Le document ci-dessus a été publié dans le quotidien « LE PARISIEN » du 28 novembre 2009
Le document ci-dessus a été publié dans le quotidien « LE PARISIEN » du 28 novembre 2009
RANDSTAD, ADECCO, MANPOWER, vous avez dit… MAFIA ?
LA MAFIA DE L’INTÉRIM OU LA DÉLINQUANCE ÉCONOMIQUE AGGRAVÉE
TRYPTIQUE MAFIEUX
Premier volet : JUSTICE : CONDAMNATIONS : QUI VEUT PAYER DES MILLIONS ?
Les 3 soeurs, Majors de l’intérim (70 % du marché) vont réaliser le fantasme du patronat : détruire le service public de l’emploi d’ou, à l’initiative du PRISME le changement de Nom :
On ne dit plus Agence d’Intérim, mais Agence d’Emploi (??) Auraient ils honte de leurs Origines ? (à l’usage unique des… crédules)
Le pôle emploi perçoit environ 700 euros pour le placement en CDI d’un chômeur, pour le même résultat, « La famiglia » encaisse quant à elle, prés de 5 fois la mise : 3500 euros !!!!!
Ce financement est pris sur les fonds de la convention chômage bien sur : Contribuables et
Évidemment, les moyens mis en oeuvre ne sont pas comparables et affirmer que les 3 Copains/Coquins qui, sont les nouveaux négriers des temps modernes, sont plus efficace que le secteur public pour simplement, justifier l’assassinat de celui-ci, ne serait que des propos de maffiosi !
C’est bel et bien sur la base de cette même notion de MAFIA que l’Autorité de la Concurrence Européenne a condamné ces sociétés en Février 2009 à des amendes record :
MANPOWER : 42 millions d’euros
ADECCO : 34 millions d’euros
RANDSTAD/VEDIORBIS : 18 millions d’euros
Donc 94 millions d’euros d’amendes pour , ENTENTES ILLICITES et PRATIQUES ABUSIVES au détriment des entreprises « grands comptes «
De plus, ces mêmes 3 sociétés de Travail Temporaire avaient déjà été condamnées en 1997 pour ces MÊMES RAISONS !!!
Évidemment comme pour toute RÉCIDIVE cela revêt un caractère de CIRCONSTANCES AGGRAVANTES, mais quelle importance elles payent ces amendes avec des….fonds publics !!
Car c’est bien de ça dont il s’agit, en leurs offrant le très juteux marché du placement en CDD et CDI en lieu et place du pole emploi, avec de telles conditions financières avantageuses et donc forcement injustes pour le service public !
Deuxième volet : EXONERATIONS : SUR LA ….MATIERE PREMIERE.
Et si cela s’arrêtait là ?? Mais NON, mais NON un autre FI(L)LON AURIFÈRE celui la, prénommé François est arrivé en 2002 :
Les trop FAMEUSES Exonérations de Charges Sociales sur les Bas Salaires ! (entre 1 et 1,6 SMIC – LOI FILLON) ou, selon le point de vue duquel on se place : Les Détournements de Cotisations URSSAF ,
Sur 3 ans : 750 millions d’euros…. And the winners is : RANDSTAD, ADECCO & MANPOWER
Pour le Groupe RANDSTAD/VEDIORBIS : 98 Millions d’euros de 2006 à 2008 !!
A l’origine ces exonérations devaient servir à l’emploi et à l’amélioration des conditions de travail (SIC) ET que croyez-vous qu’il arriva ?? :
1000 euros de prime pour UNIQUEMENT les 3000 salariés PERMANENTS de l’entreprise (2 % de la masse salariale) et ABSOLUMENT RIEN, pour les salariés INTÉRIMAIRES !
Voilà bien là, la vision hémiplégique du P.D.G. de Randstad France de l’égalité de traitement des salariés, au sein de la même entreprise !
Dans le pays des droits de l’homme, un certain candidat aux élections présidentielles, nous désignait, il y a peu, les frontons des mairies ou il est inscrit : Liberté Egalité Fraternité mais, il faut croire que certains sont plus Egaux que d’autres et ce ne sont, JAMAIS les INTERIMAIRES !
Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789) – Article 1 : « TOUS les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit, jusqu’au jour ou…… ils sont intérimaires chez RANDSTAD »
ALORS que cette manne providentielle est EXCLUSIVEMENT issue de la masse salariale de ces mêmes Travailleurs Temporaires (98%) :
Donc 1000X3000 = 3 MILLIONS et le restant, direction : les actionnaires : La Hollande pour RANDSTAD. (la Suisse pour ADECCO et les E.U pour MANPOWER)
BINGO et JACKPOT, car, grâce à François (et à TsarKosy) : PARIS fait mieux que VEGAS car, ON GAGNE TOUS LES ANS, A TOUS LES COUPS et sans risque aucun !
De plus, c’est l’exemple même de la Vraie Fausse Bonne Idée.
Car les dirigeants de ces 3 majors de l’intérim incitent fermement, à travers leurs réseaux respectifs, les salariés permanents de leurs entreprises à missionner les Intérimaires à des taux horaires qui doivent être le PLUS BAS POSSIBLE donc le SMIC !!
Quand on connaît les bas salaires de ces mêmes permanents, une prime de fin d’année de 1000 euros est toujours appréciable et de toute façon la pression de la hiérarchie est forte, très forte :
98 millions/3 ans l’actionnariat ne renoncera jamais au Casino FILLON France, ou pour les actionnaires, l’entrée est gratuite et les mises ne représentent QUE la SUEUR des INTÉRIMAIRES !
Il ne reste plus qu’à convaincre les clients d’avoir également cette démarche car, il existe LA MÊME Remise de fin d’année (RFA sur les RBS) pour les entreprises utilisatrices !!
Ce trésor de guerre permet d’argumenter, lors de passage de certains marchés nationaux face à la concurrence ; Libre et non faussée paraît-il ?
INTÉRIMAIRES voici les causes de vos BAS SALAIRES et VOICI POURQUOI les Sociétés d’intérim fleurissent par milliers en France.
Pour s’en rendre compte, il suffit d’arpenter le Blv Magenta à Paris et sans jeu de mots aucun, en respect pour nos camarades sans-papiers, c’est la ruée vers l’or.. Noir !
LA Matière première : 2 millions d’intérimaires, 700 000 emplois, équivalents temps plein.
Le FIL(L)ON n’est pas près de s’épuiser de sitôt, la veine est encore très productive, même si une légère secousse tellurique temporaire vient, faire baisser le rendement.
Troisième volet : RESSOURCES IN HUMAINES & ASSERVISSEMENTS : LES TRAVAILLEURS SANS PAPIERS
Les entreprises d’intérim sont les plus grands pourvoyeurs de Travailleurs sans papiers pour le BTP, la restauration et l’industrie.
TOUTES ces sociétés ont jusqu’à présent menties et niés employer ces mêmes travailleurs :
Le discours de TOUS les directeurs régionaux et chefs d’agences des Adecco, Randstad et Manpower :
» Pas de ça chez nous, nous n’avons aucun sans papiers parmi nos intérimaires « TOUS DES MENTEURS, lors des occupations d’Agences nous avons fourni les preuves :
- Les travailleurs sans papiers, en action dans les agences ou il était inscrits et avec… leurs Fiches de paies.
Toujours le « pas vu pas pris » seul compte pour ces entreprises les PROFITS et UNIQUEMENT !!!
Pour le reste on s’en accommode très facilement on ferme les yeux et on se retranche derrière le fait que tout est de la faute de… la P.A.F et de l’état !
L’avantage principal de cette main d’oeuvre est qu’elle est corvéable et malléable à merci
De plus, ils se contentent de salaires minimum et de conditions de sécurité au travail digne de Germinal !
Bref TOUS les acteurs économiques le Medef, le PRISME, les entreprises de Travail Temporaires se la jouent « Gagnant Gagnant »
Tous biens surs, sauf les Travailleurs sans papiers qui paient des cotisations sociales sur salaires et des impôts !
Nous avions nous autres syndicalistes, dans un moment d’égarement, espérés, une compréhension, une reconnaissance, un soutien des dirigeants de ces 3 leaders du marché de l’intérim, afin d’établir une circulaire simplifié pour la régularisation de ces intérimaires :
Bien évidemment, rien de tout ça n’arriva, car, les dirigeants de ces trois sœurs des RESSOURCES HUMAINES ne retiennent que le premier terme de cette expression, car c’est le SEUL qui vaille, le SEUL qui compte, le SEUL qui permette d’obtenir de beaux graphiques sous Excel, avec des courbes ….en hausses.
LA CIRCULAIRE BESSON : En voici une synthèse :
Par les motifs Cumulatifs suivants :
5 ans de présence en France
Exercice d’un emploi dans les métiers en tension
Ancienneté égale ou supérieure à 12 mois dans l’entreprise
Contrat de travail avec CDD ou CDI d’une durée égale ou supérieure à 12 mois
Capacités d’intégration du demandeur. (En particulier parler français)
Paiement de la taxe ANAEM par l’employeur
Exclusion des Algériens et Tunisiens
Cette circulaire dite du TangoBesson(un pas en avant deux en arriere) ne permettra, au maximum la régularisation que de : 1000 Travailleurs !!!! Le compte n’y est pas !
