« L’UMP ratatinée , une petite triangulaire pour arranger les affaires avec le Front National, le Front de Gauche et Europe écologie déja prêts à l’union sacrée avec la sociale démocratie (hé oui c’est important des »Vices présidences »), et HOP le deuxiéme tour serait bouclé…. » Quand au Modem, s’il y a besoin, on ne sait jamais!
Magouilles politiques et petits arrangements…..A VOUS DE JUGER
Nous savons tous comment cela se passe après, solidarité des groupes sur le vote du budget et le projet, des miettes gagnées, pas de changement réel de politique, déception de la population, plus d’espoir, dégout des politiques…..
voici une autre possibilité et celle ci est bien réelle : M.GREMETZ et la liste »Colère et Espoir » arrivent en tête de la »gauche » au premier tour, plus d’aides aux multi nationales qui licencient, des engagements tenus, un vrai chanchement à la région sur un projet clair , sans compromissions…..
Avez vous entendu, une seule fois ces organisations politiques se prononcer contre une augmentation des impôts régionaux, contre la fameuse taxe TIPP….C’est toujours les mêmes qui payent
LE VOTE UTILE POUR LES PICARDS, c’est le vote « Colére et Espoir »
Des femmes et des hommes qui disent se qu’ils vont faire, et qui font ce qu’ils disent
Pour info, suite à la déclaration de Gewerc dans l’Aisne Nouvelle
Sources : L’Aisne avec DSK; E.Mousset (Parti socialiste)
Bonjour à toutes et à tous.
La petite phrase de Claude Gewerc, dans L’Aisne Nouvelle de mardi dernier, est passée inaperçue, n’a soulevé aucun commentaire. Et pourtant elle est politiquement lourde de sens et de conséquence. A la question « Si Maxime Gremetz peut se maintenir au deuxième tour, lui tendrez-vous la main pour qu’il se joigne à vous ? » la réponse est très claire : « Jamais, il a trahi la gauche, et pour moi c’est fini« .
Rien de bien surprenant dans cette réaction, quand on sait avec quel acharnement Gremetz s’est attaqué à la majorité de gauche au Conseil Régional de Picardie. Mais ce que je veux souligner, c’est le principe inédit : à gauche, au second tour, on se rassemble, on fait liste commune, c’est la règle intangible du Parti socialiste, quelle que soit l’élection. Ne croyons pas ici que Gewerc règle un compte personnel, se laisse aller à un réflexe épidermique. C’est un trop grand politique pour ça.
Non, ce n’est pas seulement un homme imprévisible, un caractère survolté qui sont visés et rejetés, c’est une ligne politique, celle du groupe « Colère et espoir », qui a cessé d’être communiste pour rejoindre l’extrême gauche, dans une posture protestataire tout azimut, dont les socialistes sont les premiers à faire les frais. Il est donc cohérent de rompre politiquement avec cette sensibilité et de ne pas vouloir s’allier au second tour avec elle.
La petite phrase de Claude Gewerc, dans L’Aisne Nouvelle de mardi dernier, est passée inaperçue, n’a soulevé aucun commentaire. Et pourtant elle est politiquement lourde de sens et de conséquence. A la question « Si Maxime Gremetz peut se maintenir au deuxième tour, lui tendrez-vous la main pour qu’il se joigne à vous ? » la réponse est très claire : « Jamais, il a trahi la gauche, et pour moi c’est fini« .
Rien de bien surprenant dans cette réaction, quand on sait avec quel acharnement Gremetz s’est attaqué à la majorité de gauche au Conseil Régional de Picardie. Mais ce que je veux souligner, c’est le principe inédit : à gauche, au second tour, on se rassemble, on fait liste commune, c’est la règle intangible du Parti socialiste, quelle que soit l’élection. Ne croyons pas ici que Gewerc règle un compte personnel, se laisse aller à un réflexe épidermique. C’est un trop grand politique pour ça.
