de santé au travail (SIST) s’est vite révélé être un leurre. En effet, il consacre une présidence alternée permettant à un représentant des salariés d’appliquer la politique définie par l’Assemblée Générale des employeurs adhérents du SIST. Cette tromperie, qui a permis un premier vote sans opposition au Sénat, abusera-t-elle également les députés ? C’est pour obtenir l’adoption de la partie législative du programme du Medef que les employeurs et leur lobby tentent, une fois de plus, de faire adopter cette loi. Ils insistent pour que soient légalisées les dispositions qu’ils ont conçues et déjà en partie mises en place malgré leur actuelle illégalité.

La quasi-totalité des SIST fonctionne illégalement en « privilégiant certains examens médicaux … examens d’embauche, de reprise, nécessitant une surveillance renforcée » au détriment de la surveillance régulière de tous les travailleurs, abandonnée au profit d’urgences décidées par les seuls employeurs, car ce sont eux qui déterminent quels salariés doivent bénéficier d’une« surveillance médicale renforcée ». C’est la pénurie de médecins du travail qu’ils ont organisée avec les gouvernements depuis plus de 20 ans qui leur permet de justifier l’abandon des prestations qu’ils doivent réglementairement fournir aux salariés. Ainsi, les maxima réglementaires concernant les effectifs de salariés surveillés par médecin (actuellement 3300) sont explicitement dépassés (souvent plus de 5000).

La proposition de loi qui prévoit de remplacer ces obligations par des « contrats d’objectifs négociés » permettrait de légaliser ces abandons. Certains grands SIST anticipent aujourd’hui ces futurs « contrats d’objectifs » pour obtenir du gouvernement les dérogations régularisant leur situation.

 

Cette proposition de loi permettrait aussi le recours à des médecins non spécialistes en médecine du travail pour assurer la surveillance médicale de certains risques professionnels ou pour certains salariés. Elle légaliserait les « expériences », autorisées par le ministère du travail, qui consistent à charger des infirmiers dits « de santé au travail » de fonctions médicales. Le prêt de main-d’œuvre qui permettrait à un SIST de fournir un « Intervenant en Prévention des Risques Professionnels » sans protection ni indépendance à un employeur adhérent pour intervenir pour son propre compte, et sans nécessité de lien avec l’activité médicale, serait légalisé. La rédaction des fiches d’entreprise (documents légalement sous la responsabilité du Médecin du Travail) par des IPRP ou des infirmières sans statut de salarié protégé, sans aucune garantie d’indépendance, serait encouragée de façon à « soulager la charge des médecins du travail ». Il serait donc demandé à ces derniers de signer ces fiches et d’attester de l’innocuité de conditions de travail dont ils n’auraient pas été les témoins directs. Le Législateur, si ce texte était voté, en arriverait à demander aux médecins du travail d’établir des certificats de complaisance, ce qui serait contraire aux règles déontologiques qui s’imposent à tous les médecins. La promulgation de la loi permettrait de légitimer un train de textes réglementaires avalisant le reste du programme du Medef, tel que proposé aux organisations syndicales en 2009 et unanimement refusé par elles. Ce serait notamment le cas, par exemple, des dispositions prévues pour favoriser le licenciement des salariés malades et la limitation de la durée de leurs arrêts de travail. Lors des « Assises de la simplification du droit », le 29/4/2011, F. Lefebvre, secrétaire d’Etat au Commerce et à l’Artisanat, a présenté, parmi les « 80 mesures pour simplifier la vie des entreprises et soutenir leur compétitivité », la fiche n°19. Il s’agit du copié collé du projet de protocole d’accord proposé par le Medef le 29/9/2009. Elle prévoit que, sur signalement du médecin conseil de la Sécurité Sociale, le salarié, dont l’arrêt serait prolongé, devrait subir une visite de pré reprise obligatoire durant la suspension de son contrat de travail, laquelle remplacerait le premier examen de reprise de travail. Ainsi, dès son retour d’arrêt de travail, le salarié présentant une restriction d’aptitude, quelle qu’en soit l’importance, pourrait se voir signifier une inaptitude définitive à son poste et à tout emploi de l’entreprise, suivie dans les 3 semaines de son licenciement, sans possibilité de recours réel.

Cette proposition de loi ne comporte aucune des dispositions nécessaires au maintien et à la modernisation de la surveillance médicale des risques professionnels. Elle n’existe que pour légaliser le programme de destruction voulu par le Medef. D’ailleurs, son propre rapporteur, Guy Lefrand, député UMP de l’Eure et médecin, n’a-t-il pas déclaré à la Commission de réflexion sur la souffrance au travail : « La santé au travail doit être gérée par [le ministère de] la Santé. » ? N’a-t-il pas proposéque « ce médecin ne soit plus rémunéré par les entreprises mais par un fonds auquel celles-ci abonderaient et qui serait géré par les ARS (Agences Régionales de Santé) » ? N’a-t-il pas précisé qu’ainsi «Les médecins du travail seraient peut-être moins nombreux mais plus efficaces» ? Si le député Lefrand évite de préciser pour quelles tâches, c’est peut être dans l’espoir qu’ils jouent enfin leur «rôle de filtre entre le salarié et l’entreprise ». Quoi qu’il en soit,selon lui, «Il faut redonner un rôle beaucoup plus important au généraliste, et qu’il s’approprie une part de la médecine du travail[pour les] 2 millions de salariés qui travaillent à domicile (emplois services) ». Le rapporteur est en phase avec le Medef et J.F. Copé, lequel, dans la même commission, assignait à la médecine du travail 2 actions principales :

1- La «visite d’aptitude lors de l’entrée dans la vie professionnelle», sans doute pour exercer le «filtre» du rapporteur. Le Medef, plus pragmatique, définit l’aptitude en cause « comme l’absence de contre-indication physique ou psychique à la tenue, par le salarié, du poste de travail actuel ou envisagé » (Medef Sept 09). Cette action de sélection que les employeurs n’avaient pas encore réussi à imposer aux médecins du travail, le Gouvernement et sa Majorité tentent de l’imposer par la Loi.

2- Le «bilan de suivi en milieu de carrière » pour proposer « une requalification et une réorientation » du salarié. Le Medef parle plus clairement de l’inaptitude qui «se définit comme l’existence de contre-indication physique ou psychique entraînant une restriction pour le salarié de remplir une ou plusieurs tâches liées à son poste de travail » (Medef Sept 09).