LES PATRONS DE L’INTÉRIM *** SONT LA POPULATION LA PLUS ASSISTÉE DE FRANCE !! Et en PRI(S)ME ILS TRICHENT et pour le coup de façon PERMANENTE !!
En ce qui concerne les 750 millions d’euros (/3 ans) d’EXONÉRATION DES CHARGES,les 3 P.D.G., champions mondiaux de l’intérim, d’ADECCO, de RANDSTAD et de MANPOWER sont intimement convaincus que dans ce domaine, LA SEULE RÈGLE ACCEPTABLE EST BIEN LE :
Chèque à Durée Indéterminée
Rendons-leur justice (comme dirait l’Autorité de la Concurrence Européenne) à la CGT nous avons PRESQUE le MÊME slogan :
VIVE LE CDI !!
** PRISME : Professionnels de l’Intérim, Services et Métiers de l’Emploi *** N’oublions pas les Chers (très, très chers) Actionnaires
TOUS UNIS POUR UNE SOCIETE PLUS HUMAINE !
Syndicat CGT Randstad.- www.cgtrandstad.com -
Plusieurs fédérations cheminotes ont échangé leur point de vue sur la situation sociale et revendicative à la SNCF.
Toutes ont souligné l’accélération et le contenu des réorganisations du système ferroviaire français qui, à terme, mettent en péril l’entreprise publique SNCF et fragilisent le service public.
Elles constatent que ces transformations souhaitées par le gouvernement et le président de la SNCF s’accompagnent de décisions dramatiques sur l’emploi des cheminots, avec des conséquences sur la qualité de la production, la sécurité de l’exploitation ferroviaire et les conditions de travail.
Au mécontentement créé par ces transformations à marche forcée et facteur de stress s’ajoute la situation du pouvoir d’achat des actifs et retraités qui enregistre un recul.
Les Fédérations Syndicales ont également noté la multiplication des actions à caractère local, régional et national depuis la rentrée.
Des mobilisations qui prennent la forme de grèves, de rassemblements, de manifestations avec parfois la participation des populations qui refusent le recul du service public.
Dans ce contexte, où les projets sont menés au pas de charge sans véritable concertation approfondie, avec une direction et un gouvernement qui ne veulent pas entendre les exigences revendicatives portées par les cheminots et leurs représentants.,
Les cheminots actifs et retraités sont appelés à participer à une manifestation nationale à Paris le mardi 08 Décembre 2009
Suite de ce dossier; Message adressé par mailBonjour,chère Madame,
Je m’appelle Patrick Sellier,et je suis en quelque sorte le collaborateur du député Maxime Gremetz.
Dés que nous avons eu connaissance de cette ténébreuse affaire de non paiement des stagiaires de Foragora,tout de suite nous nous sommes empressés à vérifier tous les éléments de ce dossier et quelles étaient les raisons de ces dysfonctionnements.
Ce qu’il en ressort est une sordide affaire entre le conseil régional de Picardie et la direction de Foragora,les uns reprochant aux autres des incompétences et des inerties administratives.
Les conséquences immédiates furent une suspension de vos paiements pour la grande majorité d’entre vous.
Ces mesures de rétorsions immédiates prises par un groupe Américain extrêmement riches sont parfaitement intolérables,ces derniers n’hésitant pas l’ombre d’un instant à vous transformez en otage pour inconséquences avérées de part et d’autres.
Fort d’un certain nombre d’éléments,nous avons intervenu énergiquement le 27/11/2009 auprès de Claude Gewerc,président de la région Picardie en lui demandant de faire face immédiatement à ces obligations de prestations salariales .
A ce jour nous n’avons pas reçu aucune réponse de la part du président,chacun pourra apprécier ces errements.
De plus comme nous l’avons précisé dans notre requête,nous pensons qu’il est parfaitement judicieux que vous réclamez sans tarder preuve à l’appui évidemment,les frais financiers que cela n’a pas manqué d’engendrer avec vos créanciers.
Face à cette ténébreuse et sinistre affaire,seul le conseil régional est tenu comme responsable,il se doit en toute circonstance de suppléer à la carence de Foragora,ne l’ayant pas fait depuis Septembre 2009,le conseil régional de Picardie a manqué à son devoir envers vous,c’est très regrettable,et surtout fort préjudiciable,mais s’en préoccupent-ils,nous en doutons fortement.
Nous avons également sollicité Monsieur Michel Delpuech,préfet le 27/11/2009 de la région Picardie,afin que ce dernier fasse pression sur les responsables et ensuite évoquer les responsabilités des uns et des autres.
Comme vous le savez,Monsieur le député attache une grande importance à un dénouement rapide de cette situation qui n’a que trop durer,aussi nous avons de nouveau intervenu auprès de Monsieur Leprétre responsable des formations par téléphone ce Lundi 20/12/2009,celui acquiesçant en nous promettant que dans dans les derniers jours de Décembre toute les dettes de salaire seraient réglées pour l’ensemble des stagiaires concernés.
Une autre intervention par téléphone auprès du directeur cabinet du préfet le 20/12/2009,afin de connaître l’état des investigations. Les promesses faites est qu’aucun stagiaire ne soient oublié.
Demain Mercredi 23/12/2009,Monsieur le député Maxime Gremetz,viendra au repas de Noél rue Riolland à Amiens à 12 heures,il mettra un point d’honneur à vérifier si chaque stagiaire est bien rémunéré.
Pardonnez nous notre léger retard à répondre,mais nous voulons vérifier exactement ou se situ chaque dossier.
Pour tout contact et renseignements n’hesitez pas l’ombre d’un instant
En espérant que vous passerez un éxéllent Noél et fête de fin d’année.
A votre service Fraternellement
PATRICK SELLIER
Courrier Picard- Mercredi 25 Novembre 2009
Après plus de deux mois de formation, 12 jeunes demandeurs d’emploi en fin d’études attendent toujours d’être rémunérés. Et cela ne manque pas de leur poser quelques difficultés au quotidien. Faute d’argent, certains ne peuvent plus, en effet, se rendre au centre des cadres sportifs de Creil où se situe l’antenne de leur organisme formateur, DL Synergie, dont le centre est implanté à Beauvais. « On nous promet un paiement rapide, mais on n’a toujours rien », déplore Fanny Quinier, 17 ans.
Débutée le 21 septembre dernier, cette formation en choix dynamique professionnel financée par le Conseil régional de Picardie devait leur permettre de découvrir un métier et de concrétiser un projet professionnel tout en étant rémunérés. De 130€ à 650€ selon les cas.
Seulement, depuis l’attribution pour l’exercice 2009-2010 à l’organisme Farogora Accor Services du marché de gestion de la rémunération des stagiaires et des subventions aux centres de formation, la machine s’est enrayée. Sur 13 stagiaires concernés, un seul a, jusqu’à présent, reçu son versement, la semaine dernière, au terme de nombreuses relances. Les autres n’ont d’autres choix que de prendre leur mal en patience, d’autant que le dialogue avec l’organisme payeur Foragora s’avère des plus difficiles.
« On a un mal de chien à communiquer avec eux, confirme le directeur de DL Synergie, Jean-Pierre Larobe. Ils avaient promis d’organiser des réunions d’information avec les centres, mais elles n’ont jamais eu lieu. Ils ne communiquent que par e-mail, même pas par courrier. Le problème, c’est que nous n’avons parfois pas connaissance des e-mails qui sont transmis comme des spams. »
Et en effet, Fonagora demeurait injoignable sur sa plateforme stagiaires, hier, malgré de nombreuses tentatives.
Voilà qui n’est pas très en accord avec la présentation de l’organisme dont l’« approche basée sur la notion de portail d’administration électronique », est-il indiqué sur le site d’Accor Services, est censé « amplifier les synergies avec l’ensemble des acteurs et garantir la fiabilité des informations échangées, la rapidité de la transmission, la simplification des procédures, le partage en temps réel de l’information et le suivi individualisé de chaque administré ».
D’ailleurs, la situation ne manque pas de gêner aux entournures du côté de la Région qui a récemment concédé début octobre une avance en urgence de 250€ par personne. Ses multiples interventions n’ont toujours pas abouti et, malgré les promesses de Foragora d’une issue rapide, 12 stagiaires attendent encore d’être rémunérés alors que commenceront bientôt leurs stages en entreprises, « une étape essentielle de leur formation », souligne Jean-Pierre Larobe. « Foragora a l’air de dire que ça va enfin se débloquer, mais on ne voit toujours rien venir, dénonce-t-il. Ce n’est pas satisfaisant comme réponse. »
Courrier Picard FRANCK BRENNER
Maxime GREMETZ
Député de la Somme
Président du groupe Communiste et Républicain
au Conseil Régional de Picardie
Monsieur Michel Delpuech
Préfet de Picardie
Préfet de la Somme
51 rue de la République
80 000 AMIENS
Amiens, le 27 novembre 2009
Objet : Foragora
Réf : AP/27112009
Monsieur le Préfet,
Vous n’êtes pas sans connaître les graves dysfonctionnements de la société Foragora, à l’encontre de ces stagiaires.
Ce prestataire de service du Conseil régional de Picardie, dont le siège social se situe 62 avenue de Saxe à Paris, filiale du géant Américain de l’hôtellerie Accor, ne respecte plus ses engagements de rémunérations envers ces stagiaires depuis septembre 2009.
Cette liberté prise par cette entreprise est un délit gravissime au regard du code du travail.
Il y a un mois, je sollicitais la gouvernance du Conseil régional, pour que cesse cette infamie, des engagements furent pris.