Non, ce n’est pas seulement un homme imprévisible, un caractère survolté qui sont visés et rejetés, c’est une ligne politique, celle du groupe « Colère et espoir », qui a cessé d’être communiste pour rejoindre l’extrême gauche, dans une posture protestataire tout azimut, dont les socialistes sont les premiers à faire les frais. Il est donc cohérent de rompre politiquement avec cette sensibilité et de ne pas vouloir s’allier au second tour avec elle.
La décision de Gewerc ne va pas électoralement de soi (Gremetz peut faire un bon score) mais est politiquement irréprochable. Elle rend d’autant moins tenable notre alliance à Saint-Quentin avec les gremetziens. Car ce qui est valable à Amiens doit l’être aussi chez nous. La même logique s’applique à toute l’extrême gauche, dont « Colère et espoir » est devenu une composante.
Cette position est renforcée par les enseignements du sondage IFOP-Paris-Match publié hier. Les estimations des régionales attribuent 2,5% au NPA et 2% à LO, alors que le Front de Gauche atteint 6,5%. C’est avec lui, et avec lui seul, que nous devons nous allier, c’est ce que nous devrons faire aux prochaines municipales. Notons que le Front de Gauche, là où il se présente avec le NPA, réalise de très faibles scores. Les leçons sont claires : à gauche du PS, c’est le Front de Gauche qui est notre unique partenaire légitime ; quand ce Front s’unit à l’extrême gauche, la sauce ne prend pas, et pour cause : les intérêts, les orientations, les électorats sont différents.
La droite ironise sur la dispersion des listes à gauche. Dans un petit mois, elle rira jaune, car c’est la diversité des listes qui fera gagner la gauche, la dynamique de second tour aidant au rassemblement, pourvu que les bases politiques soient claires. Avec Gewerc, elles le sont, autant à l’égard du MoDem que de « Colère et espoir ». Quand la victoire sera acquise et la page tournée, il faudra en retenir la principale leçon pour Saint-Quentin : le face-à-face actuel entre une droite élargie et une gauche collée à son extrême gauche marginalise le PS, lui interdit tout espoir raisonnable de victoire. En 2 014, pour que la gauche puisse l’emporter, il faudra qu’il y ait plusieurs listes, pour pouvoir « ratisser large » (l’expression n’est pas très belle mais elle est évocatrice).
Bonne soirée.
humour!!!! PARLONS DE LO (lutte ouvriére) Nous avons cherché sur la liste les ouvriers , et bin, rien trouvé sauf un ou deux retraités, c’est quoi déja le nom de leur parti ???
POUR LE NPA: Ils seraient prêts à mettre la main dans le cambouis..
TERGNIER (02) NPA : « On veut que la région reste à gauche »
Parti anticapitaliste créé il y a tout juste un an avec Olivier Besancenot comme leader, le NPA 02 a présenté hier soir ses listes Aisne-Oise-Somme en vue des élections régionales. « On espère faire plus de 5 % en Picardie », clame la tête de liste régionale Sylvain Desbureaux. La volonté d’avoir de « vrais représentants du personnel pour représenter tous ceux qui souffrent » motive les troupes.
Le parti d’extrême-gauche a l’ambition de demander l’arrêt des subventions aux entreprises privées et aux écoles privées s’il obtient des sièges au conseil régional. « C’est très clair, les deniers publics doivent aller au public. On peut faire de belles économies et on pourra injecter cet argent dans des infrastructures qui ont un rôle social très important », poursuit Sylvain Desbureaux.
La stratégie du jeune parti est, au premier tour des régionales, de rassembler. Au second tour, « nous fusionnerons avec la première liste de gauche s’ils veulent de nous. On veut que cette région reste à gauche et on veut que tous les partis obtiennent des sièges ».
Aux élections européennes, le NPA a fait un peu plus de 6,5 % avec un pic dans la Somme à 7,5 %.
Un meeting se tiendra à Amiens ce jeudi 4 février à 20 h 30, salle Valentin-Haüy avec Olivier Besancenot (porte-parole NPA), Sylvain Desbureaux (tête de liste régionale et pour la Somme) et Jean-Luc Belpaume, conseiller régional.
Il y a du monde au balcon….
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