C’est la légalisation de cette conception de la santé au travail (qui impliquerait également la lutte contre l’absentéisme et la consommation d’alcool et de drogues illicites) que le Medef et certains élus veulent obtenir par la loi. C’est aussi ce qu’attendent, avec impatience, les marchands de santé au travail, lesquels se pressent aux portes des SIST, de leurs directions et de leur chambre syndicale (le CISME) pour proposer dans le même service : Assurance Complémentaire de santé, Prévoyance, Contrôle de l’absentéisme, et Surveillance des Risques Professionnels et de Santé Publique Cette marchandisation de la santé des salariés, et notamment de leur santé au travail, n’est pas acceptable. Elle ne doit pas être acceptée.

Le 10 juin 2011

Groupement National SAUVONS LA MEDECINE DU TRAVAIL

www.slmt.fr

Consultation des Communistes/ Bulletin de vote (à imprimer) et infos d’infohebdo N° 432 du 9 Juin 2011

Consultation des Communistes/ Bulletin de vote (à imprimer) et infos d'infohebdo N° 432 du 9 Juin 2011 dans ELECTIONS: Un moyen pas un objectif pdf bulletinvotechoix2012.pdf

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Modalités du vote des communistes

. La consultation s’ouvrira le jeudi 16 juin à 9 H et sera close le samedi 18 juin à 18 H.

Concernant la participation au vote nos statuts prévoient que :  

« Seul-e-s les adhérent-e-s détenant la carte du Parti communiste français depuis plus de trois mois avant la date du scrutin, à jour de leur cotisation, c’est-à-dire pour les trois derniers mois, au moins, qui précédent le scrutin, peuvent participer au vote. A cette fin, une liste des électeurs, consultable, est établie au moment du scrutin et validée par une commission désignée par le ou les exécutifs des territoires concernés. Cette commission organise la consultation et assure le bon déroulement des opérations de vote. Elle prend toutes dispositions pour faciliter la participation du plus grand nombre d’adhérent-e-s. »

Afin de permettre l’organisation la plus efficace et la participation maximale, ce vote devra s’organiser au plus près des sections et des organisations locales de notre parti qui connaissent le mieux nos adhérent-e-s.

Celles-ci devront mettre en place des commissions électorales chargées de veiller au bon déroulement du scrutin : elles dresseront des listes d’émargement du vote, récolteront les cotisations, organiseront des permanences dans les locaux de sections, partout où cela sera possible, ….

Des commissions départementales seront également mises en place, pour récolter et globaliser les résultats du département.

Les résultats devront être transmis à la vie du parti entre 18h et 22 h.

Une Commission Nationale sera chargée de recueillir les résultats et de les rendre publics : elle sera composée d’une délégation du Comité Exécutif National (Jacques Chabalier,Yves Dimicoli, Isabelle de Almeida, Fabienne Pourre, Eliane Assassi, Isabelle Lorand), de Denis Rondepierre et Emilie Lecroq (vie du parti), de François Auguste (président du Conseil National), Marc Brynhole (Président de la commission des conflits), Jean-Louis le Moing (Trésorier National) et d’un-e délégué-e des candidats Emmanuel Dang Tran et André Chassaigne.

 Rappel pour Saint-Quentin :

Des choix graves et importants pour l’avenir du PCF sont à faire… Ta participation à cette consultation des communistes va compter. Trois débats de fond ont eu lieu pour notre section, chacun a pu se forger son avis. Pour tous les adhérents de la section de St-Quentin, le vote se déroulera à la section au 22, rue de la Pomme Rouge les 16,17 et 18 juin (de 17H à 19H le jeudi et le vendredi, de 9H30 à 11H le samedi, puis dépouillement). Une commission pour le bon déroulement des opérations sera mise en place ce mardi par le Comité de Section.

Afin d’avoir une cohérence et une lisibilité des résultats, les envois par la poste sont possibles mais au siège de la section du PCF, 22 rue de la Pomme Rouge, dans une enveloppe signée au dos par l’adhérent avec son nom et sa cellule. Seuls les votes reçus à la section seront pris en compte. Comme cela est précisé dans les statuts, si cela n’est pas encore fait, tu peux te mettre à jour de tes cotisations (les 3 derniers mois, au moins) jusqu’au moment du scrutin, mais le versement de ces trois mois est impératif afin qu’aucun vote ne soit contesté.

  

 

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1 Commentaire

Quand Xavier BERTRAND s’occupe de l’emploi dans son département :Maison de l’emploi et de la formation C’est jour de licenciement

Courrier Picard

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Hier, les salariés de la MEF ont manifesté leur mécontentement.

Hier, les salariés de la MEF ont manifesté leur mécontentement.

Quand Xavier BERTRAND s'occupe de l'emploi dans son département :Maison de l'emploi et de la formation C'est jour de licenciement dans Luttes, grèves, manifs

Aujourd’hui, six employés de la maison de l’emploi du pays Chaunois recevront leur lettre de licenciement, hier ils étaient tous en grève.

C’EST un peu le chien qui se mord la queue. D’un côté il y a la maison de l’emploi, dont le but est d’accompagner les chômeurs sur le chemin du travail et, de l’autre, il y a cette annonce de six licenciements au sein de la structure.
Faute de finances suffisantes, ce sont donc six personnes sur vingt-quatre salariés qui aujourd’hui vont recevoir leur lettre de licenciement. Hier, ils se sont tous réunis devant les locaux à Tergnier pour protester contre cet état de fait et demander le soutien de tous. Une pétition rapidement signée par les élus Ternois et le conseiller général du canton de Chauny a circulé et, au-delà de ces mises à la porte au sein des métiers insertion sociale et professionnelle, se pose le problème de l’accueil de 500 jeunes au sein de la MEF. « Nous sommes tous déjà au maximum, comment voulez-vous que nous nous répartissions 500 personnes en plus. C’est énorme et infaisable, nos conditions de travail vont se dégrader et c’est le public qui va en pâtir le plus, car l’accompagnement ne se fera plus comme avant », a rappelé la déléguée du personnel, Mme Pigeault.
L’Etat réduit son financement
Cette MEF, qui fut l’une, si ce n’est la première du département que tout le monde a couvert de lauriers, semble aujourd’hui bonne à jeter aux chiens ! L’Etat, qui avait soutenu ces actions, lui coupe désormais une partie de ces vivres, ce qui la contraint à se séparer d’une partie de son personnel.
Alors oui, les résultats n’étaient peut-être pas visibles tout de suite mais le chemin du retour à l’emploi est parfois long. D’autant que le bassin Chaunois est le deuxième territoire de Picardie où le taux de chômage est le plus élevé.
Si les élus Ternois demandent une table ronde avec l’Etat et notamment le ministre du travail (Xavier Bertrand, qui est aussi maire de Saint-Quentin et Axonais), pour l’heure, ils ne voient rien venir.
Du côté du président de la structure, Gilbert Brassart, qui est aussi vice-président chargé de l’économie au sein de la communauté de communes, il n’a pas été possible de le joindre afin d’obtenir une explication. Reste que les élus locaux se remuent tout de même un peu, et ce malgré un Etat qui lâche de plus en plus les collectivités locales et, par voie de conséquence, la population.
Samuel PARGNEAUX
spargneaux@journal-lunion.fr