Quelle ne fut ma stupéfaction, d’apprendre qu’en définitif, rien ou presque rien n’est réglé, la méthode de compte goutte est utilisée.
Devant tant de désinvolture et d’incurie de la part de la présidence de la région, et du cynisme de la société Foragora, dédaignant éperdument les conséquences humaines de leurs actes, je m’autorise donc à requérir auprès de vous une intervention énergique avec comme seule consigne: un règlement rapide de la situation, mais aussi d’appliquer vis à vis de ces dirigeants d’entreprises qui se croient au dessus des lois, la tolérance zéro devrait donc être appliquée.
Devant ces méthodes de voyous, la puissance publique ne peut rester insensible au simple fait de quelques prétextes futiles que soit abandonner de la sorte les hommes et les femmes à une situation de non rémunération depuis 4 mois, avec toutes les conséquences que cela engendrent en pareils cas.
Je vous joins d’ailleurs l’intervention que je viens de faire auprès du Président de la région Picarde.
Espérant que vous comprendrez le sens de ma requête, je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, à l’expression de ma parfaite considération.
Maxime GREMETZ
Monsieur Claude GEWERC
Président Conseil régional de Picardie
Objet : Foragora
Monsieur le Président,
Le Conseil régional de Picardie, ne serait-il pas devenu le terrain de prédilection à toutes les structures privées à la recherche de manne financière, particulièrement juteuse et dépourvue totalement de toute considération de vertu?
Lors de la commission permanente des 13 mars 2009, vous avez passé une convention avec le groupe Accor pour la gestion de la rémunération et de la protection sociale des stagiaires inscrits sur le programme régional de formation.
Ce choix politique d’externaliser vos prérogatives en matière de formation à des organismes privés vous engagent complètement en termes de suivi sur le sérieux des prestataires de services d’une part, et d’autre part, vous vous devez être totalement solidaire en cas de défaillance démontrée.
Aujourd’hui, que constatons nous?
1°) Depuis 4 mois, cette organisme ne respecte pas ses engagements en matière de rémunération des stagiaires, c’est tout à fait hallucinant.
2°) Maître d’ouvrage, vous n’avez rien organisé de suffisamment sérieux pour palier à la défaillance de ce prestataire, peu scrupuleux et dénué de tous sens de discernement.
De cette inconséquence, il en ressort que bon nombre de stagiaires, sont privés de toutes ressources financières, par conséquent leurs situations rendues épouvantables à cause de cette inertie a pris au fil des jours une situation toujours plus dramatique.
L’ignorez-vous?
L’espoir que pouvait susciter, pour ces hommes et ces femmes à travers ces formations, d’un avenir un peu moins sombre, se révèle, en fait, être une abominable méprise financière et un nouveau feuilleton cauchemardesque.
Dans l’Aisne le 2 octobre 2009, un homme a même tenté de mettre fin à ces jours, ne pouvant plus subvenir à ses besoins, des dettes de loyers et des agios bancaires s’accumulent.
Pendant ce temps là, votre gouvernance rivalise de déclarations hasardeuses, et de promesses non tenues avec les dirigeants de cette entreprise.
Chacun se rejetant les responsabilités, et vous vous transformez en semeurs de misère.
Lors de ma récente intervention, des engagements furent pris, je constate avec stupéfaction et irritation, que rien n’est réglé.
Très tranquillement, je vous le dis, ce qui se passe est totalement incompatible avec les valeurs que chaque élu de gauche se doit d’accomplir durant sa mission.
Foragora, ce prestataire de service, présent dans bon nombre de régions (Pas de Calais, Charente-Poitou, PACA, etc.…) spécialisé dans les prestations de services, dispose d’un marché avec la Picardie de 30 millions d’euros, et avec un gain non négligeable de 0,8 millions d’euros.
De plus comme vous le savez, Foragora n’est qu’une filiale du groupe Américain hôtelier Accor.
Ce géant de l’hôtellerie le plus puissant au monde pèse plus de 3,7 milliards d’euros en 2008, et un résultat financier de 196 millions d’euros.
714 millions d’euros de dividendes furent versés en 2008, contre 678 millions d’euros, pour l’exercice 2007.
Les hôtelleries haut de gamme (Sofitel, Pulman, Novotel, Mercure, Suite, Adagio).
Les hôtelleries économiques (Ibis, Cell, Dop hotel, hôtel F1, hôtel formule 1).
Les tickets restaurants qui pèsent 459 millions d’euros et qui rapportent 195 millions d’euros.
Solennellement, il vous faut sans tarder intervenir aux plus hautes instances dirigeantes de ce groupe pour:
1°) Que cesse cette mascarade grotesque.
2°) Que toutes les rémunérations soient payées au plus tard dans les premiers jours de Décembre 2009.
3°) Que l’ensemble les frais bancaires qu’ont du subir ces hommes et ces femmes soient intégralement pris en charge.
4°) Que vous délivrez sans tarder à chaque personne concernée par des arrêts bancaires un certificat de non responsabilité.
5°) Dénoncer sans tarder la convention du 13 mars 2009 et demander des dommages et intérêts.
En espérant avoir été suffisamment persuasif, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l’expression de mes sincères salutations.
Maxime GREMETZ
Maxime GREMETZ
Député de la Somme
Président du groupe Communiste et Républicain
au Conseil Régional de Picardie
Monsieur Didier Besonhez
Délégué CGT de l’entreprise Tergal
Rue Jules Vercruysse
02430 Gauchy
Amiens, le 25 novembre 2009
Objet : réponse de Monsieur Estrosi
Réf : AP/25112009
Cher camarade,
Le 6 octobre 2009, je t’écrivais pour t’informer mais surtout te communiquer le contenu
de mes deux interventions que j’ai faites, l’une auprès de Madame Lagarde, alors Ministre de
l’industrie le 24 février 2009 et l’autre le 6 octobre 2009, à l’attention de Monsieur Christian
Estrosi, Ministre de l’industrie.
Je viens de réceptionner la réponse du Ministre, je te la transmets.
Sa façon de concevoir la situation qui vous est imposée me parait pour le moins très
circonstanciée. De plus, je ne suis pas convaincu de la réalité des réponses retranscrites et du
sérieux dans l’ouvrage de l’administration judiciaire.
C’est une des raisons pour lesquelles, je souhaiterais, si toutefois tu n’y vois pas
d’inconvénient, de me faire parvenir tes observations sur cette réponse.
Par conséquent, je te propose par souci d’efficacité et de réactivité de correspondre avec
mon collaborateur sur le secteur industriel et sur l’emploi picard, Patrick Sellier au
06.75.66.19.98 ou par courriel à patricksellier2344@neuf.
En faisant en sorte de ne jamais perdre espoir, et restant bien évidemment à ta disposition
pour toutes actions ou questions qui peuvent te paraître opportunes, je voudrais dans ces
moments particulièrement horribles te transmettre toute ma solidarité et mon entière
détermination pour que nous puissions envers et contre tous vaincre l’adversité.
Fraternellement.
Maxime GREMETZ
Même pas peur : Face à la droite, venez soutenir Maxime Gremetz…Nous n’avons pas les mêmes valeurs et le même projet pour la Picardie……
Colère et Espoir
Liste de large rassemblement à l’initiative des communistes, ouverte aux acteurs des luttes.
CONVERGENCES DANS LES LUTTES ET DANS LES ELECTIONS POUR UNE AUTRE POLITIQUE!
Par millions, les salariés résistent et se battent contre la politique du pouvoir au service du patronat, ces luttes ouvrent de nouvelles perspectives politiques
Dans des secteurs cruciaux pour le pays, les luttes pointent et accusent directement la politique du gouvernement SARKOZY et de l’UMP de X BERTRAND, leur choix de livrer toujours plus notre pays à l’appétit de la finance mondiale.
D’un côté, ils organisent la faillite de l’Etat, de la Sécurité sociale, des services publics à coup de dizaines de milliards de cadeaux au patronat et au plus riches. De l’autre côté ils endettent la nation de 150 milliards d’euros (budget 2010) et l’enchaînent aux marchés financiers.
Pour le plus grand nombre des salariés, des retraités, cette politique est synonyme de nouveaux sacrifices : 50.000 chômeurs de plus par mois depuis le début de l’année, des salaires réels en baisse, un accès toujours plus difficile et plus cher aux services publics, l’angoisse pour l’avenir
Notre région est lourdement touchée par cette politique. Le bassin de l’emploi de Saint-Quentin avec 14,8% de chômeurs est au 5ème rang sur 348 bassins d’emploi. Triste record !
Les mêmes qui cassent chaque jour les acquis sociaux et démocratiques nationaux essaient de détourner l’attention en agitant le fantasme de « l’identité nationale » menacée. La vie politique se concentre lamentablement sur des rivalités de personnes, à gauche comme à droite, et sur des combinaisons politiciennes pour les élections de 2012 en passant par les régionales.
D’autre part, nous réaffirmons qu’aucune rupture politique n’est possible en restant à la remorque du Parti Socialiste dans les institutions, nationalement comme régionalement.
Ce constat, confirmé par la ratification du Traité de Lisbonne en 2008 du Parti Socialiste mélant ses voix à celles de l’UMP, demeure. Ses orientations ne portent pas de rupture sur le fond avec la politique au service du patronat et du Capital. Son absence d’opposition (plan d’aide aux banques, loi Bachelot, loi LRU…) ou son opposition tronquée (acceptation des directives européennes sur la concurrence « libre et non faussée » entrainant par exemple la privatisation d’EDF ou bientôt de la Poste) aux contre-réformes les plus graves du gouvernement le montrent.
Autre constat: les vingt régions de «gauche» n’ont pas constitué depuis 2004 un point d’appui pour s’opposer à la politique du pouvoir, ni au plan national, ni même au plan régional. Au contraire, globalement, elles ont accompagné, dans leurs domaines de compétence la marchandisation des transports, la «régionalisation» des personnels techniques des lycées,la mise en place de la TIPP. L’accord régional de 2004 conclu lors de la fusion des listes de PS – PCF en Picardie comme ailleurs n’a pas été respecté.
Pour nous communistes, c’est clair : C’est dans les luttes, dans leurs convergences que se situent la perspective politique immédiate de rupture avec la politique qui ruine le pays.Salariés,usagers, citoyens:Rassemblons-nous !
Utilisons ces élections régionales pour ouvrir une nouvelle perspective, avec un projet audacieux pour la Picardie en rupture complète avec la politique au service du Capital. Si tous ensemble nous le décidons et agissons, nous pouvons gagner !
Lutte, Colère et Espoir,
C’est l’esprit du rassemblement que nous voulons créer à l’occasion de la bataille des régionales,pour les Picards.
Jacques TOURTAUX dédicacera ses livres sur l’Histoire Sociale de la Classe Ouvrière
» GUERRE D’ALGERIE
SOUVENIRS D’UN APPELE ANTICOLONIALISTE »
Avant-Propos d’Henri ALLEG, l’auteur de La Question
» LE CHEMIN DE L’HONNEUR D’UN TRAVAILLEUR DU RAIL »
» LES APPARATCHIKS »
» GUERRE D’ALGERIE
L’ENFANT DE LA MISERE
L’ETAT COLONIAL ET SA JUSTICE DE CLASSE »
Pour tous renseignements : Tel : 03.26.40.62.15.
Mail : jacques.tourtaux@orange.fr
A Creil, les 69 travailleurs sans-papiers en lutte pour leur régularisation occupent toujours les agences d’intérim de la Tour Europe. Ils se réunissent chaque jour et décident démocratiquement de leur lutte en analysant la situation, en prenant connaissance des déclarations des autorités, en appréciant que leur mouvement marque des points dans l’opinion avec incontestablement une popularité grandissante. Je leur ai rendu visite de nouveau ce jeudi soir entre 20h30 et 22 heures avec Habib Abba-Sidick et Djamel Benkherouf respectivement maires-adjoints de Creil et de Nogent-sur-Oise. Leur moral est excellent et ils bénéficient du soutien et de la solidarité matérielle de la population. Chacun explique sa situation, fiches de paie à l’appui, des années de travail, surexploités, obligés d’emprunter des alias pour pouvoir travailler, cotisant à la sécurité sociale, payant leurs impôts mais ne bénéficiant pas de protection sociale et surtout ne possédant pas de papiers réguliers leur permettant de vivre normalement. Ils parlent de leur vie, une vie dure, dans des conditions de travail souvent éprouvantes, des heures de travail cumulées en dehors de tout respect de la législation, des chantiers dangereux, mais aussi de l’expérience qu’ils ont acquise et que les sociétés du bâtiment et de travaux publics en particulier utilisent pour leur plus grand profit. Une expérience qu’ils comptent faire valoir, certains expliquant que sur certains chantiers eux seuls savent les ficelles du métier et que c’est aussi pour cela que les patrons ont besoin d’eux. Ils représentent une partie de la classe ouvrière et ils en ont conscience, ils savent que leur lutte est au coeur d’un système qui révèle de jour en jour la nature de l’exploitation. Leur conscience de classe est magnifique de détermination, leur lutte est exemplaire. Leur action permet à chacun de mieux comprendre l’inhumanité de ce système capitaliste et l’urgente nécessité pour les travailleurs de s’unir, de se rassembler pour construire la nouvelle société que notre époque exige, celle fondée sur un travail libéré de la domination du capital.
Jean-Paul LEGRAND
Maire-Adjoint de Creil
Citons parmi les projets soutenus par Maxime Gremetz,le 3ème aéroport international en Picardie, le canal seine nord et en lien avec celui-ci l’étude d’un port fluvial à Creil, projet local initié par les élus communistes de Creil et soutenu par un nombre croissant de citoyens, avec le concours de la municiplaité de Creil qui a décidé de lancer une étude de faisabilité.
Comment prendre les adherents pour des cons :
Communiqué
Les communistes picards soutiennent massivement les propositions de la Conférence régionale du PCF :
travailler à la constitution d’une liste de Front de gauche élargie au 1er tour des régionales.
Les résultats de la consultation des communistes picards les 19, 20 et 21 novembre marquent un soutien massif aux orientations de la Conférence régionale du Parti communiste français qui s’était tenue le samedi 14 novembre dernier à Longueau : « travailler à la constitution d’une liste Front de Gauche de large rassemblement au ler tour qui, à partir mais bien au-delà des trois forces qui se sont rassemblées à l’élection européenne (PCF, Parti de Gauche, Gauche Unitaire) permettrait de réunir tous ceux qui se reconnaissent dans cette démarche.
Cette liste pourrait s’ouvrir à des forces nouvelles à condition que celles-ci se reconnaissent dans les objectifs, le projet, la démarche, la stratégie définis par le Front de Gauche et en son sein par les adhérents du PCF et faire une large place à toutes les femmes et tous les hommes, citoyens, militants du mouvement social, élus locaux qui dans leur diversité partagent l’urgence de cette démarche de clarté et de rassemblement. En ouvrant un autre choix à gauche que celui porté par le PS ou Europe-Ecologie, cette liste vise à lever une dynamique de rassemblement et de victoire à gauche sur des choix clairs.»
Ø En effet, sur 1424 inscrits (à jour de leur cotisation au PCF), 868 adhérents-cotisants ont voté soit 60,96%* : sur 822 bulletins exprimés (46 bulletins étaient blancs ou nuls), 748 votes soit 91% ont soutenu la proposition de la Conférence régionale. 48 votes soit 5,84% se sont portés sur la proposition de rejoindre la liste conduite par M. Gremetz et 26 votes soit 3,16% ont soutenu la proposition de participer à une liste d’union dès le 1er tour avec le PS.
Ø Par ailleurs, la proposition de la Conférence régionale que je conduise cette liste sur le plan régional est aussi très largement ratifiée par les communistes par 738 votes, 22 votes indiquant le nom de M. Gremetz et 2 celui de JP Bosino qui n’était pas candidat.
Ces décisions très majoritaires des communistes picards engagent maintenant l’ensemble des militants et des élus communistes de Picardie qui vont se mobiliser pour leur mise en œuvre.
Ce choix clair des communistes picards rejoignant celui effectué par la grande majorité des communistes en France en faveur de listes de Front de gauche au 1er tour des prochaines régionales, donne cohérence et visibilité à cette démarche qui répond aux attentes de beaucoup de femmes et d’hommes de gauche et de tous ceux qui veulent construire une véritable alternative à la Droite, aux politiques libérales et au capitalisme en crise.
Avec les autres forces constitutives du Front de gauche lors des Européennes, le Parti de gauche et la Gauche unitaire, nous nous adressons largement à toutes celles et tous ceux qui, en accord avec notre démarche, veulent bâtir un large rassemblement, une dynamique unitaire, sur la base d’un projet porteur des préoccupations et des aspirations des picards.
Face à la politique de l’UMP – représentée par Mme Cayeux – dont le bilan économique et social et les projets de démantèlement des collectivités locales et des services publics sont désastreux pour les picards et la Picardie, notre ambition est de contribuer à renforcer le rôle de notre Région comme pôle de résistance aux politiques gouvernementales et du Medef et à faire avancer avec les citoyens des solutions progressistes aux besoins sociaux, écologiques et démocratiques.
C’est pourquoi nous avons la volonté de construire notre liste, notre projet, notre campagne en lien étroit avec toutes celles et tous ceux, syndicalistes, militants associatifs, élus qui luttent, résistent, agissent dans notre Région pour faire avancer une Picardie bien ancrée à gauche, mettant en valeur tous ses atouts afin que toutes celles et tous ceux qui le souhaitent puissent y vivre dignement, y travailler, y étudier, s’y épanouir.
Thierry AURY
Secrétaire du Comité régional de Picardie du PCF
Beauvais, le 21 novembre 2009
* Ce pourcentage est comparable à celui de la consultation pour le Congrès du PCF en 2008 bien que des dysfonctionnements importants du service postal aient empêché un nombre sensible de votes (notamment dans le département de l’Aisne où de nombreuses « carte T » n’ont pas été acheminées par La Poste dans les délais) d’être recensés lors du dépouillement prévu le samedi 21 novembre. Un dépouillement complémentaire de ces votes sera effectué en début de semaine afin de donner une image réelle de la participation.
Déclaration du 20/11/09
Nous ne cautionnerons pas la manipulation de nos adhérents par les Directions du Parti.