Conférence Nationale du PCF: Intervention de Corinne BECOURT, Membre du Conseil National du PCF

corinnebecourt.jpgDIMANCHE 5 JUIN 2011 – Intervention de Corinne BECOURT, Membre du Conseil National du PCF 

Signataire de la candidature collective Communiste d’Emmanuel DANG TRAN, membre du Conseil National

Commentaires : Aucun camarade  des différents départements,soutenant la candidature d’Emmanuel DANG TRAN, n’a eu la parole le vendredi et le samedi de la conférence (jours où les interventions étaient misent dans l’Huma…)  

« Revenons sur le fond ; Je propose donc l’adoption par la conférence nationale d’un amendement très court à la résolution proposée : 

« Le PCF a la responsabilité de porter une perspective politique de rupture avec la politique au service du capital, d’où qu’elle vienne 

Le PCF exclut, dans les conditions actuelles, tout programme commun avec la social-démocratie et toute participation à un gouvernement dirigé par elle. 

Evidemment, cela ne change rien à la nécessité d’éliminer Sarkozy mais sans ignorer le système politique dont il n’est qu’un élément. » 

Clôture des débats et aucune discussion sur cet amendement.

DEBAT DES COMMUNISTES SECTION DE ST QUENTIN : Soutien à la candidature PCF, d’Emmanuel DANG TRAN

DEBAT DES COMMUNISTES SECTION DE ST QUENTIN 

FEDERATION DE L’AISNE 

 

 

Notre section s’est réunie à trois reprises avec la participation de 47 adhérents, dont une assemblée générale avec la présence de deux camarades de la direction fédérale 

 

Des débats riches, argumentés, des colères et des incompréhensions de beaucoup de camarades dont certains qui s’étaient engagés dans la démarche du Front de Gauche aux européennes et aux régionales et qui aujourd’hui dénoncent la fracture avec ce qu’ils pensaient être une stratégie d’union dans les luttes et ce qu’est en réalité le Front de Gauche avec le constat amer d’être roulés dans la farine 

 

Dans la finalité une position globale de toute la section a été adoptée à une très grande majorité. 

 

Refus de devenir comme le PS, un parti électoraliste, ne gérant que les élections d’une année à l’autre 

 

Refus de l’effacement du PCF dans le Front de Gauche 

 

Soutien à la candidature PCF, d’Emmanuel DANG TRAN, portée collectivement par des fédérations, sections, cellules et camarades de toute la France  sur la base des  trois axes suivant : 

 

1 – Le PCF a la responsabilité de porter une perspective politique de rupture avec la politique au service du capital, d’où qu’elle vienne. Le mouvement populaire, le discrédit du capitalisme attendent autre chose que l’avènement d’une nouvelle « gauche plurielle » dans le cadre refermé de l’échéance institutionnelle de 2012. 

 

La direction du Parti négocie déjà, sans aucun mandat, un programme de gouvernement avec le PS et Europe Ecologie. Le symbole donné par la présence de Pierre Laurent sur la péniche aux côtés de Martine Aubry et de Cécile Duflot au soir des cantonales est désastreux. Le Front de gauche sort un « programme partagé » destiné à être compatible avec « toute la gauche » sans que le PCF ait élaboré son propre programme. 

 

Le niveau du consensus entre la droite et le PS sur les questions économiques et sociales est apparu flagrant au moment de la bataille pour les retraites. L’alignement du PCF avec le Front de gauche sur le PS dans la perspective de 2012 handicape gravement la dynamique des luttes. Il rejaillit de façon très négative sur le débat politique dans les syndicats de tradition révolutionnaire. 

 

Aussi, notre candidature porte l’exigence que le PCF donne la priorité, sans attendre 2012, au mouvement populaire et aux luttes, qu’il exclut, dans les conditions actuelles, tout programme commun avec la social-démocratie et toute participation à un gouvernement dirigé par elle. Evidemment, cela ne change rien à la nécessité d’éliminer Sarkozy mais sans ignorer le système politique dont il n’est qu’un élément. 

 

 

2- Le consensus des partis de l’alternance se manifeste fondamentalement par leur adhésion commune à l’UE du capital. En violation de la souveraineté populaire, ils ont ratifié ensemble le Traité de Lisbonne rejeté au référendum de 2005. L’UE, ses traités, ses directives, sa monnaie unique sont à la fois le prétexte et l’instrument des politiques nationales de casse des acquis sociaux et démocratiques. 

 

Notre opposition à l’UE du capital doit être sans réserves. Nous ne pouvons pas partager les conceptions du Maastrichien Mélenchon qui veut faire croire à un SMIC européen (à 400 euros !) grâce à l’euro, qui justifie l’intervention des armées européennes en Libye, préfiguration d’une « Europe-puissance ». 

 

Le mythe de « l’Europe sociale » propagée par la Confédération européenne des syndicats, principal fer de lance « social » du traité de Lisbonne, n’est que le nouveau cache-sexe du réformisme. La défense de l’euro par les dirigeants du PCF et du PGE (« ne bazardons pas l’instrument » dit Pierre Laurent), la collaboration avec la CES sont des positions erronées. Comment peut-on combattre le « Pacte pour l’euro » sans nous opposer à l’euro qui est l’instrument coercitif de la politique antisociale du pacte ? 