POURQUOI LA SECTION DE SAINT-QUENTIN N’ORGANISERA PAS DE CONSULTATION LES 19/20 et 21 NOVEMBRE ?…
1° Attachés au principe de souveraineté des adhérents,au respect de la démocratie et des statuts; aprés avoir débattu avec de nombreux Camarades du Saint-Quentinois,nous ne pouvons admettre que l’on puisse laisser plus de 400 Communistes de la Somme dont Maxime Gremetz sur le carreau malgré les demandes faites à plusieurs reprises par des Camarades notamment Corinne Bécourt au Comité National. Les dés sont pipés d’avance!!!
2° Malgré les demandes au Comité Départemental,tous les Communistes n’ont pas eu les infos nécéssaires pour mener à bien le débat de façon démocratique.L’intervention d’un membre du CN n’a pas été transmise à l’ensemble des adhérents comme nos l’avions demandé au CD;
3° Concernant la Conférence Régionale:
98 délégués réunis pour la Picardie,1 délégués pour 35 adhérents et 5 par CD soit prés de 3000 adhérents en Picardie en 2009…TROP FORT…
Les chiffres officiels de la dernière consultation (mis à part les européennes,où tout etait possible de faire pour voter)…celle du congrés,octobre 2008: 1552 adhérents etaient déclarés. Dans l’Aisne et l’Oise on double et dans la Somme on triple???
4° Pour cette consultation:notre liste d’émargement est arrivé dans la boite aux lettres de la Section le 19 novembre:
CONSTAT:Saint-Quentin: 70 adhérents; il y a dix jours,réception de la liste d’adhérents par mail:273 Camarades inscrits?… Cherchez l’erreur!!
D’autre part aucun matériel supplémentaire ne nous a été remis pour le déroulement du vote,alors que nous l’avions demandé(enveloppes…etc)
Dans le journal départemental,infos pour toutes les Sections pour les permanences et modalités du vote sauf Saint-Quentin.
A croire que le vote des Communistes de cette Section dérange ?
Enfin,pour le bulletin de vote,il ne s’agit pas de la « Section de Saint-Quentin »,mais bel et bien d’une proposition faite par des Camarades à la Conférence Régionale du 14 novembre; de plus, certains adhérents n’ont pas eu l’intégrité des textes notamment le texte alternatif pour une liste de large rassemblement des Communistes conduite par Maxime Gremetz.
Compte tenu de tous ces éléments,vous comprendrez que notre Section ne se reconnaisse pas dans cette mascarade de consultation,antidémocratique ..
BIEN ENTENDU,NOUS LAISSONS LE LIBRE CHOIX A CHAQUE ADHERENT DE VOTER PAR CORRESPONDANCE S’IL LE SOUHAITE.
C’EST CA AUSSI LA DEMOCRATIE !!!
Pour la Section de Saint-Quentin,
Jean-luc TOURNAY,secrétaire de la Section,Conseiller Régional
Corinne BECOURT,membre du bureau et membre du Comité National
Olivier TOURNAY,membre du bureau,Conseiller Municipal
Georges VARENNE,Serge CASIER,membre du bureau et de nombreux Camarades…
Dimanche 29 novembre 2009 à ETROEUNGT (59)
AURA LIEU LA 13ème JOURNEE DU LIVRE REGIONAL
Je dédicacerai mes livres sur l’Histoire Sociale de la Classe Ouvrière
» GUERRE D’ALGERIE
SOUVENIRS D’UN APPELE ANTICOLONIALISTE «
Avant-Propos d’Henri ALLEG, l’auteur de La Question
» LE CHEMIN DE L’HONNEUR D’UN TRAVAILLEUR DU RAIL »
» LES APPARATCHIKS »
» GUERRE D’ALGERIE
L’ENFANT DE LA MISERE
L’ETAT COLONIAL ET SA JUSTICE DE CLASSE »
Pour tous renseignements : Tel : 03.26.40.62.15.
Mail : jacques.tourtaux@orange.fr
Ma petite entreprise ne connaît pas la crise !
Les Picardes et les Picards tant en 2008 qu’en 2009 ont subit la crise de plein fouet : fermetures d’entreprises, délocalisations, chômage, endettement, maladie, etc. n’ont eues de cesse de progresser dans notre Région.
Pour autant, certains ont continué de dépenser sans compter, le rapport de la chambre régionale des comptes de Picardie, la lettre du vice président Arnaud CARON, le fait pour le président C. GEWERC de ne pas vouloir débattre et proposer au vote un budget pour 2010 ne viendra pas nous contredire.
Encore un exemple des dépenses qui auraient pu être évitées, nous allons siéger en session du conseil Régional de Picardie le vendredi 27 novembre 2009. Dans les quelques dossiers, nous seront amenés à prendre ACTE du rapport n°0202-08-1 dit « Article 28 » !
Cela concerne l’information relative aux marchés (inférieur à 206 000 € HT) passés par le Président du Conseil régional de Picardie, au cours de l’année 2008.
Depuis des années, le groupe Communiste et Républicain dénonce l’utilisation de l’argent public qui est faite pour les cigares, les grosses voitures, les frais de réceptions exorbitants, les déjeuners dits « de travail », les frais de carburant, etc.
Comment ne pas être écoeurés alors que nous avons en tant qu’élu-e-s des indemnités pour nous dédommager des frais inhérents au bon déroulement de notre mandat, de voir 51 000 euros soit plus de 334 000 francs, être dépensés en déjeuners dits « de travail » dans les restaurants (environ 90% des dépenses sont dans les restaurants d’Amiens), alors qu’il existe une restauration (gratuite) au Carré de la République (qui a été achetée 1 million d’euros) à Amiens.
Nous n’y avons jamais mis les pieds, nous nous payons nos repas et nos boissons….
Comment le vice président (vert) en charge des finances, peut-il faire un courrier pour alerter sa majorité des problèmes financiers de la Région et vouloir malgré la crise en Picardie, imposer le 27/11/09 en session de faire voter la TIPP régionale 2010 (Taxe intérieure sur les Produits Pétroliers), (ils ont inventé la Taxe Carbone avant SARKOZY) au plafond, alors que les ouvriers de notre région font le plus grand nombre de kilomètres entre le domicile et le lieu de travail des régions de France récupérant ainsi plus de 20 millions d’euros et dans le même temps accepter que nous puissions dépenser avec les véhicules de la Région plus de 185 000 euros (environ 1 213 000 francs) en carburant pour la seule année 2008 !
Les Picardes et des Picards ne peuvent pour certains acheter un véhicule, la Région en achète pour 129 875 € en 2008!
Nous ne calculons même pas l’explosion du budget sur la communication, pour ne pas dire « la sur-communication » !
La fin du mandat, aura été laborieuse pour cette majorité, il faudrait penser à redescendre sur terre…….ce qui ne sera pas facile, vu qu’ils ont acheté une montgolfière en 2008 pour 80 267 €, l’altitude, le manque d’oxygène explique peut-être ce comportement désinvolte de la gestion des deniers publics ?
Nous dénonçons encore et nous le ferons à chaque fois que nécessaire car nous ne pouvons tolérer ce train de vie princier, alors que les Picardes et les Picards souffrent !
Jean-Luc BELPAUME
Député suppléant
Conseiller Régional de Picardie
Avec 200 personnes présentes, la salle du cinéma théâtre était trop petite mardi soir au point que de nombreuses personnes ont suivi debout le premier grand débat de la campagne des élections régionales. D’un côté le député communiste, Maxime Gremetz et de l’autre Caroline Cayeux, maire de Beauvais.
Le public a été passionné par ce débat qui a abordé les grandes questions qui touchent à la vie des Picards que ce soient sur les grands projets comme le 3ème aéroport ou le canal seine-nord, les subventions publiques aux multinationales, le développement économique et l’emploi, la formation, ou encore l’état des finances de la région après les révélations de la cour des comptes. Le débat a été non seulement franc et courtois, mais l’on a pu assister à un échange sérieux et argumenté animé par des journalistes du Courrier Picard et de Oise-Hebdo. On a même vu un Maxime Gremetz en pleine forme parler des grands hommes de la terre Picarde faire remarquer à Madame Cayeux que contrairement à ce qu’elle pensait Jules Verne n’était pas natif de Picardie ou encore non sans malice les deux adversaires échanger brièvement quelques mots en Picard. La salle a été conquise par cette forme de débat comme il en existait autrefois les participants applaudissant à tout rompre tour à tour la chef de file de l’UMP ou le député communiste. Un vrai débat démocratique où chacun a pu exposer ses arguments afin que les citoyens se fassent leur propre opinion. Sur le coup des 23h30, Maxime Gremetz s’est ensuite rendu accompagné de Jean-Paul Legrand, Fadhila Kezzoul, Habib Abba-Sidick, Habib Kchok tous les quatre maires-adjoints de Creil et Djamel Benkherouf, maire-adjoint de Nogent sur Oise dans les locaux de l’agence d’intérim occupée par les travailleurs sans papier. Le député a été très chaleureusement reçu et a apporté son total soutien à ces travailleurs pour qu’on leur délivre des papiers. A défaut de vrais papiers, le député leur a remis symboliquement une copie de sa carte de député. Il leur a offert également une copie du manuscrit de « La Marseillaise » de Rouget de l’Isle. Toute l’assemblée composée d’une soixantaine de travailleurs et les élus a entonné la Marseillaise sous les applaudissements fraternels et dans une ambiance extrêmement chaleureuse traduisant la solidarité active avec la juste lutte de ces travailleurs surexploités pour obtenir enfin leur régularisation. Formidable moment d’espoir et de dignité !