 

Aussi notre candidature porte l’exigence que le PCF incarne à nouveau, comme il l’a fait, seul, dès le début de la « construction » européenne, le rejet de l’UE du capital, le refus de l’application en France des traités et directives européens, la nécessité de la sortie de l’euro et de façon indissociable l’échange et la coopération entre les peuples, l’internationalisme dans la résistance à l’UE, à l’OTAN, à l’impérialisme. 

 

3- Nous voulons exprimer aussi la conviction qu’il ne peut pas y avoir de rassemblement utile contre le capitalisme dans l’effacement du PCF, de sa théorie et sa forme d’organisation historiques. 

Le « Front de gauche » constitue, au plan national, une fiction de rassemblement. Cette stratégie a été décidée, à toutes les étapes, en évitant l’expression souveraine des communistes. 

 

Même sur le plan électoraliste qu’il privilégie, le Front de gauche ne fait pas ses preuves. Les dernières cantonales ont montré à nouveau l’atout que représente l’ancrage du PCF et de ses militants dans le pays (90% des voix du FdG). Mais nous n’échappons pas à la sanction de l’abstention (1.150.000 voix et 8,82% en 2008 pour le PCF seul, 820.000 voix et 8,46% en 2011 pour tout le FdG). 

 

Avec Mélenchon et son Pg, le Front de gauche n’est qu’une alliance étriquée avec un pan de la social-démocratie dont le langage « populiste », démagogique ne saurait tromper sur la volonté de phagocyter le PCF et son héritage, nationalement et localement. 

 

Avec ou sans Mélenchon, le FdG reprend à s’y méprendre la « métamorphose » du PCF que les communistes ont rejetée à l’Assemblée nationale extraordinaire de décembre 2007 puis au 34ème congrès. Un « programme de gauche » prend le pas sur le programme communiste. Une organisation du « Front de gauche », nationale avec les partenaires, locale par « circonscription électorale », supplante le PCF et ses organisations. Les communistes ne serviraient plus qu’à fournir les bras et moyens à cette nouvelle organisation. 

 

Nous continuons à refuser catégoriquement la poursuite de la stratégie de mutation-effacement-liquidation du PCF. 

 

La théorie marxiste, la forme d’organisation léniniste qui ont fait de notre parti un parti de classe et de masse sont plus d’actualité que jamais. Dans les entreprises, dans les quartiers, dans les campagnes, le besoin d’engagement politique conséquent contre l’exploitation capitaliste s’exprime toujours autant. 

 

Dans le cadre imposé de l’élection présidentielle, dans ce contexte, nous entendons porter la nécessité de faire entendre le PCF en tant que tel, de présenter une candidature clairement PCF 

 

Après les régionales, les cantonales ont mis en évidence comment le système était prêt à recourir au fascisme, au FN, pour détourner la colère sociale. Cela souligne encore les responsabilités de notre parti, rempart historique contre le fascisme. 

 

Nous condamnons sans appel tout discours qui se mêlerait à la campagne nauséabonde contre nos concitoyens issus de l’immigration. Nous faisons le choix de l’unité des travailleurs contre tout mouvement politique réactionnaire à fortiori fasciste. Nous ne laisserons pas l’idéologie dominante utiliser le FN pour disqualifier des propositions politiques aussi fondamentales que le refus de l’UE du capital. 

 

La direction nationale du PCF a fait le choix d’empêcher les communistes de s’exprimer souverainement sur les orientations à suivre pour 2012. Elle a décidé d’enfermer le débat sur un choix de personnes. 

Nous faisons le constat que ce que nous voulons exprimer, ce que des milliers de communistes veulent exprimer n’est pas possible avec les candidatures qui se sont actuellement déclarées. 

 

Nous ne savons pas si la direction aura le courage de soumettre la candidature de Jean-Luc Mélenchon au vote des communistes. On aura compris combien nous la rejetons. 

André Chassaigne, député du PCF, a fait acte de candidature à la candidature du Front de gauche. 

 

Nous respectons les orientations de notre camarade mais constatons qu’elles sont opposées aux nôtres sur les trois axes stratégiques que nous retenons. André Chassaigne place sa candidature dans la perspective de la constitution d’une majorité gouvernementale de gauche avec le PS. Il se situe dans la logique d’acceptation et transformation de l’UE. Il fait résolument le choix du « Front de gauche » et a été l’un des opposants les plus déterminés, lors du 35ème « congrès » de juin 2010, à la présentation d’une candidature du PCF. 

 

Si les communistes retiennent la candidature d’André au vote de juin, ils ne sauront pas ce qu’il en adviendra dans les négociations ultérieures au sein du « Front de gauche ». 

 

Nous ne prenons pas en considération la candidature individuelle d’André Gerin suite à ses positionnements répétés en connivence avec l’UMP (Eric Raoult…) sur les questions de la sécurité et de l’immigration, ou bien en faveur d’un « capitalisme des métiers et des savoir faire ». 

 

Cette déclaration de candidature précède la publication d’axes programmatiques. 

Evoqués dans une tribune publiée dans l’Humanité du 9 février

 

Il ne s’agit pas pour nous de rédiger un programme prétexte à remiser après les élections mais de donner une cohérence à nos positions dans les luttes actuelles. Notre candidature est au service des communistes, dès maintenant comme après le vote, pour construire l’alternative politique. 

 

Les exigences de la renationalisation des grands services publics, avec reconquête des monopoles publics et rejet des directives européennes (ex : du secteur de l’énergie ou du secteur financier), du rétablissement d’une échelle mobile des salaires partant d’un SMIC à 1600 euros net, de la défense inflexible du financement de la Sécurité sociale par la cotisation sociale, du retrait des troupes d’Afghanistan et de la sortie de l’OTAN font partie des campagnes que nous animons dans nos organisations du PCF et dont nous demandons qu’elles deviennent des campagnes nationales. De même que la sortie de l’euro. 

 

 

Notre priorité est de faire vivre et de renforcer le PCF. Il doit retrouver toute sa raison d’être dans la lutte des classes. Le texte alternatif au 35ème « congrès », « Face au capital, aujourd’hui plus que jamais, le peuple a besoin du PCF », la revue « Cahiers communistes » que nous avons créée sont au service de cet objectif. 

 

Les luttes, la crise du capitalisme amènent davantage de travailleurs, de jeunes, vers le communisme, vers le PCF. Réaffirmons l’actualité des choix fondamentaux du Congrès de Tours! 

 

Point d’infos complémentaires : 

 

Aucun élément concernant toutes les candidatures n’a été envoyé aux communistes par la fédération. 

 

La direction fédérale de l’Aisne a fait le choix de ne pas organiser de conférence départementale et de se contenter d’un comité fédéral avec 13 participants, dont 3 de notre section. 

 

Lors de ce comité  départemental, il a été décidé à une dizaine de voix (13 participants) de ne pas représenter notre section à la conférence nationale. 

 

Pour une véritable candidature communiste aux Présidentielles de 2012, le collectif PCF-RATP vous appelle à voter les 16, 17 et 18 juin 2011 pour Emmanuel Dang Tran

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POUR UN VERITABLE CANDIDAT COMMUNISTE

VOTE DES 16, 17 ET 18 JUIN 2011

UN AUTRE CHOIX POSSIBLE POUR LES COMMUNISTES

Depuis de nombreuses années il existe un débat de fond au sein de notre Parti Communiste Français sur sa continuité dans la vie politique. Contrairement à la direction du PCF au Collectif PCF-RATP nous sommes pour un Parti de perspectives, de propositions pour que le changement de société soit effectif tel que l’ont décidé les Communistes au 34ème Congrès.

Le Collectif PCF-RATP a pris toute sa place dans ce débat car nous sommes convaincus que seul le PCF peut et doit jouer un rôle décisif pour renforcer cette dynamique de lutte par son ancrage dans le monde du travail, par ce qu’il représente dans l’histoire et l’inconscient collectif du pays.

Sa raison d’être est plus justifiée que jamais : représenter et organiser dans la lutte anticapitaliste contre l’idéologie dominante les catégories sociales qui ont objectivement le plus intérêt à renverser l’ordre capitaliste.

Tout est bon à la Direction pour nous faire admettre, de facto, sa disparition (mise en retrait des adhérents dans les décisions, retards volontaires des congrès, décisions au sommet d’alliances électorales sur le long terme, etc.)

Depuis 3 élections, marchandages politiques, exigences de soi-disant partenaires ponctuent les échéances.

A l’approche de celle de 2012, une offensive d’une tout autre nature s’est mise en place.

D’une part, Pierre Laurent et la direction du PCF ont déjà choisi leur candidat en la personne de Jean-Luc Mélenchon qui n’est pas communiste mais représentant du Front de gauche.

D’autre part, certains membres du CN avec quelques sections entretiennent la confusion Chassaigne. Les camarades qui sont « attachés au PCF » sont invités à se rallier à Chassaigne parce qu’il serait un candidat « issu du PCF ».

Hors ce que des milliers de communistes veulent exprimer n’est pas possible avec ces deux candidatures qui sont actuellement mises en avant.

La direction nationale veut officialiser la disparition du PCF en nous enfermant dans le front de gauche.

Le collectif PCF-RATP ne laissera pas effacer notre parti, le PCF, indispensable pour nourrir les luttes et battre la politique au service du capital d’où qu’elle vienne.

Le « Front de gauche » constitue, au plan national, une fiction de rassemblement. Cette stratégie a été décidée, à toutes les étapes, en évitant l’expression souveraine des communistes.

Mélenchon et son Pg, le Front de gauche n’est qu’une alliance étriquée avec un pan de la social-démocratie dont le langage « populiste », démagogique ne saurait tromper sur la volonté de phagocyter le PCF et son héritage, nationalement et localement.

Le Front de Gauche reprend à s’y méprendre la « métamorphose » du PCF que les communistes ont rejetée à l’Assemblée nationale extraordinaire de décembre 2007 puis au 34ème congrès.

André Chassaigne place sa candidature dans la perspective de la constitution d’une majorité gouvernementale de gauche avec le PS. Il se situe dans la logique d’acceptation et transformation de l’UE. Il fait résolument le choix du « Front de gauche » et a été l’un des opposants les plus déterminés, lors du 35ème « congrès » de juin 2010, à la présentation d’une candidature du PCF.

La confusion Chassaigne. Elle marche encore pas mal avec des limites. Mais le rôle de rabatteur pour le Fdg et Mélenchon se confirme et se précise. Sur le fond, Chassaigne, comme la direction du Parti, laisse le beau rôle à Mélenchon. Chassaigne à qui on assigne le rôle de canaliser les communistes, s’affiche bien plus pour le PS, pour l’UE et même pour le FdG que Mélenchon !

Chassaigne, au CN, dans la presse et partout ailleurs répète qu’il se rangera derrière la résolution adoptée par la Conférence nationale. Il a salué l’honnêteté de la déclaration de Pierre Laurent pour Mélenchon, qu’il reconnaît être un bon candidat.

Tout est bon pour mettre les communistes dans une situation plus que délicate : soit un candidat FDG, soit un candidat FDG !

UN AUTRE CHOIX POSSIBLE POUR LES COMMUNISTES !

Dans le cadre imposé de l’élection présidentielle imposé par la Direction du PCF, il y a nécessité de faire entendre le PCF en tant que tel, de présenter une candidature clairement PCF.

Or, que se soit Pierre Laurent et la direction du PCF, en parlant uniquement de J.L Mélenchon ou bien ceux qui entretiennent la confusion avec Chassaigne, éliminent de fait le troisième candidat Emmanuel Dang Tran.

Le PCF a la responsabilité de porter une perspective politique de rupture avec la politique au service du capital, d’où qu’elle vienne. Le mouvement populaire, le discrédit du capitalisme attendent autre chose que l’avènement d’une nouvelle « gauche plurielle » dans le cadre refermé de l’échéance institutionnelle de 2012.

La candidature d’Emmanuel Dang Tran porte l’exigence que le PCF donne la priorité, sans attendre 2012, au mouvement populaire et aux luttes, qu’il exclut, dans les conditions actuelles, tout programme commun avec la social-démocratie et toute participation à un gouvernement dirigé par elle.

Evidemment, cela ne change rien à la nécessité d’éliminer Sarkozy mais sans ignorer le système politique dont il n’est qu’un élément.

Cette candidature porte l’exigence que le PCF incarne à nouveau, comme il l’a fait, seul, dès le début de la « construction » européenne, le rejet de l’UE du capital, le refus de l’application en France des traités et directives européens, la nécessité de la sortie de l’euro et de façon indissociable l’échange et la coopération entre les peuples, l’internationalisme dans la résistance à l’UE, à l’OTAN, à l’impérialisme.