Vu sur le blog de notre camarade Jean-Paul LEGRAND
Il n’y a pas d’un côté un « bon » capitalisme, « productif dans l’économie réelle », et un «mauvais » capitalisme financier sujet à des «dérives ». Non ! Il n’y a qu’un seul capitalisme qui par définition recherche à tirer de l’exploitation du travail un profit maximal, forcément financier (dividendes, de rachat d’actions…) pour les possédants. Il est nécessaire de le rappeler !
Dans la période actuelle, en France, cette quête de profits passe par la destruction de pans entiers de la production industrielle, la suppression de centaines de milliers d’emplois, l’intensification de l’exploitation des salariés restant en activité.
La « crise », la propre crise du capitalisme lui-même, sert à la fois de prétexte et d’instrument au Medef, aux grandes entreprises « françaises » pour l’accélération du processus. Ils l’ont préparée depuis des années à coup de restructurations, d’éclatement des grandes unités de production, d’externalisations, de développement de la sous-traitance, de débuts de délocalisation.
Aujourd’hui les conséquences sont extrêmement graves pour le pays, dramatiques pour les salariés. 15% de l’emploi industriel a été détruit pendant que le chômage partiel, la précarité et la « flexibilité »ont encore été accrus. Ce qui n’empêche pas les profits des entreprises industrielles de se porter toujours bien en attendant, eux, des jours encore meilleurs: 35 milliards d’euros pour celles du CAC 40 sur les six premiers mois de 2009.
Pilier fondamental de l’économie, dans un grand pays développé, l’industrie en France ne répond plus globalement à la demande en France (encore moins aux besoins réels de développement et de consommation non satisfaits).
L’exemple emblématique de ce recul est le secteur automobile, dans un des rares pays du monde disposant de la maîtrise de toute la filière. En 2004, cette industrie dégageait un solde commercial positif de 13 milliards d’euros. En 2008, pour la première fois depuis la guerre, le solde commercial est devenu négatif de 2,9 milliards d’euros. Pour le seul premier semestre de 2009, le trou atteint déjà 2,6 milliards d’euros. La responsabilité principale est à chercher dans la stratégie de PSA et de Renault, puissamment aidés par l’Etat, de favoriser la délocalisation de leurs sous-traitants et de leurs propres productions, grâce à l’UE, dans les pays à bas coûts de production.
Dans de nombreux secteurs, la destruction de l’outil industriel risque de conduire rapidement à une
perte de potentiel et de savoir-faire lourde à remonter.
L’insistante campagne idéologique pour convaincre les travailleurs que la France n’aurait plus vocation à produire des biens de base mais devrait se diriger uniquement vers la haute-technologie est battue en brèche par les faits : le recul dans tous les secteurs dans le cadre d’une concurrence tout aussi vive.
La défense de l’industrie en France, dans toutes les branches, de l’emploi industriel est une priorité nationale. Il faudrait être naïf pour compter sur le pouvoir au service du Medef pour la mener.
Au sujet de l’industrie, Sarkozy est le roi de l’esbroufe. Les métallurgistes de Gandrange en savent quelque chose. Sa politique se situe strictement dans la continuité et l’aggravation de celle de ses prédécesseurs. Elle s’inscrit entièrement dans l’encouragement des délocalisations, de la mise en concurrence généralisée des travailleurs, que portent l’UE, le Traité de Lisbonne, l’OMC (dirigée par le PS, Lamy…).
Dans ce cadre, au nom de la « compétitivité », le pouvoir continue à distribuer toujours plus d’aides au patronat, aux dépens des dépenses publiques et sociales, de la consommation populaire, pourtant moteur d’une croissance saine. Aux 90 milliards d’euros par an issus des cadeaux précédents, il se permet d’ajouter 12 milliards d’euros avec la suppression de la taxe professionnelles dans le budget 2010. Ces « aides » se retrouvent, même celles qui transitent par les PME, dans les profits des grands groupes. Pourtant, comme l’admet même la Cour des comptes, les exonérations de cotisations sociales patronales n’ont aucun effet perceptible sur l’emploi… mais plombent la Sécurité sociale.
Cette logique de la concurrence et du moins disant social touche la commande publique de l’Etat comme des régions. Ainsi l’Ile-de-France a choisi en 2006 le groupe canadien Bombardier, dont la production en France est minime, plutôt qu’Alstom pour le « marché du siècle » de 4 milliards d’euros du renouvellement des trains de banlieue.
En termes de politique de formation et de recherche, les effets d’annonce cachent de nouveaux cadeaux financiers sans objectifs précis ni contrôle avec les « pôles de compétitivité » ou la remise en cause des bacs professionnels.
Depuis la « crise », les interventions du gouvernement, au volontarisme certes bien mis en scène, sont toujours rentrées dans le jeu du patronat, par exemple en refusant d’imposer un repreneur réel pour Molex ou Continental.
A quoi servent les 6,5 milliards de prêts à taux avantageux pour les constructeurs automobiles ?
Qu’attendre maintenant des « états généraux de l’industrie » de Sarkozy sinon le piège, la tentative d’intégrer les salariés et leurs organisations syndicales à la cogestion de la crise, à la recherche d’un « moindre mal » qui légitime l’ensemble d’une politique d’accompagnement de la casse progressive de l’industrie et de recul social ?
A cette logique, depuis des mois, des mouvements de lutte hautement responsables, malgré la détresse des salariés, menés avec les organisations syndicales, se développent et opposent une perspective de résistance.
Les salariés de la SBFM dans le Morbihan ont réussi à créer le rapport de force pour obliger Renault, leur donneur d’ordre à assumer ses responsabilités. A Marseille, la mobilisation se construit contre l’abandon des chantiers de réparation navale. Les Molex à Villemur-sur-Tarn, par leur long mouvement, ont fait la démonstration de la stratégie destructrice de leur patron et de la complicité du gouvernement. Etc…
Ces luttes, ce potentiel de résistance rejoint les mobilisations des agents des services publics.
Le lien est direct. Les services publics sont une condition du développement industriel. SNCF, RATP, EDF, GDF, Poste, France Telecom, fonction publique : d’importantes possibilités de convergences de lutte avec les salariés de l’industrie existent dans les semaines qui viennent. Notamment pour imposer d’autres choix en faveur de l’industrie !
Le refus de la logique du dumping social :
Pour la hausse du SMIC à 1600 euros net et le rétablissement dune échelle mobile des salaires.
- Pour l’indemnisation à 100% du chômage partiel.
Pour la suppression des avantages fiscaux et « sociaux » aux heures supplémentaires.
Remise en cause de toutes les aides publiques aux entreprises :
- Extinction de toutes les exonérations de cotisations sociales patronales (32 milliards d’euros pour 2009).
- Pas d’aide en nature sans contrepartie, contrôle et réversibilité.
Remplacement de la taxe professionnelle par un dispositif équivalent pesant sur la plus-value des entreprises.
Développement de la recherche et de la formation sous tutelle publique.
Des droits nouveaux pour les salariés et la collectivité :
- Nous faisons nôtre les propositions de la CGT d’attribuer aux CE un droit de veto suspensif sur les plans de licenciements et de restructuration.
- De constituer des comités interentreprises entre sous-traitants et donneurs d’ordres.
- Le maintien et le développement des filières industrielles, répondant aux potentiel et aux besoins du pays, ne peut pas se faire sans l’intervention démocratique des salariés et de la collectivité.
Nous nous prononçons pour la (re)nationalisation d’entreprises industrielles centrales, dans des secteurs clefs, comme l’automobile, les chantiers navals, la métallurgie, l’aéronautique…
Le gouvernement est prêt à prendre des participations pour renflouer le capital mais pas à laisser à la collectivité des moyens d’action sur la stratégie de développement industriel.
Une véritable politique industrielle implique enfin le refus de l’application de nombre de directives européennes de délocalisation et de mise en concurrence des travailleurs et l’essor d’une logique de coopérations entre pays d’Europe et d’ailleurs.
Après la Charte consensuelle de la Ville pour mieux vivre ensemble, la Charte décalée et gratinée de la rédaction du Courrier picard. En trente articles, nos espoirs pour une vie meilleure dans la Cité. Nos lecteurs sont invités à réagir.
Tous ensemble, et sans tousser sur le prix (220 000 €), nous vénérerons la statue de Maurice Quentin de La Tour place de l’hôtel de Ville et nous nous abstiendrons de dérober son pastel.
Tous ensemble, nous nous engageons à toujours sourire aux caméras de vidéoprotection-vidéosurveillance qui veilleront au quotidien à notre sécurité.
Tous ensemble, nous testerons les suspensions de notre VTT place de la gare, bien plus adaptée à la pratique du vélo avec ses bosses et dénivelés qu’un terrain boueux dans les bois d’Holnon.
Tous ensemble, nous effectuerons nos achats dans les derniers magasins du centre ville et admirerons les vitrines vides de la rue d’Isle comme preuve que le commerce, ça s’en va et peut être, peut-être, ça revient.
Tous ensemble, nous éviterons joyeusement, sur les trottoirs, les déjections de nos amis les chiens qui eux aussi ont le droit de vivre en harmonie dans une ville qui leur sourit.
Tous ensemble, nous remplirons le chèque de nos impôts locaux en nous disant, tel Charlie Oleg derrière son orgue à Tournez manège, « c’est formidable ».
Tous ensemble, nous irons, avec lenteur, aux buffets dressés pour les cérémonies officielles et avalerons nos bouchées de manière raffinée comme il sied en cette occasion.