Voilà pourquoi, au nom de la démocratie, et par respect envers tout les communistes, nous vous rappelons la candidature d’Emmanuel Dang Tran.

Emmanuel Dang Tran est un candidat du PCF, pas pour le fun, pas pour l’affichage mais pour redonner espoir aux Communistes sur l’utilité fondamentale de leur lutte, pour cette rupture qui changerait profondément leur vie et celles de leurs concitoyens et pour mener celle-ci, il faut un outil : le PCF démocratique, ancré dans les luttes, combattant jour après jour et mettant en avant des perspectives de changements pour demain et pour l’avenir, un PCF au service du peuple, pour le peuple et par le peuple.

Pour les élections de 2012, le PCF doit accorder la priorité au mouvement populaire. Nous pouvons encore élaborer un programme communiste d’ici octobre 2011 avec des propositions de rupture en lien avec l’action de ses militants dans les entreprises, les quartiers, les campagnes.

L’immense colère sociale, les luttes peuvent faire reculer la politique du capital. Opposant acharné à la droite et à l’extrême-droite, le PCF ne doit semer aucune illusion sur une alternance derrière la social-démocratie. Le PCF a combattu historiquement l’UE du capital. Il doit continuer en remettant en cause l’application des textes européens et l’euro.

La recherche du rassemblement le plus large peut et doit partir de nos objectifs politiques, non d’une combinaison politicienne.

A toute étape, la souveraineté des communistes doit être respectée.

Pour les législatives, les communistes doivent statutairement décider des candidats qu’ils présenteront ou soutiendront.

C’est dans cet esprit que la candidature de notre camarade Emmanuel DAN TRANG, comme candidat du PCF, a été proposée collectivement pour l’élection présidentielle.

Le renforcement du PCF est l’une des clés du changement véritable

Pour une véritable candidature communiste aux Présidentielles de 2012, le collectif PCF-RATP vous appelle à voter les 16, 17 et 18 juin 2011 pour Emmanuel Dang Tran et à créer partout les conditions d’une très large mobilisation des communistes dans le vote.

Stéphane AURIOL

Voici donc les infos de la Section A diffuser largement aux adhérents….Modalités du vote des ADHERENTS- Votre avis va compter…3 candidats, 2 stratégies

En pièce jointe le dernier tract de la section : X.BERTRAND RESPONSABLE! et le programme de la fête des Libertés qui se déroulera le DIMANCHE 26 JUIN, les billets de tombola sont prêts, moyen financier important pour réaliser cette Fête.(carnet de 5 billets à 2€, le tirage des lots, dont 1 vélo se fera sur la fête). Pensez à réserver pour le MECHOUI au plus vite
Diffusion du tract : Des équipes collectives se mettent en place mais chacun peut faire un bout de son quartier, sa rue. Si tu souhaites que nous te déposions les tracts prend contact avec la section (coordonnée sur le tract en pièce jointe)

AVENIR DU PCF, des précisions sur le déroulement du vote :

Des choix graves et importants pour l’avenir du PCF sont à faire… Ta participation à cette consultation des communistes va compter. Trois débats de fond ont eu lieu pour notre section, chacun a pu se forger son avis. Pour tous les adhérents de la section de St-Quentin, le vote se déroulera à la section au 22, rue de la Pomme Rouge les 16,17 et 18 juin (de 17H à 19H le jeudi et le vendredi, de 9H30 à 11H le samedi, puis dépouillement). Une commission pour le bon déroulement des opérations sera mise en place ce mardi par le Comité de Section.

Afin d’avoir une cohérence et une lisibilité des résultats, les envois par la poste sont possibles mais au siège de la section du PCF, 22 rue de la Pomme Rouge, dans une enveloppe signée au dos par l’adhérent avec son nom et sa cellule. Seuls les votes reçus à la section seront pris en compte. Comme cela est précisé dans les statuts, si cela n’est pas encore fait, tu peux te mettre à jour de tes cotisations (les 3 derniers mois, au moins) jusqu’au moment du scrutin, mais le versement de ces trois mois est impératif afin qu’aucun vote ne soit contesté.

INFO HEBDO: MODALITES PRATIQUES .La conférence nationale vient de se tenir. Après un riche débat, les délégué-e-s ont adopté la résolution et le bulletin de vote soumis aux adhérent-e-s pour la consultation des 16, 17 et 18 juin. Elle s’ouvrira le jeudi 16 juin à 9 H et sera close le samedi 18 juin à 18 H.

 

Concernant la participation au vote nos statuts prévoient que :

4.1. Décisions et votes

Tous, toutes les adhérent-e-s reçoivent les informations et les éléments matériels pour chaque consultation. Seul-e-s les adhérent-e-s détenant la carte du Parti communiste français depuis plus de trois mois avant la date du scrutin, à jour de leur cotisation, c’est-à-dire pour les trois derniers mois, au moins, qui précédent le scrutin, peuvent participer au vote. A cette fin, une liste des électeurs, consultable, est établie au moment du scrutin et validée par une commission désignée par le ou les exécutifs des territoires concernés. Cette commission organise la consultation et assure le bon déroulement des opérations de vote. Elle prend toutes dispositions pour faciliter la participation du plus grand nombre d’adhérent-e-s.

 

Afin de permettre l’organisation la plus efficace et la participation maximale, ce vote devra s’organiser au plus près des sections et des organisations locales de notre parti qui connaissent le mieux nos adhérent-e-s. Celles-ci devront mettre en place des commissions électorales chargées de veiller au bon déroulement du scrutin : elles dresseront des listes d’émargement du vote, récolteront les cotisations, organiseront des permanences dans les locaux de sections, partout où cela sera possible, ….Des commissions départementales seront également mises en place, pour récolter et globaliser les résultats du département.Les résultats devront être transmis à la vie du parti entre 18h et 22 h.

Une Commission Nationale sera chargée de recueillir les résultats et de les rendre publics : elle sera composée d’une délégation du Comité Exécutif National (Jacques Chabalier,Yves Dimicoli, Isabelle de Almeida, Fabienne Pourre, Eliane Assassi, Isabelle Lorand), de Denis Rondepierre et Emilie Lecroq (vie du parti), de François Auguste (président du Conseil National), Marc Brynhole (Président de la commission des conflits), Jean-Louis le Moing (Trésorier National) et d’un-e délégué-e des candidats Emmanuel Dang Tran et André Chassaigne.