Tous ensemble, nous répéterons, sans souffler, à nos amis que non, Saint-Quentin n’est pas dans les Yvelines mais en Picardie, entre Lille et Paris.
Tous ensemble, nous affirmerons que Quentin de La Tour est vraiment un immense peintre et qu’il mériterait au Louvre plus que le petit emplacement qui lui est réservé.
Tous ensemble, nous irons faire notre marché le samedi, sans se plaindre des prix, ni oublier de serrer la main de Xavier Bertrand, forcément présent.
Tous ensemble, nous retrousserons nos manches, pelle et pioche à la main, pour aller terminer nous-mêmes les travaux de la place de l’hôtel de ville et des rues attenantes.
Tous ensemble, nous irons soutenir les équipes sportives de la ville, volley, basket et foot, tant il est vrai qu’elles ont besoin de supporters.
Tous ensemble, nous danserons sur la place de l’hôtel de ville, le jour où le carillon jouera Billie Jean de Michael Jackson.
Tous ensemble, nous mettrons sur le dos de la crise et seulement sur le sien, le taux de chômage de 13,7 % du bassin saint-quentinois, tant il est vrai qu’avoir eu comme maire adjoint, un ministre du Travail, ça ne résout pas tout ma bonne dame.
Tous ensemble, nous chanterons un slam quand nous aurons un procès-verbal sur le pare-brise de notre véhicule, placé là par la police municipale. Si c’est mis, c’est que c’est justifié. En vers et contre tous…
Tous ensemble, nous réclamerons à la Sécurité sociale le remboursement à 100 % du parking payant de l’hôpital.
Tous ensemble, nous préserverons les friches industrielles pour les archéologues du futur.
Tous ensemble, nous irons lire la plaque sous la statue de la place du 8 octobre pour enfin cesser de répondre « je ne sais pas » quand on nous demande ce qu’elle fait là cette statue.
Tous ensemble, nous réclamerons la fin de la fuite des cerveaux étudiants à Amiens, Lille, Paris ou autres, et pour cela, demanderons la création d’une faculté spéciale avec des cours magistraux de rigolothérapie tant il est vrai qu’on a des spécialistes à Saint-Quentin.
Tous ensemble, nous n’oublierons pas de profiter du parc d’Isle, peut-être le seul vrai trésor de Saint-Quentin. Et nous en profiterons pour utiliser, plus de deux minutes, ces affreux engins posés là pour faire du sport et qui ne servent qu’à faire rire les enfants.
Tous ensemble, nous aguicherons les entreprises, ferons les yeux doux aux patrons, pour espérer voir fleurir les boîtes de toutes sortes au parc des autoroutes et autres zones industrielles.
Tous ensemble sur la plage de l’hôtel de ville, l’été, nous plongerons, tête en avant dans le grand bassin en hurlant que le maire de Paris, et tant d’autres, ont copié sur l’idée de Xavier Bertrand et pas l’inverse.
Tous ensemble, nous accepterons d’aller nous faire dérouiller par des vachettes chaque année à Intervilles tant il est vrai que, si c’est drôlement cher, ça rapporte en terme d’image à la ville. Même si nous attendons toujours l’entreprise qui dira : « J’ai eu envie de m’installer à Saint-Quentin en voyant l’autruche saint-quentinoise se prendre un gadin devant Tex. »
Tous ensemble pris en alcoolémie au volant, nous ferons nôtre, cet aphorisme du regretté Jean Yann, « l’alcool au volant, supprimons le volant ! ».
Tous, ensemble, nous réclamerons un repreneur pour les anciens immeubles désertés des Babou, Oriels et autres. Une banque, un coiffeur pour changer.
Tous ensemble, nous promettons d’aller buller à la base urbaine de loisirs, pour éviter qu’elle ne coule à peine arrivée à quai.
Tous ensemble, nous irons nous asseoir sur les genoux du père Noël présent chaque année au village organisé sur la place. Et nous lui demanderons des emplois, de l’argent, la fin des délocalisations, l’arrêt des violences conjugales. Et Ensemble, nous tirerons sur sa barbe pour vérifier qu’il ne s’agit pas de Pierre André.
Tous ensemble, nous réclamerons l’abdication de Geneviève de Fontenay, au profit de Rachel Legrain-Trapani, tant il est vrai que, quand on s’attaque à elle, on s’attaque à nous Saint-Quentinois.
Tous ensemble nous serons solidaires de Jeannot la frite et de sa baraque menacée par le projet de requalification de la gare et réclamerons qu’il soit installé dans la future base urbaine de loisirs.
Tous ensemble, nous commémorerons, le 17 novembre, en ayant une pensée pour Igor, figure et amuseur de la ville, inhumé ce matin à l’église Saint-Jean-Baptiste.
Nou tini dwa OSI
Wi, Travailleurs, Peuple de Guadeloupe, nou osi nou tini dwa, menm dwa ki tout fanm é nonm si latè, dwa fè soley kléré pou nou é zanfan an nou !
Wi, Travailleurs et Peuple de Guadeloupe, pendant 44 jours ansanm-ansanm nou mizé angajman, jouné travay é espwa pou chanjé lavi.
Jodijou awa, nous ne pourrons accepter que SARKOZY et son ministre des Colonies Marie-Luce PENCHARD réinvestissent dans la pwofitasyon, réinstallent les profitants sur leur trône.
Nou kay roupran chimen pou kontinyé lalit !
Travailleurs, Peuple de Guadeloupe, SARKOZY é banélo’ay désidé fè nou pran on 6 pou on 9. Neuf mois après la signature du protocole du 4 mars 2009, yo ka kontinyé fè jé épi Travayè é Pèp Gwadloup.
Yo sinyé, fo yo rèspekté sa yo sinyé
Mme PENCHARD a donc décidé de faire payer cette somme par les Guadeloupéens, en augmentant l’essence de 22 centimes avant le 31 décembre 2009.
Et ce sont les mêmes cadeaux fiscaux et sociaux qui sont proposés aux bons amis. Défiscalisation encore et toujours pour l’Hôtellerie alors que 85% des richesses de ce secteur repartent à l’étranger pour gonfler les poches des actionnaires.
Et dans cette reconquête de la pwofitasyon, les Travailleurs sont la cible privilégiée. Nombre de patrons voyous ont donc profité pour licencier, laissant croire aux conséquences du mouvement LKP. En réalité, la quasi-totalité des entreprises ayant déposé le bilan sont en redressement judiciaire depuis plusieurs années et le plus souvent à la demande de la Caisse Générale en Sécurité Sociale pour non paiement des cotisations sociales. Les entreprises de Guadeloupe sont championnes de France du non paiement des charges sociales dixit le Directeur de la Sécurité Sociale.
E sé konsa, yo éséyé fè kwè kè sé LKP ki fèmé CORA, MATCH et ECOMAX.
En vérité, le Groupe Belge SISB a programmé de quitter la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane depuis plus de 2 ans padavwa yo paka gannyé asé lajan ankò. C’est donc à une grande banque, BNP PARIBAS, et un illustre cabinet d’expertise DELOITTE qu’il a confié cette étude qui a pris le nom de Projet TOPAZE. Et durant ces deux dernières années, les investisseurs financiers, industriels ont été contactés, reçus pour évaluer leur intérêt et leurs potentiels. Plusieurs investisseurs sont venus aussi en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane visiter les locaux du Groupe SISB notamment courant 2008. Voilà la vérité !!
Travailleurs, Jeunes, Retraités, Chômeurs, la confiance acquise depuis Janvier 2009 reste intacte. Nous devons refuser le mépris, l’arrogance et la fatalité. Nou ni rézon !!
Nou pa fèt pou sèvi sèwpiyè pou pon moun. Annou roupran chimen a lalit. Partout, dans les villes, les campagnes, les quartiers, les entreprises, nou kay rantré an rézistans pou :
Nou paka fè déyè !! Nou osi nou adan !!
L’UGTG avec toutes les organisations et mouvement du LKP appelle tous ses militants et adhérents à la grève.
Tous en grève les Mardi 24 et Mercredi 25 Novembre 2009
MARDI 24 NOVEMBRE : Sanblé douvan les entreprises
MERCREDI 25 NOVEMBRE 9vè : Gran déboulé masif dans les rues de Pointe-à-Pitre
Sanblé douvan Bik a Mitiyalité à 9vè
Jou nou ké mété a jounou péké vwè jou !
Lapwent, 18/11/09
U.G.T.G.
Source : http://ugtg.org
Budget, salaires, exercice du métier, formation des maîtres… L’Ecole n’est pas au beau fixe. Le SNUipp et la FSU appellent à une journée de grève le mardi 24 novembre, et à débattre des suites à donner à cette action.
Ecole, collège, lycée, université, le monde de l’éducation appelle à faire grève mardi 24 novembre. Dans le contexte actuel, la FSU a décidé « de prendre ses responsabilités ». Le projet de budget 2010 reste toujours marqué par le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux. Une décision du président de la République qui soulève de plus en plus d’opposition dans l’opinion publique . Alors que la crise a conduit nombre de révisions des politiques, ce dogme restera-t-il intouchable alors qu’il frappe de plein fouet l’Education nationale ?