 

La direction de Section

1 Commentaire

Le sens du vote Chassaigne est clair : intégrer davantage les communistes au Front de gauche avec Mélenchon.

Rédaction de vivelepcf, 9 juin 2011

 

A la Conférence nationale du PCF, le 5 juin 2011, André Chassaigne a finalement décidé de maintenir son nom sur le bulletin pour le vote des communistes des 16, 17 et 18 juin. Ses explications ont été très claires. Son objectif est de consolider la démarche du Front de gauche.

Aujourd’hui, un certain nombre de dirigeants du Parti invitent à utiliser le vote Chassaigne pour faire barrage à Mélenchon, partant de positions diverses, souvent très éloignées de celles d’André Chassaigne lui-même.

Cette démarche politicienne, rappelant le « vote utile » pour le PS que nous avons si souvent dénoncé, ne tient pas la route dans le PCF. Elle n’est pas efficace contre l’opération visant à imposer Mélenchon.

 

Voici les étapes de notre réflexion.

 

1°- André Chassaigne est clair depuis le départ : il s’inscrit entièrement dans la stratégie du Front de gauche. Il le reprécise encore dans les quelques lignes figurant sur le bulletin de vote qu’il a tenu à lire devant la Conférence.

Sa candidature s’inscrit dans le Front de gauche, sur la base du programme « partagé », en complément de l’accord marchandé entre les partenaires du Front de gauche pour les législatives. Rien sur le fond politique ne sépare sa candidature de la proposition de la conférence nationale amenant la candidature de Mélenchon.

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2°- La candidature d’André Chassaigne est complémentaire de celle de Mélenchon.

André Chassaigne est clair depuis le départ sur l’originalité de sa candidature par rapport à celle de Mélenchon dans le processus de désignation du candidat.

Rappelons-le : au 35ème « congrès » de juin 2010, André Chassaigne est celui qui monte au créneau pour s’opposer à une candidature présentée par le PCF d’une part, pour s’opposer à une proposition de la fédération du Nord d’autre part, qui demandait que le PCF désigne son candidat pour le Front de gauche avant d’en discuter avec ses partenaires.

A partir de septembre 2010, André Chassaigne avance son nom pour le Front de gauche avec le souci de ne pas laisser la personnalité et la « façon de faire de la politique » de Mélenchon seules pour incarner le Front. Il trouve que les sorties de Mélenchon sonnent trop anti-PS, alors que le Front recherche à participer et à tirer à gauche (illusion dangereuse !) une future majorité de gauche, sonnent trop anti-européennes quand le Front veut « réorienter l’UE ».

A plusieurs reprises, il insiste que le nom du candidat, « la question rétrécie de la candidature », n’est pas décisif par rapport à l’orientation politique. L’appartenance au PCF ne saurait être ni « un atout », ni « un inconvénient ». Pour lui, le PCF doit avoir toute sa place dans le Front de gauche.

Il avait annoncé qu’il se rallierait à l’avis majoritaire de la Conférence nationale. La résolution adoptée à 63% porte entièrement la démarche du Front de gauche conduisant à la candidature de Mélenchon. Mais André Chassaigne a choisi de maintenir quand même sa candidature pour « que les communistes ne se sentent pas frustrés ».

Le sens revendiqué de la candidature d’André Chassaigne, c’est le renforcement de l’implication des communistes dans le Front de gauche avec Mélenchon.

En aucun cas, précise-t-il, il n’accepte qu’elle soit « instrumentalisée » contre le Front de gauche.

 

3°- Les calculs politiciens stériles de certains soutiens, contre-nature, au vote Chassaigne.

 

Des appels se succèdent pour appeler à utiliser la case Chassaigne du bulletin de vote pour s’opposer à Mélenchon.

Mais Chassaigne n’est pas contre Mélenchon. Sa ligne reprend tous les axes du Front de gauche qui conduisent la direction à pousser la candidature de Mélenchon. On ne combat pas la logique du « Front de gauche » à coups de « Front de gauche » !

 

Au-delà de cette évidence, on ne peut que remarquer l’absence de cohérence des supporters, nouveaux ou anciens, du vote Chassaigne. Tout choix politicien ne peut conduire qu’à la confusion.

Il y a ceux qui se reconnaissent dans le Front de gauche mais préfèrent le style Chassaigne au style Mélenchon.

Il y a ceux qui se reconnaissent dans le Front de gauche mais veulent plus d’éléments communistes dans le « programme partagé » et espèrent l’avoir grâce à Chassaigne.

Il y a ceux qui ne refusent pas le Front de gauche, mais ne veulent surtout pas que leurs accords privilégiés avec le PS au plan local soient remis en cause. Il est remarquable que plusieurs dirigeants de fédérations, qui s’étaient prononcés pour des accords de 1er tour avec le PS aux régionales, figurent parmi eux.

Il y a ceux enfin, qui comme André Gerin, s’étaient prononcés contre le Front de gauche mais estiment que choisir un partisan du Front de gauche, autre que Mélenchon, peut mettre en échec le Front de gauche. Gerin va jusqu’à saluer « les éléments positifs de la Conférence nationale ». Gerin a déjà annoncé à la presse bourgeoise, plusieurs fois, son intention de se présenter seul à la présidentielle si Mélenchon est retenu. Veut-il à moindre frais, sans s’exposer sur ses idées absolument personnelles (sur l’immigration, ou en faveur du capitalisme productif), récupérer les camarades attachés à l’idée d’une candidature communiste ?

Quels calculs doivent avoir dans la tête tous ces responsables ! Assez de calcul à 10 bandes !

 

Alors que depuis le départ, le problème fondamental, que nous ne cessons de dénoncer est l’absence de débat des communistes sur le fond !

 

Reste un argument, le vote Chassaigne ne permet-il pas de faire mordre la poussière au symbole du Front de gauche, Mélenchon ? Illusion !

 

4°- Faire barrage au « front de gauche avec Mélenchon » : deux moyens, un seul vote efficace, celui pour Emmanuel Dang Tran !

Dans le vote des 16, 17 et 18 juin, ce qui sera significatif c’est la proportion de voix pour Mélenchon. Selon son score, il sera plus ou moins légitime.

Mais ensuite fondamentalement, ce qui comptera, c’est la condamnation de la ligne politique qui le porte, c’est-à-dire du Front de gauche.

Pour ces deux objectifs, il y a un vote clair, le vote pour la candidature d’Emmanuel Dang Tran. Elle contribue à faire baisser le résultat de Mélenchon, elle porte une ligne politique, ancrée sur le mouvement populaire, clairement en opposition au Front de gauche dont Mélenchon est déjà, qu’on le veuille ou non, le porte-parole.

Refus de l’enfermement dans une perspective politique derrière le PS, rejet de tout arrangement avec le réformisme et l’UE du capital, refus de l’effacement du PCF, exigence d’un vrai programme communiste : c’est sur ces axes clairs que les organisations du PCF pourront, dans la période difficile qui s’annonce avant les élections, résister, faire vivre et renforcer notre parti le PCF.

 

Le vote pour Emmanuel permet d’avoir un point d’appui national pour le PCF, pour notre reconquête des entreprises, des quartiers, des campagnes.

En tant que PCF, c’est-à-dire à mille lieues des arrangements politiciens du FdG

Fête des Libertés à St-Quentin le Dimanche 26 juin: Débat, concerts, foot et grand MECHOUI

Fête des Libertés:

Stade Marcel Bienfait à Saint-Quentin

DIMANCHE 26 JUIN

 

DEBAT

MECHOUI GEANT

CONCERT

FOOT

Tombola, avec tirage des résultats sur la fête

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Travail gratuit obligatoire pour les allocataires du RSA : indigne !

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Article du 8 MAI….Des idées qui font leur chemin à l’UMP, il est temps que nous nous levions digne et en colère…

A son tour, le jeune loup de l’UMP Laurent Wauquiez, ministre des affaires européennes, se lance dans une attaque démagogique répugnante. Il s’agit une nouvelle fois d’opposer les salariés entre eux, en l’occurrence les salariés mal payés avec les salariés privés d’emploi percevant le RSA.

Il accuse ces derniers de gagner trop ! Incroyable ! Qu’il y vienne ce propret M. Wauquiez, né dans la ouate patronale ! Vivre avec 500 euros, 700 euros ou les à peine 1000 euros net du SMIC. Il n’imagine même pas ce que c’est.

Il se permet de les accuser moralement d’être des assistés et demande qu’on les oblige à travailler gratuitement au moins 5 heures par semaine au nom « des droits et des devoirs ».

Cette politique d’humiliation permanente, d’atteinte à la dignité de celles et ceux qui se retrouvent dans les conditions les plus difficiles est contradictoire avec le travail d’insertion que les travailleurs sociaux et les personnes concernées mènent ensemble pour retrouver un emploi stable, vivre et faire vivre leur famille, reprendre pleinement leur place dans la vie sociale.

Mais ce n’est pas la préoccupation de M. Wauquiez et de ses amis politiques, tout au contraire.

Ce qu’ils veulent, c’est maintenir en concurrence des salariés très pauvres avec des salariés pauvres.

Ce qu’ils veulent, c’est que les patrons puissent profiter d’une main d’œuvre bon marché et même, pourquoi pas, gratuite.

Dès le départ, le RSA du ministre soi-disant de « gauche » d’un gouvernement de droite, Martin Hirsch, porte cette logique. Elle est malheureusement largement défendue au-delà de la « droite ». Avec stupéfaction, j’ai appris que le Conseil général de l’Aisne, avec sa majorité de gauche (Front de gauche compris) a adopté un document sur le RSA allant exactement dans le sens des propos de M. Waucquier. Pour « adapter la logique de droits et devoirs qui soumet l’octroi d’une allocation à l’engagement de démarche d’insertion », le Conseil général envisage de faire réaliser aux allocataires « des tâches contribuant à l’intérêt collectif de la société », en prenant garde « de ne pas tomber dans le droit du travail ». Voyons !

Aves mes camarades communistes et mes camarades syndiqués, nous en avons discuté le 1er mai : pas question de laisser faire !

Il est inadmissible que 60% des chômeurs ne soient pas indemnisés, que les minima sociaux soient si faibles, que des jeunes en dessous de 25 ans n’aient rien pour vivre.

Seule une vie quotidienne décente peut permettre de sortir la tête de l’eau. Les chômeurs, les jeunes, ne demandent pas la charité, des stages bidon mais de vrais emplois, répondant aux vrais besoins. Il faut plus de moyens pour de vraies formations.

Les salariés les plus précarisés ne sont pas les ennemis des smicards et des autres salariés, tout au contraire. Le SMIC doit être porté à 1600 euros net avec la reconnaissance des qualifications et le rétablissement d’une échelle mobile des salaires.

Que l’on ne nous dise pas qu’il n’y a pas d’argent. M. Waucquier en trouve pour diminuer l’impôt sur la fortune et les actionnaires du CAC 40 en ont empoché 43 milliards d’euros en dividendes !

C’est entre ces gens là et nous, salariés, smicards ou Rmistes que se situe la « fracture sociale » et que doit se développer la lutte des classes !

Corinne Bécourt, PCF Saint-Quentin, membre du Conseil national du PCF -Aisne

Bulletin de vote pour la consultation des communistes des 16,17 et 18 Juin

Intitulé du bulletin de vote, choix n°3 :

« Le PCF doit accorder la priorité au mouvement populaire. L’immense colère sociale, les luttes peuvent faire reculer la politique du capital. Pour les élections de 2012, il est nécessaire d’élaborer, en lien avec l’action des militants, un programme communiste porteur de propositions de rupture. Opposants acharnés à la droite et à l’extrême-droite, nous ne devons semer aucune illusion sur une alternance derrière la social-démocratie. Le PCF a combattu historiquement l’UE du capital. Il doit continuer en remettant en cause l’application des textes européens et l’euro. Combinaison politicienne, le Front de gauche ne correspond pas, en termes de contenu et de forme à notre recherche du rassemblement. Il efface le PCF alors que son renforcement, suivant sa raison d’être dans la lutte des classes, est l’une des clés du changement.
Pour la présidentielle, la candidature d’Emmanuel Dang Tran, comme candidat du PCF, est proposée dans cet esprit. Pour les législatives, les communistes doivent décider statutairement, souverainement, des candidats qu’ils présenteront ou soutiendront. »

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