Une Education nationale qui affichera un déficit record de 16 000 postes en moins. L’école, pour sa part, après les remises en cause de la réussite de tous (RASED, Maternelle, Aide personnalisée…) et la déstabilisation professionnelle provoquée par Xavier Darcos, ou encore la tentative de mise en place des EPEP, voit disparaitre 9182 postes de PE2. Cette mesure, consécutive de la réforme de la formation et du recrutement, touche directement aux décharges de direction et aux stages de formation continue. Ces suppressions ne seront pas contrebalancer par la création de 2 182 emplois que le ministre affiche au titre de l’évolution démographique (+ 5 766 élèves attendus à la rentrée prochaine). Pourtant, l’an dernier, alors que le nombre d’élèves augmentait, le ministère n’ a pas utilisé tous les emplois budgétaires programmés. Selon la loi de finance, 1 232 postes n’ont pas été consommés.
Un récent sondage BVA-PEEP indiquait que 51 % des parents d’élèves interrogés jugeaient négativement la politique éducative du gouvernement. Avec en plus la baisse drastique de plus de 50% des crédits pédagogiques. C’est la poursuite d’une logique d’appauvrissement de l’école qui se poursuit, génératrice de détérioration des conditions d’exercice du métier. L’exact opposé de l’enthousiasme des participants à l’université d’automne du SNUipp. Des salles combles, une passion pour l’école et une recherche de toutes les transformations nécessaires pour construire une école de la réussite de tous. Ces ambitions rendent d’autant plus vives les exigences en matière de formation tout comme la nécessité de créer des postes pour faire face à la hausse des effectifs, transformer l’école avec plus de maîtres que de classes, enrichir toute la palette culturelle de l’école. Mille fois oui, l’avenir des élèves comme la formation ou la reconnaissance de qualification des enseignants appellent un engagement du plus grand nombre dans la journée de grève du 24 novembre.
En ces temps difficiles, ou les luttes se développent mais, ou chacun à besoin de reprendre courage afin de mener le combat jusqu’au bout….Monica nous montre la voie à suivre
C’est avec fierté et beaucoup d’humilité face à son parcours, que nous voulons lui faire honneur en publiant ce texte, raccourci d’une vie, mais tellement représentatif de cette vie.
Monica, comme beaucoup, partout en France, c’est engagée et à fait le choix de la lutte.
A Saint Quentin aussi avec plus de quarante de parti : Paulette, Roger, Lucette, Robert, Bernard……tous et toutes nous montrent le chemin de la lutte et de la résistance.
Les communistes de Saint Quentin organiserons en décembre une soirée avec Monica et son époux afin de fêter fièrement cet anniversaire.
Monica Bernatets née le 06/11/1928 à Leipzig (Allemagne)
Le 19 décembre 2009 je vais fêter le 60ème anniversaire de mon adhésion au Parti Communiste.
Pour commencer je voudrais vous conter mes motivations.
De famille de gauche, ma mère juive et mon beau-père socialiste (de l’époque !!!), j’étais déjà préparée .Mais ont été décisives, les informations que nous avons eues sur le comportement héroïque des communistes dans les camps, entre des milliers d’autres, l’action de la toise à Buchenwald. (1).
De plus j’étais éblouie par le courage des Résistants et notamment Audin et Alleg.
A cela s’est ajouté le militantisme actif de la cellule de mon quartier à Nice, qui luttait notamment contre les expulsions de familles ouvrières de logements privés, car à l’époque un propriétaire pouvait expulser une famille avec un préavis de 3 mois sans autre forme de procès.
Donc le 19 décembre 1949 je me rends de moi-même à la section pour prendre ma première carte, une très grande fierté !
Comme je faisais mes études j’ai milité à la base : l’HD, les tracts et autres. En 1951 je me suis mariée à un communiste, étudiant aussi, et j’ai eu mon premier fils. Mon mari reçu à l’Agro nous sommes partis à Paris et j’avoue que je n’ai pas fait grand-chose, je prenais ma carte, préparais l’Agrégation et élevais le gamin. J’ai fait partie des cellules des Lycées où j’ai exercé, Reims, Metz, Nancy, Saumur.
En 1958 départ au Maroc où mon mari était nommé. D’abord à Fès où une cellule du PCF nous accueillit avec joie car il n’y avait pas grand’ monde !! Nous avons alors signé des deux mains la fameuse pétition pour l’Algérie indépendante, appelée les 481 (Français du Maroc) .Je ne vous dis pas l’accueil des commerçants de Fès, ville française, quand ils ont vu nos noms sur la liste ! Mais nous étions très fiers et nous avons fait face évidemment !
Sur ce mon mari est nommé à Casablanca où l’accueil en milieu marocain fut extraordinaire ! Mon mari Noël Décourt et son ami Guy Martin (qui fut secrétaire de Georges Marchais, une fois rentré en France) prirent la direction du mouvement des 481 à la demande du bureau politique du parti communiste marocain dont nous avons fait partie à partir de ce moment là. Dans la cave de notre maison (sous-sol confortable, je vous rassure, se cachaient deux algériens recherchés par l’OAS, avec ronéo, machine à écrire etc.
Comme tous les communistes marocains nous versions 11% de notre salaire au FLN pour faire face à la lutte pour l’indépendance de l’Algérie.
Les femmes, nous militions au Secours Populaire, ce qui consistait surtout à collecter des médicaments auprès des médecins français pour soigner les blessés qui arrivaient d’Algérie. Je ne vous dis pas la tête qu’ils faisaient mais ils n’osaient pas refuser car nous les menacions de porter plainte sinon pour non assistance à personne en danger !!!
Nous étions invités aux réunions du parti marocain avec Ali Yata, Abdeslem Bourquia, Abdallah Layachi, Simon Lévy, Hadi Messouak, le médecin personnel de Mohammed V, et nous rendions les services qui nous étaient demandés avec fierté. Je me souviens en particulier de la grève de la faim en sit-in dans la cour de l’ambassade de France de Rabat pour la libération de Ben Bella.
En 1963 retour en France à Nancy et très vite notre divorce, dramatique comme tous les divorces, mais qui a fait de moi une femme libre de militer à ma guise. Je suis devenue rapidement secrétaire à l’orga du Comité de ville de Nancy, faisant fonction de première secrétaire car Jeannette Desroches, était très souvent absente à cause de graves séquelles de son internement au camp de Ravensbrück.
Ce fut une période de militantisme ardent et dur car à Nancy nous nous faisions presque lyncher en vendant nos 5 à 6 HD le dimanche matin.
Puis ce fut 1968. Au Lycée le proviseur m’avait demandé de prendre la grève en main car, me disait-il, avec une communiste il était sûr qu’il n’y aurait pas de débordements (incroyable mais vrai !).
En distribuant les tracts à la Générale Electrique nous avons fait adhérer le secrétaire de la CFDT au PC et nous avons eu droit à la 1ère page de l’Huma quotidienne !
Puis 1969, la campagne Duclos, nous faisions les 3×8 avec les tracts pour l’élection de Jacques Duclos. Pour pouvoir distribuer devant les usines fermées par une grille, j’allais demander la veille l’autorisation de rentrer avec les cars qui transportaient les ouvriers, accordée si je garantissais l’ordre, et je garantissais.
Sur ce la Fédé m’a demandé de devenir titulaire comme 1ère secrétaire du Comité de Ville mais a exigé pour cela –avec raison- que je fasse l’école d’un mois à Bobigny. Cela a été programmé pour 1969 et je devais ensuite « monter » au BF.
La vie en a décidé autrement car j’ai connu mon mari Jean-Claude Bernatets et en décembre nous nous sommes mariés pour que je puisse avoir mon changement pour Paris.
Là, j’ai été longtemps secrétaire à l’orga de la section Maison Blanche, puis trésorière du 13ème arrondissement
Enfin en 1980 nous sommes arrivés dans l’Aisne, et revenus à un militantisme de base. Je suis pour le 3ème mandat conseillère municipal de mon village Saint Aubin et je milite davantage à l’ANACR, association nationale des anciens combattants de la Résistance, membre aussi de France-Palestine et de l’UJFP, l’Union des Juifs pour la Paix, encore plus farouchement pro palestinien que les palestiniens eux-mêmes !!
Voilà, chers camarades, ma petite vie de femme, de mère de quatre garçons, fière d’appartenir à notre Parti même s’il n’est pas toujours hélas à la hauteur de nos exigences. Mais si l’on dit que le Parti c’est nous n’avons-nous pas une part de responsabilité dans cette dérive ?
A Buchenwald les SS faisaient passer les déportés à la toise sous prétexte d’une visite médicale et avec un silencieux posé sur la nuque ils tiraient, déshabillaient les corps et les jetaient nus sur un charnier. La cellule du camp avec des papiers gras et des bouts de charbon avaient distribué des tracts dans les baraquements , expliquant cela et invitant les déportés à se mettre de côté et à faire semblant d’être tués et à se laisser tomber le plus mollement possible pour être dévêtus et jetés sur le dit charnier . La nuit les communistes venaient chercher les vivants, les rhabillaient et les remettaient dans leurs baraquements.
Egalement, tant d’opérations pratiquées par les médecins communistes avec des boîtes de conserve passées à la flamme etc. etc.
Ce vendredi 13 novembre 2009, la section du PCF de Saint-Quentin manifestait à Chauny afin d’apporter son soutien aux 220 licenciés de Nexans et dénoncer la casse sociale du « leader mondial de l’industrie du câble » !
http://www.dailymotion.com/video/xb6dok
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